Jess CAVIN (1885-1967)
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Jess CAVIN (1885-1967)
Jess CAVIN naquit le 5 mai 1885 à Sugar Creek, Indiana, d’Alonzo, un fermier et Nancy. Elevé en Indiana, il avait un frère, Albert et trois sœurs, Acy Pearl, Goldie May et Bertha. Jess passa la première partie de sa vie sur la ferme familiale où il travailla comme mécanicien d’engins agricoles.
Le 29 juin 1910 Jess Cavin épousa à Vigo, Indiana, Cora Bailey avec laquelle il aura quatre enfants : Harold, Herbert, Mildred et Dorothy.
A l’aube de la Grande Dépression, il quitta définitivement la ferme familiale pour se lancer dans une carrière d’acteur qu’il avait déjà amorcée dès 1924 dans le western Let Him Buck. Il poursuivit sa carrière dans le western muet avec une poignée de rôles et ce jusqu’à l’avènement du parlant. Dans ses films muets des années 1920, il incarna fréquemment les durs à cuire et malheureusement ses rôles furent plus substantiels que ses rôles ultérieurs qui furent plus figuratifs et souvent dénués de dialogue.
Pour tous ses films parlants, il fit la plupart du temps partie de ses visages d’arrière-plan rarement crédités où on ne le reconnaissait guère que grâce à sa moustache. Au cours de cette seconde carrière qui dura jusque 1963, il est quasiment impossible de lui trouver un rôle où il avait quelques mots à énoncer et il interpréta généralement les villageois, les colons, les piliers de bar etc.
Il ne travailla presque plus à la fin des années 1940 et au début des années 1950. Puis, on fait un saut de presque dix ans dans l’avenir pour le retrouver aux côtés de Gregory Peck avec le rôle d’un juré dans Du silence et…des ombres (Universal, 1962). Il avait alors effectué une petite transition vers le petit écran où il apparut dans quelques séries télévisées dont Frontier Circus, L’homme à la carabine et Laramie, série après laquelle il fit ses adieux à l’écran en 1963.
Jess Cavin décéda le 20 juillet 1967 à Los Angeles, Californie. Il est enterré au Pierce Brothers Valhalla Memorial Park de North Hollywood. Il avait 82 ans.
Je vous ferai sa filmographie dans les jours qui suivront.
Le 29 juin 1910 Jess Cavin épousa à Vigo, Indiana, Cora Bailey avec laquelle il aura quatre enfants : Harold, Herbert, Mildred et Dorothy.
A l’aube de la Grande Dépression, il quitta définitivement la ferme familiale pour se lancer dans une carrière d’acteur qu’il avait déjà amorcée dès 1924 dans le western Let Him Buck. Il poursuivit sa carrière dans le western muet avec une poignée de rôles et ce jusqu’à l’avènement du parlant. Dans ses films muets des années 1920, il incarna fréquemment les durs à cuire et malheureusement ses rôles furent plus substantiels que ses rôles ultérieurs qui furent plus figuratifs et souvent dénués de dialogue.
Pour tous ses films parlants, il fit la plupart du temps partie de ses visages d’arrière-plan rarement crédités où on ne le reconnaissait guère que grâce à sa moustache. Au cours de cette seconde carrière qui dura jusque 1963, il est quasiment impossible de lui trouver un rôle où il avait quelques mots à énoncer et il interpréta généralement les villageois, les colons, les piliers de bar etc.
Il ne travailla presque plus à la fin des années 1940 et au début des années 1950. Puis, on fait un saut de presque dix ans dans l’avenir pour le retrouver aux côtés de Gregory Peck avec le rôle d’un juré dans Du silence et…des ombres (Universal, 1962). Il avait alors effectué une petite transition vers le petit écran où il apparut dans quelques séries télévisées dont Frontier Circus, L’homme à la carabine et Laramie, série après laquelle il fit ses adieux à l’écran en 1963.
Jess Cavin décéda le 20 juillet 1967 à Los Angeles, Californie. Il est enterré au Pierce Brothers Valhalla Memorial Park de North Hollywood. Il avait 82 ans.
Je vous ferai sa filmographie dans les jours qui suivront.
Re: Jess CAVIN (1885-1967)



- Sitting Bull
- Rancher
- Messages : 8836
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Re: Jess CAVIN (1885-1967)

Modifié en dernier par Sitting Bull le 23 janv. 2022 10:42, modifié 1 fois.

« Écrire proprement sa langue est une des formes du patriotisme. »
(Lucie Delarue-Mardrus)

- LordDécadent
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Re: Jess CAVIN (1885-1967)
Bon ben ça va!!! Bande de rabat joie !!!
C est pas lui mon barbu! C est bon j'ai compris !

C est pas lui mon barbu! C est bon j'ai compris !

C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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- LordDécadent
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Re: Jess CAVIN (1885-1967)

PAAAAAAF!!!
Re: Jess CAVIN (1885-1967)


Ça rigole mais... au boulot my Lord ! On a toujours un barbu non identifié !

C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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- Chercheur d'or
- Messages : 4047
Re: Jess CAVIN (1885-1967)
I' m'ont tout emberlificoté avec leurs barbus ... 

Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
Re: Jess CAVIN (1885-1967)

"My darling Clementine/La poursuite infernale" en 1946

"Gunfighters/La vallée maudite" en 1947

"Woman they almost lynched/La femme qui faillit être lynchée" en 1953
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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Re: Jess CAVIN (1885-1967)
C est un barbu nouveau pour moi mais il me semble que c est lui, mais cela n apparaît pas dans sa filmo, en Barfly

"Powder River/La riviere de la poudre" en 1953

"Powder River/La riviere de la poudre" en 1953
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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