La Ville de la vengeance / La Funèbre vengeance - The Restless breed - 1957 - Allan Dwan
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- Pike BISHOP
- Marshall
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- Localisation : Aquaverde
La Ville de la vengeance / La Funèbre vengeance - The Restless breed - 1957 - Allan Dwan
THE RESTLESS BREED d'Allan DWAN 1957 avec SCOTT BRADY, ANN BANCROFT, J.C.FLIPPEN, JIM DAVIS, RHYS WILLIAMS, LEO GORDON....
Tout petit budget pour ce film tardif de DWAN...A part deux extérieurs et 4 ou 5 vues piquées dans "WESTERN UNION" de LANG
uniquement un morceau de rue reconstitué en studio, trois intérieurs..Hôtel, saloon, maison du révérend...
Beaucoup de redites de plans et d'aller:venues inutiles...Mais un climat quand même qui dénote le pro...
Un sujet qui ressemblerait pas mal à "HIGH PLAINS DRIFTER" de EASTWOOD... Un homme vient dans une ville, où les sheriffs ne font
pas long feu, exercer sa vengeance d'une manière plutôt brutale en marge de la loi..Sa séduction de la jolie jeune fille qui aime
la danse aussi est plutôt du type "carré dans l'os"..Enfin..Les influences du révérend, d'un vieux marshall et de la donzelle amoureuse
le feront agir un peu plus légalement....
Il y a aussi un curieux personnage de jeune lâche, voyeur, délateur..qui n'arrive pas à affronter loyalement son adversaire (SCOTT MARLOWE)
JIM DAVIS en chef des truands est plus qu'inexpressif..LEO GORDON est un poil mieux..
SCOTT BRADY omniprésent est pas tout à fait aussi monolithique que d'habitude..ANN BANCROFT si elle était très jolie jeune et déjà bonne
comédienne n'a déjà plus l'âge du rôle pour la toute jeune pucelle énamourée (beaucoup plus crédible dans "THE LAST FRONTIER")
Superbes couleurs, mais copie certainement très "caviardée"..86 Mns annoncées..78 effectives
Par exemple le combat de coqs à l'arrivée de S.BRADY dans la ville a disparu..
Petit spectacle agréable, mais loin des grandes réussites de DWAN...
Tout petit budget pour ce film tardif de DWAN...A part deux extérieurs et 4 ou 5 vues piquées dans "WESTERN UNION" de LANG
uniquement un morceau de rue reconstitué en studio, trois intérieurs..Hôtel, saloon, maison du révérend...
Beaucoup de redites de plans et d'aller:venues inutiles...Mais un climat quand même qui dénote le pro...
Un sujet qui ressemblerait pas mal à "HIGH PLAINS DRIFTER" de EASTWOOD... Un homme vient dans une ville, où les sheriffs ne font
pas long feu, exercer sa vengeance d'une manière plutôt brutale en marge de la loi..Sa séduction de la jolie jeune fille qui aime
la danse aussi est plutôt du type "carré dans l'os"..Enfin..Les influences du révérend, d'un vieux marshall et de la donzelle amoureuse
le feront agir un peu plus légalement....
Il y a aussi un curieux personnage de jeune lâche, voyeur, délateur..qui n'arrive pas à affronter loyalement son adversaire (SCOTT MARLOWE)
JIM DAVIS en chef des truands est plus qu'inexpressif..LEO GORDON est un poil mieux..
SCOTT BRADY omniprésent est pas tout à fait aussi monolithique que d'habitude..ANN BANCROFT si elle était très jolie jeune et déjà bonne
comédienne n'a déjà plus l'âge du rôle pour la toute jeune pucelle énamourée (beaucoup plus crédible dans "THE LAST FRONTIER")
Superbes couleurs, mais copie certainement très "caviardée"..86 Mns annoncées..78 effectives
Par exemple le combat de coqs à l'arrivée de S.BRADY dans la ville a disparu..
Petit spectacle agréable, mais loin des grandes réussites de DWAN...
If they move, kill'em !!
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
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- Localisation : au dessus de Strasbourg
Re:
et bien, ca mérite de créer la critique dédiée Pike
et voici l'affiche pour l'illustrer en + :

J'en profite pour ajouter ce p'tit complément :


Fiche tv de Chip


et voici l'affiche pour l'illustrer en + :

J'en profite pour ajouter ce p'tit complément :


Fiche tv de Chip

CAHILL, UNITED STATES MARSHAL






- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
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Re: La ville de la vengeance - The Restless Breed - Allan Dwan - 1957
Zoom sur Scott Brady....








CAHILL, UNITED STATES MARSHAL






- EthanEdwards
- Chasseur de primes
- Messages : 735
- Localisation : Saint Nazaire
Re: La ville de la vengeance - The Restless Breed - Allan Dwan - 1957
Re: La ville de la vengeance - The Restless Breed - Allan Dwan - 1957
Pike BISHOP a écrit :THE RESTLESS BREED d'Allan DWAN 1957 avec SCOTT BRADY, ANN BANCROFT, J.C.FLIPPEN, JIM DAVIS, RHYS WILLIAMS, LEO GORDON....
la danse aussi est plutôt du type "carré dans l'os"...
Je ne connaissais pas cette expression Pike ! Enfin, hors de chez mon boucher favori bien sûr.
J'aime beaucoup, et chez mon boucher, et dans ce contexte

Yo.
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
- Messages : 24065
- Localisation : au dessus de Strasbourg
Re: La ville de la vengeance - The Restless Breed - Allan Dwan - 1957



CAHILL, UNITED STATES MARSHAL






-
- Eclaireur
- Messages : 1464
Re: La ville de la vengeance - The Restless Breed - Allan Dwan - 1957
J'aurais aimé le voir 

Re: La ville de la vengeance - The Restless Breed - Allan Dwan - 1957
Ce Western de l'excellent A. Dwan, nous raconte la vengeance du fils d'un agent secret fédéral qui avait été assassiné par la bande de
Ed Newton, qui s'était spécialisé dans la contrebande d'armes avec le Mexique. La bande de Newton faisait de tel sorte, qu'aucun Sheriff
ne pouvait survivre dans cette ville du Texas, proche du Mexique. Ils avaient un jeune indicateur à leur solde.....
Mitch Baker avait tout de son père, l'éducation à la vie, les études d'avocat, le maniement du colt .... il se devait en apprenant le meurtre
de son père à le venger.... En arrivant dans la ville il va d'abord chez le révérend chez qui son père s'était logé, il fait la connaissance
d'une métisse, réfugiée avec d'autres orphelins, chez le révérend, qui se montre scrètement jaloux.
Comme sa vengeance n'est pas légale, un Marshall ami de son père veut empècher Mitch à affronter Newton. Le Marshall en voulant arrêter
lui-même Newton pour meurtre, sera abattu dans le système de tenailles, de trois tueurs dispercés. Le vieux Marshall, en mourrant remet à
Mitch son étoile, lui donnant une légitimité. C'est le moment d'entrer en action, alors que la jeune métisse avait auparavent persuadé,
pour l'amour, que Mitch renonce à la vengeance. Mitch sera le vainqueur d'un duel au revolver, qui n'était pas en sa faveur, Newton faisant agir
sa déloyale tenaille.
Bien que le film est tourné presque entièrement dans le Studio avec des coulisses disponibles, on voit les mouvements et positions de
caméras d'un artiste, qui sait bien réaliser une certaine tension qui arrive à retenir l'attention.
Un bon choix d'acteurs complète cette réalisation. Surtout Scott Brady brille. Anne Bancroft n'est plus fillette, mais on comprends, la
censure..... Le combat de coqs ne serait plus possible aujourd'hui, mais montrait bien l'insensibilité des citadins aux criminels qui
les entouraient. La musique de E.L. Alperson a été bien choisie.


Ed Newton, qui s'était spécialisé dans la contrebande d'armes avec le Mexique. La bande de Newton faisait de tel sorte, qu'aucun Sheriff
ne pouvait survivre dans cette ville du Texas, proche du Mexique. Ils avaient un jeune indicateur à leur solde.....
Mitch Baker avait tout de son père, l'éducation à la vie, les études d'avocat, le maniement du colt .... il se devait en apprenant le meurtre
de son père à le venger.... En arrivant dans la ville il va d'abord chez le révérend chez qui son père s'était logé, il fait la connaissance
d'une métisse, réfugiée avec d'autres orphelins, chez le révérend, qui se montre scrètement jaloux.
Comme sa vengeance n'est pas légale, un Marshall ami de son père veut empècher Mitch à affronter Newton. Le Marshall en voulant arrêter
lui-même Newton pour meurtre, sera abattu dans le système de tenailles, de trois tueurs dispercés. Le vieux Marshall, en mourrant remet à
Mitch son étoile, lui donnant une légitimité. C'est le moment d'entrer en action, alors que la jeune métisse avait auparavent persuadé,
pour l'amour, que Mitch renonce à la vengeance. Mitch sera le vainqueur d'un duel au revolver, qui n'était pas en sa faveur, Newton faisant agir
sa déloyale tenaille.
Bien que le film est tourné presque entièrement dans le Studio avec des coulisses disponibles, on voit les mouvements et positions de
caméras d'un artiste, qui sait bien réaliser une certaine tension qui arrive à retenir l'attention.
Un bon choix d'acteurs complète cette réalisation. Surtout Scott Brady brille. Anne Bancroft n'est plus fillette, mais on comprends, la
censure..... Le combat de coqs ne serait plus possible aujourd'hui, mais montrait bien l'insensibilité des citadins aux criminels qui
les entouraient. La musique de E.L. Alperson a été bien choisie.


Re: La ville de la vengeance - The Restless Breed - Allan Dwan - 1957
Alors, amateurs de grands espaces, d'horizons, de forêts sans fin, il va falloir réfréner un tantinet vos aspirations. En effet, ici, le sommet de l'architecture se résume à ces poutres ficelées :

L'idée qu'on peut se faire de l'invention de la fenêtre est montrée par cette capture :

La végétation, rare mais très endémique est représentée par ce bel arbre qui trône au beau milieu de la rue principale (et unique). Pour autant, dieu sait qu'il s'en déroulera des événements sous cet imposant végétal !

La rue, j'en parlais, est une pure merveille de percée audacieuse dans une ville dont on pressent toute la richesse architecturale à cette seule perspective :

Pour finir, les somptueux intérieurs, ne pourraient être mieux illustrés que par ceux de ce saloon. De toutes façons, il faudra vous en contenter car il n'y en a pour ansi dire pas d'autres...

Bon, j'ai l'air de critiquer comme ça, mais c'est pour souligner les propos de P. Brion (Bonus de l'édition Sidonis) qui insiste à juste titre, sur le fait que ce film est fauché.
Et je vais vous dire, moi qui aime aussi les décors en toile peinte et les faux ciels, et bien il m'a plu ce western.
Ce côté resserré (Yves Boisset, dans sa belle évocation du film - bonus Sidonis toujours - parle d'un western "intimiste") est très plaisant, très réconfortant en somme.
L'inquiétude provoquée par les morts à répétition et par la tension provocatrice de la bande à Ed Newton (Jim Davis) est tout de suite contrebalancée par un réconfort de proximité puisqu'il suffit de traverser la rue afin de se retrouver en compagnie d'un prêtre, d'enfants joueurs et de la magnifique Angelita (Anne Bancroft).
C'est un peu comme un orage en fait. Le bruit du tonnerre est suggéré par le martèlement des sabots lorsque les bandits, chassés de la ville par le fils du shérif, y reviennent pour se venger.
Mais finalement, tout ce qui précède aussi est orage, il y a en effet comme un dehors et un dedans dans ce western.
Le dehors étant tout proche (de l'autre côté de la rue), bruyant, pétaradant et menaçant.
Le dedans étant étroit, chiche certes, mais finalement si chaleureux empli qu'il est du réconfort d'enfants musiciens et d'une femme qui danse.
Un western qui se regarde un peu comme une pièce de théâtre, avec des décors humbles mais choisis, avec une caméra qui ne bouge que très peu et avec des acteurs fort bien dirigés et qui jouent vraiment les uns avec les autres.
Un réalisateur talentueux tel qu'Allan Dwan, ne pourrait se contenter d'une narration lisse et sans plus de relief que celui offert par l'histoire en propre.
Il y a deux, comment dire, singularités, pour ne pas dire "aspérités" qui me semblent à signaler.
Tout d'abord, l'oeil épieur de ce jeune homme dont on se demande quel est le véritable plaisir qu'il prend à regarder en douce toutes ces scènes de violences sans s'en mêler en fin de compte :

Ensuite, l'oeil du révérend Simmons (Rhys Williams) qui, à plusieurs reprises, jette un trouble tant son regard semble torve. Surtout lorsqu'il s'agira de scènes dévoilant la sublime Angelita (Anne Bancroft)

Une saillie de mise en scène ou du scénario après tout , je ne connais pas le récit initial, mais jointe au constat de promiscuité dû à l'étroitesse de la scène où se déroule l'action, elle n'est pas sans rajouter un trouble à l'ensemble.
Un petit, un tout petit budget, pour un western tout à fait honorable. Vraiment pas mal M. Dwan.
Yo.

L'idée qu'on peut se faire de l'invention de la fenêtre est montrée par cette capture :

La végétation, rare mais très endémique est représentée par ce bel arbre qui trône au beau milieu de la rue principale (et unique). Pour autant, dieu sait qu'il s'en déroulera des événements sous cet imposant végétal !

La rue, j'en parlais, est une pure merveille de percée audacieuse dans une ville dont on pressent toute la richesse architecturale à cette seule perspective :

Pour finir, les somptueux intérieurs, ne pourraient être mieux illustrés que par ceux de ce saloon. De toutes façons, il faudra vous en contenter car il n'y en a pour ansi dire pas d'autres...


Bon, j'ai l'air de critiquer comme ça, mais c'est pour souligner les propos de P. Brion (Bonus de l'édition Sidonis) qui insiste à juste titre, sur le fait que ce film est fauché.
Et je vais vous dire, moi qui aime aussi les décors en toile peinte et les faux ciels, et bien il m'a plu ce western.
Ce côté resserré (Yves Boisset, dans sa belle évocation du film - bonus Sidonis toujours - parle d'un western "intimiste") est très plaisant, très réconfortant en somme.
L'inquiétude provoquée par les morts à répétition et par la tension provocatrice de la bande à Ed Newton (Jim Davis) est tout de suite contrebalancée par un réconfort de proximité puisqu'il suffit de traverser la rue afin de se retrouver en compagnie d'un prêtre, d'enfants joueurs et de la magnifique Angelita (Anne Bancroft).
C'est un peu comme un orage en fait. Le bruit du tonnerre est suggéré par le martèlement des sabots lorsque les bandits, chassés de la ville par le fils du shérif, y reviennent pour se venger.
Mais finalement, tout ce qui précède aussi est orage, il y a en effet comme un dehors et un dedans dans ce western.
Le dehors étant tout proche (de l'autre côté de la rue), bruyant, pétaradant et menaçant.
Le dedans étant étroit, chiche certes, mais finalement si chaleureux empli qu'il est du réconfort d'enfants musiciens et d'une femme qui danse.
Un western qui se regarde un peu comme une pièce de théâtre, avec des décors humbles mais choisis, avec une caméra qui ne bouge que très peu et avec des acteurs fort bien dirigés et qui jouent vraiment les uns avec les autres.
Un réalisateur talentueux tel qu'Allan Dwan, ne pourrait se contenter d'une narration lisse et sans plus de relief que celui offert par l'histoire en propre.
Il y a deux, comment dire, singularités, pour ne pas dire "aspérités" qui me semblent à signaler.
Tout d'abord, l'oeil épieur de ce jeune homme dont on se demande quel est le véritable plaisir qu'il prend à regarder en douce toutes ces scènes de violences sans s'en mêler en fin de compte :

Ensuite, l'oeil du révérend Simmons (Rhys Williams) qui, à plusieurs reprises, jette un trouble tant son regard semble torve. Surtout lorsqu'il s'agira de scènes dévoilant la sublime Angelita (Anne Bancroft)

Une saillie de mise en scène ou du scénario après tout , je ne connais pas le récit initial, mais jointe au constat de promiscuité dû à l'étroitesse de la scène où se déroule l'action, elle n'est pas sans rajouter un trouble à l'ensemble.
Un petit, un tout petit budget, pour un western tout à fait honorable. Vraiment pas mal M. Dwan.
Yo.
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
- Messages : 24065
- Localisation : au dessus de Strasbourg
Re: La Ville de la vengeance / La Funèbre vengeance - The Restless breed - 1957 - Allan Dwan
en tout cas je tiens à redire mon admiration à Yosemite qui a le don de décrire et commenter les scènes de façon remarquable et intelligente 

CAHILL, UNITED STATES MARSHAL






Re: La Ville de la vengeance / La Funèbre vengeance - The Restless breed - 1957 - Allan Dwan
Pike BISHOP a écrit :--
SCOTT BRADY omniprésent est pas tout à fait aussi monolithique que d'habitude...
"Message par metek le 02 Déc 2013 21:55
--
Un petit, un tout petit budget, pour un western tout à fait honorable. Vraiment pas mal M. Dwan.
Yo."
--
Un petit, un tout petit budget, pour un western tout à fait honorable. Vraiment pas mal M. Dwan.
Yo."
Rien à ajouter


Masai : Tu as une femme et c'est toi qui portes l'eau?
Cherokee : Tout n'est pas rose chez les Blancs
Cherokee : Tout n'est pas rose chez les Blancs
Re: La Ville de la vengeance / La Funèbre vengeance - The Restless breed - 1957 - Allan Dwan
c'est avec plaisir que je reviens de regarder ce Western, un peu sous-estimé .... seulement 2 pages sur WM critiques et illustrations

les rues du Mission ne sont pas sures pour les Sheriffs

Le Revérend (Rhys Williams) est un peu amoureux de sa pupille

le Sheriff mourant ( Flippen ) donne son étoile au vengeur ( Brady ) pour lui donner la légitimité pour tuer



les rues du Mission ne sont pas sures pour les Sheriffs

Le Revérend (Rhys Williams) est un peu amoureux de sa pupille

le Sheriff mourant ( Flippen ) donne son étoile au vengeur ( Brady ) pour lui donner la légitimité pour tuer


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