Law and lead - 1936 - Robert F. Hill avec Rex Bell
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- Cowboy
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Law and lead - 1936 - Robert F. Hill avec Rex Bell
Law and Lead – 1936 – Rex Bell
Après avoir tourné Idaho Kid, Rex Bell revient avec Robert Hill pour tourner Law and Lead. Ils travaillent toujours pour la Colony picture qui cette fois, ne s’est pas offert une belle histoire de Paul Evan Lehman mais une de Rock Hawkes qui est plus que mauvaise. J’oserais même dire débile. Le film est déjà raté avant de commencer…
Une diligence est dévalisée et déjà les soupçons se tournent vers Juarez Kid. Seulement, le détective de l’association des cattlemen, Rex Bell, n’en croit rien.Juarez Kid répond au nom de Pancho Gonzales, un vieil ami de Rex qui lui avait juré de rester dans le droit chemin une fois qu’il aurait terminé sa peine. Mais voilà qu’à peine sorti du pénitencier, il se retrouve dans un véritable sac de neufs qui peut lui offrir la corde...
Rex commence son enquête pour disculper ce vieil ami. Incroyable, ce dernier tombe sur son sosie qui, de plus, est fringué comme lui, en mexicain avec une couverture (qu’il ne sait pas porté. C’est à mourir de rire).
Enfin, Juarez se prend une bastos par le méchant sosie qui attaque les diligences, empoche le fric et fait porter les soupçons sur Juarez en s’habillant comme lui (je vais en parler à Sarko ce week-end). Il s’est même offert une paire de moustache pour ressembler à Juarez Kid. Immorale, je vous le dis. A déconseiller aux enfants.
Voilà, votre ami Rex Bell (qui cette fois n’a pas le sourire) vient rendre visite à la fille de Earl Dwire, tous deux amis de Juarez. La situation et les dialogues échangés font croire que c’est Earl Dwire qui fait le Mexicain. Mais non, c’est Wally Wales, l’ami de Earl qui est le véritable bandit.
Pour être original, notre romancier nous crée une histoire d’amour.La girlie tombe amoureuse du beau Tex et Wally est jaloux parce qu’il voulait se marier avec elle. Énervée, la girlie répond à Wally : « … Mais tu m’as déjà demandé ma main plusieurs fois. Ne recommence pas, je t’ai dit que non».
Bon, Wally n’est pas content. Il se venger en tuant ce crétin de détective. Entre-temps, Juarez Kid déboule au saloon où il retrouve une vieille connaissance qui est à la solde de Wally. Ce dernier se laisse soigner par la vieille qui répète tout à Wally. Rex arrive à son tour dans le saloon, assiste à une partie de poker où est opposé Earl Dwire, Karl Hackett et un ou deux autres cowboys. Pendant ce temps, un Mexicain fait de la guitare à côté de la table, derrière Earl. Il surveille son jeu et à travers des notes spécifiques (d’après le héros de notre romancier qui est arrivé à sa troisième bouteille de whisky) il informe Karl des cartes qu’il détient (mais oui, mais oui. Il y a vraiment des fortiches). Le pauvre Earl se fait plumer. Heureusement Bell explique la situation en quelques mots et la bagarre éclate. Bob Hill, qui n’en a rien à foutre du film, nous flanque deux ou trois plans d’ensemble puis on revient dans la piole où Juarez Kid se fait panser par la vioque. Il se dresse immédiatement, s’empare de son flingue puis se pointe dans le saloon d’où venaient les bruits alarmants. Tout est cassé, les badmen sont tous allongés sur le plancher et Rex, essoufflé, tient encore son Colt à la main. Le mex arrive à ses côtés en lui demandant : « aurais-tu des ennuis Jimmy (Rex) ? !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J’abrège car on va y passer la nuit. À la fin, non, vous ne devinerez jamais : Wally Wales flingue Rex Bell. Punaise, quelle histoire Mr Rock Hawkes. Mais non, rassurez vous Rex faisait semblant. Il attrape les quilles de Wally puis l’envoie dans les airs. Une balle dans sa gueule et puis nous aussi, on en a fini avec ce film à la con qui m’a paru durer deux fois la longueur des dix commandements. Les tablettes de chocolat et la bouteille de champagne y sont passées pour tenir jusqu’au bout.
Ce film est à voir absolument avec quelques camarades du forum pour se marrer !
Au fait, Rex Bell a vraiment l’air d’une cloche dans ce film tellement il s’ennuie aussi. Tous les acteurs, même les routards du Western qui sont toujours extras sont ici mauvais. Personne y croit. Tous sauf Rock Hawkes.
Retenons Idaho Kid, Diamond Trail et From Broadway to Cheyenne avec notre ami Rex Bell qui sont des Westerns B +.
Après avoir tourné Idaho Kid, Rex Bell revient avec Robert Hill pour tourner Law and Lead. Ils travaillent toujours pour la Colony picture qui cette fois, ne s’est pas offert une belle histoire de Paul Evan Lehman mais une de Rock Hawkes qui est plus que mauvaise. J’oserais même dire débile. Le film est déjà raté avant de commencer…
Une diligence est dévalisée et déjà les soupçons se tournent vers Juarez Kid. Seulement, le détective de l’association des cattlemen, Rex Bell, n’en croit rien.Juarez Kid répond au nom de Pancho Gonzales, un vieil ami de Rex qui lui avait juré de rester dans le droit chemin une fois qu’il aurait terminé sa peine. Mais voilà qu’à peine sorti du pénitencier, il se retrouve dans un véritable sac de neufs qui peut lui offrir la corde...
Rex commence son enquête pour disculper ce vieil ami. Incroyable, ce dernier tombe sur son sosie qui, de plus, est fringué comme lui, en mexicain avec une couverture (qu’il ne sait pas porté. C’est à mourir de rire).
Enfin, Juarez se prend une bastos par le méchant sosie qui attaque les diligences, empoche le fric et fait porter les soupçons sur Juarez en s’habillant comme lui (je vais en parler à Sarko ce week-end). Il s’est même offert une paire de moustache pour ressembler à Juarez Kid. Immorale, je vous le dis. A déconseiller aux enfants.
Voilà, votre ami Rex Bell (qui cette fois n’a pas le sourire) vient rendre visite à la fille de Earl Dwire, tous deux amis de Juarez. La situation et les dialogues échangés font croire que c’est Earl Dwire qui fait le Mexicain. Mais non, c’est Wally Wales, l’ami de Earl qui est le véritable bandit.
Pour être original, notre romancier nous crée une histoire d’amour.La girlie tombe amoureuse du beau Tex et Wally est jaloux parce qu’il voulait se marier avec elle. Énervée, la girlie répond à Wally : « … Mais tu m’as déjà demandé ma main plusieurs fois. Ne recommence pas, je t’ai dit que non».
Bon, Wally n’est pas content. Il se venger en tuant ce crétin de détective. Entre-temps, Juarez Kid déboule au saloon où il retrouve une vieille connaissance qui est à la solde de Wally. Ce dernier se laisse soigner par la vieille qui répète tout à Wally. Rex arrive à son tour dans le saloon, assiste à une partie de poker où est opposé Earl Dwire, Karl Hackett et un ou deux autres cowboys. Pendant ce temps, un Mexicain fait de la guitare à côté de la table, derrière Earl. Il surveille son jeu et à travers des notes spécifiques (d’après le héros de notre romancier qui est arrivé à sa troisième bouteille de whisky) il informe Karl des cartes qu’il détient (mais oui, mais oui. Il y a vraiment des fortiches). Le pauvre Earl se fait plumer. Heureusement Bell explique la situation en quelques mots et la bagarre éclate. Bob Hill, qui n’en a rien à foutre du film, nous flanque deux ou trois plans d’ensemble puis on revient dans la piole où Juarez Kid se fait panser par la vioque. Il se dresse immédiatement, s’empare de son flingue puis se pointe dans le saloon d’où venaient les bruits alarmants. Tout est cassé, les badmen sont tous allongés sur le plancher et Rex, essoufflé, tient encore son Colt à la main. Le mex arrive à ses côtés en lui demandant : « aurais-tu des ennuis Jimmy (Rex) ? !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J’abrège car on va y passer la nuit. À la fin, non, vous ne devinerez jamais : Wally Wales flingue Rex Bell. Punaise, quelle histoire Mr Rock Hawkes. Mais non, rassurez vous Rex faisait semblant. Il attrape les quilles de Wally puis l’envoie dans les airs. Une balle dans sa gueule et puis nous aussi, on en a fini avec ce film à la con qui m’a paru durer deux fois la longueur des dix commandements. Les tablettes de chocolat et la bouteille de champagne y sont passées pour tenir jusqu’au bout.
Ce film est à voir absolument avec quelques camarades du forum pour se marrer !
Au fait, Rex Bell a vraiment l’air d’une cloche dans ce film tellement il s’ennuie aussi. Tous les acteurs, même les routards du Western qui sont toujours extras sont ici mauvais. Personne y croit. Tous sauf Rock Hawkes.
Retenons Idaho Kid, Diamond Trail et From Broadway to Cheyenne avec notre ami Rex Bell qui sont des Westerns B +.
didier
C'est tout dire ! Quand on pense que les " Dix Commandements " dure près de 3h30, alors se languir devant une toute petite série B d'1h qui en parait 7, le mot " The end " doit arriver comme un soulagement.. Une balle dans sa gueule et puis nous aussi, on en a fini avec ce film à la con qui m’a paru durer deux fois la longueur des dix commandements.

D'après ta critique, tu ne nous encourages guère à le voir celui ci.
C'est vrai que le scénario et la réalisation ont l'air baclés.

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- Cowboy
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J'ai les idées larges sur tous ces westerns des années 30 tournées en grande quantité, puis je m'efforce de les voir dans le contexte de l'époque. Comme disait John Wayne, on tournait le westerns en trois jours puis on en tournait un autre. Nous n'avions que changer de cheval. Mais comme je ne le dirais jamais assez, il faut se méfier car il y a des films fabuleux dans tous ça. Même à l'époque, les critiques leur collaient une étiquette et pan, le film tombait dans le oubliettes car c'était un film B.
Pour en revenir à Law and Lead, c'est interminable. On a l'impression que le metteur en scène n'a rien à filmer et demande à ses acteurs de composer pour faire passer le temps, atteindre les 55 minutes...
HORRIBLE !
Il va falloir que je refasse le point sur Robert Hill.
Pour en revenir à Law and Lead, c'est interminable. On a l'impression que le metteur en scène n'a rien à filmer et demande à ses acteurs de composer pour faire passer le temps, atteindre les 55 minutes...
HORRIBLE !
Il va falloir que je refasse le point sur Robert Hill.
didier


Voici des photos de l'acteur WALLY WALES de son véritable nom de FLOYD TALIAFERRO ALDERSON.


Débute sous le nom au temps du muet 'FLOYD ALDERSON' ensuite sous le nom de 'WALLY WALE'.
Quelques westerns dans les années 30 sous 'WALT WILLIAMS' et terminera sa carriere sous le nom 'HAL TALIAFERRO' OOOUUUUFFF





