
Le Grand retour de Django - Django 2 - Il Grande ritorno - 1987 - Nello Rossati
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Le Grand retour de Django - Django 2 - Il Grande ritorno - 1987 - Nello Rossati
Seule suite officielle 20 plus tard avec franco nero, c'est un film vraiment agréable a regarder; django devenu moine sort de sa retraite pour retrouver sa fille enlevée par un exclavagiste (christopher connely); si l'ambiance sombre du django n'est pas au rendez vous, on retouve la mitrailleuse cachée dans le cerceuil et un certain sadisme propre au western italien; tournée en colombie (censée etre le mexique ?) on est plus proche du film d'aventure et la scène finale avec plein de pyrotechnie est proche de l'univers de rambo mais franco nero s'en tire avec les honneurs......


Django 2 Le Grand Retour (Django 2 Il Grande Ritorno) -1987 - Nello Rossatti
20 ans après le film de Sergio Corbucci, Franco Nero réendosse le costume du heros qui l'a rendu célèbre : Django !!!
Tout commence au Mexique, une jeune femme se rend dans un couvent rencontrer un homme pour lui annoncer qu'elle est mourrante et qu'il doit s'occuper de sa petite fille. Sa petite fille qui n'est autre que leur petite fille. Mais l'homme explique qu'il n'est plus celui qu'il etait , que Django est mort, il est maintenant moine et reffuse de toucher une arme.
Mais le sort en decidera autrement, un tyran qui se ballade en bateau à vapeur enferme tous les peones et les livre en esclavage vers une mine qu'il exploite, les femmes sont elles vendues dans divers bordels du Mexique. La fille de Django sera elle aussi prise au piège et notre bon vieux Django reprendra les armes en allant deterrer sa Mitrailleuse devenue "MachineGun" pour aider tous les peones à s'enfuir. Django deviendra le cauchemar des tyrans en se balladant dans un corbillard et faisant le menage à tout va
Mais le colonel a un atout de choix : la fille de Django. Mais après divers captures et autres passages à tabac, la vendetta sonnera, Django arrivera !!!
Alors Western ou pas ? Film ou pas j'aurais envie de dire car on est plus proche du mauvais téléfilm que d'un film classique. Ce Django 2 est plus proche de Rambo que de Django, ne riez pas c'est la pure véritée. Le film se passe au Mexique, un Mexique que je connaissais pas au beau milieu des marecages
L'epoque, difficile à dire je dirais debut 20eme.
Que dire de ce film ? j'ai franchement du mal à decrire ce que j'ai vu
Django 2 n'a dejà rien à voir avec Django de Corbucci, on retrouve Franco Nero, point. La mitrailleuse se fait appeller "MachineGun" qu'il deterre au milieu d'un mauvais cimetière, là ca peut encore aller mais le reste... Les peones ressemblent plus à des primitifs peints en jaune, on se croirait dans Indiana Jones et le Temple Maudit avec l'esclavagisme des pauvres et un jeune gamin qui devient bras droit de Django pour assouvir sa vengeance. Le mauvais colonel (Christopher Connelly), est entourée d'une femme noire vetue de chaines très "cuir"
qui vient jouer les mauvaises bimbo armée d'un fouet. Donald Pleasance fait lui aussi parti du decor en esclave, ancien chercheur de papillons, la passion du colonel
Vous trouvez ca drôle ? attendez ce n'est pas encore fini. On a l'attaque d'un camps par Django ou croulent les dynamites à droite, à gauche, par moment j'aurais juré avoir vu une grenade si si je vous assure. Les tourelles valses dans tous les sens, les soldats vetus de blancs courent à droite, à gauche, Django armé de sa MachineGun allume tout, 8000 balles secondes (j'exagère un peu
). Franco Nero a troqué sa gabardine contre un poncho, ca fait un peu Rambo, mais on est en 1987, et l'assention des films post-apocalyptiques en Italie.
Et la musique ah la musique, tellement proche d'un telefilm erotique du dimanche soir sur M6 genre Joy en Amazonie ou autre Emmanuelle et les 40 motards
Domage, ce film n'aurait pas dû exister... A noter la presence de William Berger que je n'ai pas reconnu
A voir comme curiosité mais c'est tout

Tout commence au Mexique, une jeune femme se rend dans un couvent rencontrer un homme pour lui annoncer qu'elle est mourrante et qu'il doit s'occuper de sa petite fille. Sa petite fille qui n'est autre que leur petite fille. Mais l'homme explique qu'il n'est plus celui qu'il etait , que Django est mort, il est maintenant moine et reffuse de toucher une arme.
Mais le sort en decidera autrement, un tyran qui se ballade en bateau à vapeur enferme tous les peones et les livre en esclavage vers une mine qu'il exploite, les femmes sont elles vendues dans divers bordels du Mexique. La fille de Django sera elle aussi prise au piège et notre bon vieux Django reprendra les armes en allant deterrer sa Mitrailleuse devenue "MachineGun" pour aider tous les peones à s'enfuir. Django deviendra le cauchemar des tyrans en se balladant dans un corbillard et faisant le menage à tout va

Alors Western ou pas ? Film ou pas j'aurais envie de dire car on est plus proche du mauvais téléfilm que d'un film classique. Ce Django 2 est plus proche de Rambo que de Django, ne riez pas c'est la pure véritée. Le film se passe au Mexique, un Mexique que je connaissais pas au beau milieu des marecages

Que dire de ce film ? j'ai franchement du mal à decrire ce que j'ai vu

Django 2 n'a dejà rien à voir avec Django de Corbucci, on retrouve Franco Nero, point. La mitrailleuse se fait appeller "MachineGun" qu'il deterre au milieu d'un mauvais cimetière, là ca peut encore aller mais le reste... Les peones ressemblent plus à des primitifs peints en jaune, on se croirait dans Indiana Jones et le Temple Maudit avec l'esclavagisme des pauvres et un jeune gamin qui devient bras droit de Django pour assouvir sa vengeance. Le mauvais colonel (Christopher Connelly), est entourée d'une femme noire vetue de chaines très "cuir"


Vous trouvez ca drôle ? attendez ce n'est pas encore fini. On a l'attaque d'un camps par Django ou croulent les dynamites à droite, à gauche, par moment j'aurais juré avoir vu une grenade si si je vous assure. Les tourelles valses dans tous les sens, les soldats vetus de blancs courent à droite, à gauche, Django armé de sa MachineGun allume tout, 8000 balles secondes (j'exagère un peu

Et la musique ah la musique, tellement proche d'un telefilm erotique du dimanche soir sur M6 genre Joy en Amazonie ou autre Emmanuelle et les 40 motards

Domage, ce film n'aurait pas dû exister... A noter la presence de William Berger que je n'ai pas reconnu

A voir comme curiosité mais c'est tout


Modifié en dernier par Liko le 14 sept. 2006 19:28, modifié 2 fois.
Ta bonne critique confirme ce que tout lemonde dit autour de ce film à savoir qu'il est à voir comme un film d'action et pas un film en rapport avec le vrai Django, comme le film Blueberry est à voir en oubliant le nom du héros
J'vais ptet me le procurer quand même ce Django...

J'vais ptet me le procurer quand même ce Django...

"Il suffit de franchir les limites de la violence individuelle qui est criminelle,
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
pour atteindre la violence de masse qui... qui fait l'histoire..." Brad Fletcher dans Le dernier face à face
Personne a écrit :Sartana, tu as un coeur de pierre!
- lemexicain
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Re: Le grand retour de Django - Django 2: il grande ritorno - Nello Rossati - 1987
Bon, on a tellement parlé de Django le mois dernier que je me suis de nouveau regardé cette
improbable suite!
Coup de chance la version française ne dure que 73 minutes !
( 99 minutes la version italienne et 88 minutes la version espagnole )
Rien à ajouter à la crtique de Liko, si, j'ai beaucoup apprécié la scène ou les moines
vont à la chasse aux papillons ( mon côté bouffeur de curé!)
... et un petit hommage à l'acteur américain Christopher Connelly ( rôle de Orlowsky )
qui est décédé l'année suivante de la sortie du film, à l'age de 47 ans des suites
d'une longue maladie, un cancer quoi!
Je n'ai pas reconnu William Berger dans le rôle d' un vieux pistolero ????
... et comme dans le premier Django, la bande de la mitrailleuse ne défile pas
et les douilles ne volent pas quand Django tire!
Mais chut! Y-en-a qui seraient trop content que je dise ça....
Amicalement E.

improbable suite!
Coup de chance la version française ne dure que 73 minutes !

( 99 minutes la version italienne et 88 minutes la version espagnole )
Rien à ajouter à la crtique de Liko, si, j'ai beaucoup apprécié la scène ou les moines
vont à la chasse aux papillons ( mon côté bouffeur de curé!)

... et un petit hommage à l'acteur américain Christopher Connelly ( rôle de Orlowsky )
qui est décédé l'année suivante de la sortie du film, à l'age de 47 ans des suites
d'une longue maladie, un cancer quoi!
Je n'ai pas reconnu William Berger dans le rôle d' un vieux pistolero ????
... et comme dans le premier Django, la bande de la mitrailleuse ne défile pas
et les douilles ne volent pas quand Django tire!
Mais chut! Y-en-a qui seraient trop content que je dise ça....


Amicalement E.


Quand les colts fument ... on l' appelle Cimetière !
" Quelque soit la couleur de la peau, le sang est rouge pour tous !"
(Au-delà de la haine de Alessandro SANTINI - 1972)
" Quelque soit la couleur de la peau, le sang est rouge pour tous !"
(Au-delà de la haine de Alessandro SANTINI - 1972)
Re: Le grand retour de Django - Django 2: il grande ritorno - Nello Rossati - 1987
edocle a écrit :... et comme dans le premier Django, la bande de la mitrailleuse ne défile pas
et les douilles ne volent pas quand Django tire!
Mais chut! Y-en-a qui seraient trop content que je dise ça....![]()
![]()
Amicalement E.
![]()
tu n'a rien compris Edocle


Re: Le grand retour de Django - Django 2: il grande ritorno - Nello Rossati - 1987
scorpio99 a écrit :[en fait c'est une arme écologique avant l'heure qui ne gaspille pas les munitions
Ouais, en fait sur ce bidouillage des accessoiristes des western italiens, je me suis toujours demandé comment
fonctionnait la partie pyrotechnique pour faire apparaitre les flammes à la sortie du canon....
Aujourd'hui ce serait plus simple, tous cela serait rajouté en numérique, mais pas question à l'époque,
et pas question non plus de peindre image par image... Parfois on sent que les flammes manquent de tonus
et au lieu de sortir parfaitement horizontales sortent vers le haut... le pétard manquait-il de poudre!
Allez les petits gars voilà de quoi ouvrir un sacré débat....


Amicalement E.


Quand les colts fument ... on l' appelle Cimetière !
" Quelque soit la couleur de la peau, le sang est rouge pour tous !"
(Au-delà de la haine de Alessandro SANTINI - 1972)
" Quelque soit la couleur de la peau, le sang est rouge pour tous !"
(Au-delà de la haine de Alessandro SANTINI - 1972)
Re: Le grand retour de Django - Django 2: il grande ritorno - Nello Rossati - 1987
Bon un petit peu de couleurs s.v.p!













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