Timothy CAREY (1929-1994)
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Timothy CAREY (1929-1994)
Timothy CAREY naquit Timothy Agoglia Carey, le 11 mars 1929 à Bay Ridge, Brooklyn dans une famille de descendance Italienne et Irlandaise. Il était le neveu de Sylvester Agoglia et de Fiore "Fury" Agoglia, associés du gangster Al Capone.
Il fit ses débuts sur le grand écran avec un rôle mineur dans un film de Billy Wilder de 1951, Le gouffre aux chimères. Un des premiers rôles les plus mémorables de Timothy Carey survint en 1956 dans le film de Stanley Kubrick, L’ultime razzia, dans lequel il interprétait un pistolero embauché pour abattre un cheval de course pour faire diversion à un braquage sur le champ de course. Stanley Kubrick l’utilisa ensuite dans son film suivant, le drame sur la Première Guerre Mondiale, Les sentiers de la gloire (1957), dans le rôle d’un des trois soldats accusés de couardise.
Durant le tournage des Sentiers de la gloire, Timothy Carey fut apparemment un élément perturbateur et il essaya de tirer la couverture à lui. A cause de son comportement, une scène dans laquelle Timothy Craye et d’autres acteurs se voyaient servir un repas avec du canard comme derneir repas avant l’exécution dut être tournée à 57 reprises. Timothy Carey simula ensuite son propre enlèvement pour générer une publicité personnelle ce qui obligea Stanley Kubrick et le producteur James B. Harris à le renvoyer. Comme résultat, le film ne montre pas les trois soldats condamnés durant la phase de bataille et une doublure fut utilisée durant une scène dans laquelle un prêtre entend la confession du personnage incarné par Timothy Carey. La scène fut filmée avec le dos de la doublure face à la caméra.
Le film de 1957, Bayou (plus tard rebaptisé Poor White Trash) comporte un des rares rôles de Timothy en vedette, à savoir celui d’un dément marchand Cajun appelé Ulysses. Timothy Carey endossa des rôles dans A l’est d’Eden, L’équipée sauvage, Vengeance aux deux visages, The Boy and the Pirates, Bikini Beach, Beach Blanket Bingo et les films de John Cassavetes, Ainsi va l’amour et Meurtre d’un bookmaker chinois.
Francis Ford Coppola était désireux d’utiliser Timothy Carey pour le rôle de Luca Brasi dans Le parrain mais l’acteur refusa pour tourner un pilote intitulé "Tweet’s Ladies of Pasadena", qui ne fut jamais vendu ou diffusé. L’émission télévisuelle proposée comprenait Timothy Carey dans le rôle d’un personnage appelé Tweet Twig, qui pouvait ressusciter les animaux.
Il incarna le rôle mineur de l’Ange de la Mort dans la comédie D.C. Cab et apparut dans la comédie autoparodique des Monkees, Head. Sa dernière apparition sur le grand écran survint en 1986 dans le film Echo Park. Il apparut aussi dans un certain nombre de programmes télévisuels des années 1950 aux années 1980.
Selon le réalisateur Quentin Tarantino, Timothy Carey passa une audition pour le rôle de Joe Cabot dans son film, Reservoir Dogs. Bien qu’il ne décrocha pas ledit rôle, le scénario lui fut dédié, entre autres.
Le visage de Timothy Carey (tiré du film L’ultime razzia) est positionné derrière George Harrison sur la couverture de l’album des Beatles, Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band. Bien que son image n’apparût pas dans la version commerciale de la couverture, on peut le voir dans les photos tirées de la session de Sgt. Pepper session.
En 1971, Timothy Carey incarna un rôle mineur, à savoir celui de Bert dans 'Ransom for a Dead Man,' le film pilote de la série Columbo, qui fut diffusé le 1er mars avec en vedette Lee Grant. Il reprit plus tard ce rôle dans l’épisode de Columbo intitulé 'Dead Weight,' qui fut diffusé le 27 octobre avec Eddie Albert et Suzanne Pleshette.
Timothy Carey écrivit, produisit, réalisa et interpréta le film de 1962, The World's Greatest Sinner, dont la bande musicale fut interprétée par le jeune Frank Zappa, d’avant la période Mothers of Invention. Bien que le film ne connût pas une grande diffusion commerciale, il devint culte suite aux projections répétées lors des "séances de nuit" à Los Angeles dans les années 1960. Durant une apparition en 1963 dans le Steve Allen Show pendant laquelle il généra des sons musicaux sur des bicyclettes, Frank Zappa parla du tournage de la bande-son de The World's Greatest Sinner, qu’il qualifiait "de pire film du monde."
Le film fut diffusé comme spectacle de minuit au TCM Festival TCM d’Hollywood en avril 2018. Son fils, Romeo Carey, introduisit le film.
Timothy Carey et son épouse, l’actrice Doris Carey qu’il avait mariée à une date inconnue, eurent six enfants : Romeo, Mario, Velencia, Silvana, Dagmar et Germain.
Timothy Carey décéda d’une crise cardiaque le 11 mai 1994 à 65 ans à Los Angeles, Californie. Son corps fut enterré au Rose Hills Memorial Park de Whittier, Californie.
Sa contribution au western fut la suivante :
Au-delà du Missouri de William A. Wellman (1951), Baptiste DuNord
Hellgate de Charles Marquis Warren (1952), Wyand
Les aventuriers du Far West, un épisode, Johnny dans « Cynthy’s Dream Dress » (1953)
Cowboy G-Men, six épisodes :
- Jake Kirby dans « The Golden Wolf » (1952)
- Le grand homme de main dans « Secret Mission » (1952)
- Benton dans « Beware ! No Trespassing » (1952)
- Le grand gitan dans « Gypsy Traders » (1953)
- Un prisonnier dans « The Sidewinder » (1953)
- Un homme sur le quai dans « The California Bullets » (1953)
Hopalong Cassidy, un épisode, Dan Warner dans « Grubstake » (1954)
La dernière caravane de Delmer Daves (1956), Cole Harper
The Sheriff of Cochise, un épisode, Stark dans « The Great Train Robbery » (1956)
Naked Gun d’Eddie Dew (1956), Hartman
Le shérif aux mains rouges de Joseph H. Newman (1959), Forbes
Vengeance aux deux visages de Marlon Brando (1961), Howard Tetley
La farfelue de l’Arizona de Vincent Sherman (1961), Bonner
Rio Conchos de Gordon Douglas (1964), Chico
Rawhide, deux épisodes :
- Carl Hatcher dans « The Book » (1965)
- Ed Walker dans « Encounter at Boot Hill » (1965)
La grande vallée, un épisode, le prêcheur Clegg dans « Teacher of Outlaws » (1966)
La bataille de la vallée du diable de Ralph Nelson (1966), Clem l’adjoint du shérif
Gunsmoke, deux épisodes :
- Tiller Evans dans « The Gentleman » (1958)
- Charles ‘Buster’ Rilla dans « Quaker Girl » (1966)
La poursuite des tuniques bleues de Phil Karlson (1967), Billy Cat
L’or des pistoleros de William A. Graham (1967), Hilb
Cowboy in Africa, un épisode, Mike O’Neill dans « The Red Hand of Michael O’Neill » (1968)
Cimarron, un épisode, Lobo dans « Big Jessie » (1968)
Le virginien, un épisode, Zach Ontro dans « Home to Methuselah » (1969)
Daniel Boone, deux épisodes :
- Luke Purdy dans « The Blackbirder » (1968)
- Wibberly dans « Mamma Cooper » (1970)
Un shérif à New York, un épisode, le directeur de l’appartement dans « Fifth Man in a String Quartet » (1972)
Kung Fu, un épisode, Bix Courtney dans « Ambush » (1975)
Il fit ses débuts sur le grand écran avec un rôle mineur dans un film de Billy Wilder de 1951, Le gouffre aux chimères. Un des premiers rôles les plus mémorables de Timothy Carey survint en 1956 dans le film de Stanley Kubrick, L’ultime razzia, dans lequel il interprétait un pistolero embauché pour abattre un cheval de course pour faire diversion à un braquage sur le champ de course. Stanley Kubrick l’utilisa ensuite dans son film suivant, le drame sur la Première Guerre Mondiale, Les sentiers de la gloire (1957), dans le rôle d’un des trois soldats accusés de couardise.
Durant le tournage des Sentiers de la gloire, Timothy Carey fut apparemment un élément perturbateur et il essaya de tirer la couverture à lui. A cause de son comportement, une scène dans laquelle Timothy Craye et d’autres acteurs se voyaient servir un repas avec du canard comme derneir repas avant l’exécution dut être tournée à 57 reprises. Timothy Carey simula ensuite son propre enlèvement pour générer une publicité personnelle ce qui obligea Stanley Kubrick et le producteur James B. Harris à le renvoyer. Comme résultat, le film ne montre pas les trois soldats condamnés durant la phase de bataille et une doublure fut utilisée durant une scène dans laquelle un prêtre entend la confession du personnage incarné par Timothy Carey. La scène fut filmée avec le dos de la doublure face à la caméra.
Le film de 1957, Bayou (plus tard rebaptisé Poor White Trash) comporte un des rares rôles de Timothy en vedette, à savoir celui d’un dément marchand Cajun appelé Ulysses. Timothy Carey endossa des rôles dans A l’est d’Eden, L’équipée sauvage, Vengeance aux deux visages, The Boy and the Pirates, Bikini Beach, Beach Blanket Bingo et les films de John Cassavetes, Ainsi va l’amour et Meurtre d’un bookmaker chinois.
Francis Ford Coppola était désireux d’utiliser Timothy Carey pour le rôle de Luca Brasi dans Le parrain mais l’acteur refusa pour tourner un pilote intitulé "Tweet’s Ladies of Pasadena", qui ne fut jamais vendu ou diffusé. L’émission télévisuelle proposée comprenait Timothy Carey dans le rôle d’un personnage appelé Tweet Twig, qui pouvait ressusciter les animaux.
Il incarna le rôle mineur de l’Ange de la Mort dans la comédie D.C. Cab et apparut dans la comédie autoparodique des Monkees, Head. Sa dernière apparition sur le grand écran survint en 1986 dans le film Echo Park. Il apparut aussi dans un certain nombre de programmes télévisuels des années 1950 aux années 1980.
Selon le réalisateur Quentin Tarantino, Timothy Carey passa une audition pour le rôle de Joe Cabot dans son film, Reservoir Dogs. Bien qu’il ne décrocha pas ledit rôle, le scénario lui fut dédié, entre autres.
Le visage de Timothy Carey (tiré du film L’ultime razzia) est positionné derrière George Harrison sur la couverture de l’album des Beatles, Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band. Bien que son image n’apparût pas dans la version commerciale de la couverture, on peut le voir dans les photos tirées de la session de Sgt. Pepper session.
En 1971, Timothy Carey incarna un rôle mineur, à savoir celui de Bert dans 'Ransom for a Dead Man,' le film pilote de la série Columbo, qui fut diffusé le 1er mars avec en vedette Lee Grant. Il reprit plus tard ce rôle dans l’épisode de Columbo intitulé 'Dead Weight,' qui fut diffusé le 27 octobre avec Eddie Albert et Suzanne Pleshette.
Timothy Carey écrivit, produisit, réalisa et interpréta le film de 1962, The World's Greatest Sinner, dont la bande musicale fut interprétée par le jeune Frank Zappa, d’avant la période Mothers of Invention. Bien que le film ne connût pas une grande diffusion commerciale, il devint culte suite aux projections répétées lors des "séances de nuit" à Los Angeles dans les années 1960. Durant une apparition en 1963 dans le Steve Allen Show pendant laquelle il généra des sons musicaux sur des bicyclettes, Frank Zappa parla du tournage de la bande-son de The World's Greatest Sinner, qu’il qualifiait "de pire film du monde."
Le film fut diffusé comme spectacle de minuit au TCM Festival TCM d’Hollywood en avril 2018. Son fils, Romeo Carey, introduisit le film.
Timothy Carey et son épouse, l’actrice Doris Carey qu’il avait mariée à une date inconnue, eurent six enfants : Romeo, Mario, Velencia, Silvana, Dagmar et Germain.
Timothy Carey décéda d’une crise cardiaque le 11 mai 1994 à 65 ans à Los Angeles, Californie. Son corps fut enterré au Rose Hills Memorial Park de Whittier, Californie.
Sa contribution au western fut la suivante :
Au-delà du Missouri de William A. Wellman (1951), Baptiste DuNord
Hellgate de Charles Marquis Warren (1952), Wyand
Les aventuriers du Far West, un épisode, Johnny dans « Cynthy’s Dream Dress » (1953)
Cowboy G-Men, six épisodes :
- Jake Kirby dans « The Golden Wolf » (1952)
- Le grand homme de main dans « Secret Mission » (1952)
- Benton dans « Beware ! No Trespassing » (1952)
- Le grand gitan dans « Gypsy Traders » (1953)
- Un prisonnier dans « The Sidewinder » (1953)
- Un homme sur le quai dans « The California Bullets » (1953)
Hopalong Cassidy, un épisode, Dan Warner dans « Grubstake » (1954)
La dernière caravane de Delmer Daves (1956), Cole Harper
The Sheriff of Cochise, un épisode, Stark dans « The Great Train Robbery » (1956)
Naked Gun d’Eddie Dew (1956), Hartman
Le shérif aux mains rouges de Joseph H. Newman (1959), Forbes
Vengeance aux deux visages de Marlon Brando (1961), Howard Tetley
La farfelue de l’Arizona de Vincent Sherman (1961), Bonner
Rio Conchos de Gordon Douglas (1964), Chico
Rawhide, deux épisodes :
- Carl Hatcher dans « The Book » (1965)
- Ed Walker dans « Encounter at Boot Hill » (1965)
La grande vallée, un épisode, le prêcheur Clegg dans « Teacher of Outlaws » (1966)
La bataille de la vallée du diable de Ralph Nelson (1966), Clem l’adjoint du shérif
Gunsmoke, deux épisodes :
- Tiller Evans dans « The Gentleman » (1958)
- Charles ‘Buster’ Rilla dans « Quaker Girl » (1966)
La poursuite des tuniques bleues de Phil Karlson (1967), Billy Cat
L’or des pistoleros de William A. Graham (1967), Hilb
Cowboy in Africa, un épisode, Mike O’Neill dans « The Red Hand of Michael O’Neill » (1968)
Cimarron, un épisode, Lobo dans « Big Jessie » (1968)
Le virginien, un épisode, Zach Ontro dans « Home to Methuselah » (1969)
Daniel Boone, deux épisodes :
- Luke Purdy dans « The Blackbirder » (1968)
- Wibberly dans « Mamma Cooper » (1970)
Un shérif à New York, un épisode, le directeur de l’appartement dans « Fifth Man in a String Quartet » (1972)
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Re: Timothy CAREY (1929-1994)
"Gunsmoke: The Gentleman" en 1958.
"Rawhide: The Book" en 1964.
"The Big Valley: Teachers of Outlaws" en 1965.
"Waterhole #3/L'Or des Pistoleros" en 1967.
"The Virginian: Home to Metuselah" en 1969.
http://www.carnet-noir-des-acteurs.com/1994
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Re: Timothy CAREY (1929-1994)
Acteur au physique impressionnant qui m'avait fait peur dans un épisode de "Rawhide"et du "Virginien" par son gabarit et son jeu inquiétant et insolite , et c'était la première fois que je l'avais vu ou oublié , car il a joué dans pas mal de séries .
Jean Tulard en dit du bien : L'un des meilleurs troisièmes couteaux du cinéma Américain .
On se souvient du gangster chargé d'abattre un cheval pour faire diversion et permettre le vol de la recette des courses dans " The killing" ou du soldat qui a peur de mourir dans " Paths of glory" .
Car Thimothy Carey doit sa célébrité à Kubrick . On affirme qu'il aurait dirigé un long métrage mais nous n'en avons pas retrouvé le titre .
Donc maintenant , après avoir vu sa filmographie western , je regarderai ses films déjà vus en ayant des yeux attentifs sur ses performances car sa présence à l'écran est incomparable à d'autres , et tant mieux
Jean Tulard en dit du bien : L'un des meilleurs troisièmes couteaux du cinéma Américain .
On se souvient du gangster chargé d'abattre un cheval pour faire diversion et permettre le vol de la recette des courses dans " The killing" ou du soldat qui a peur de mourir dans " Paths of glory" .
Car Thimothy Carey doit sa célébrité à Kubrick . On affirme qu'il aurait dirigé un long métrage mais nous n'en avons pas retrouvé le titre .
Donc maintenant , après avoir vu sa filmographie western , je regarderai ses films déjà vus en ayant des yeux attentifs sur ses performances car sa présence à l'écran est incomparable à d'autres , et tant mieux
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- Moi ? Personne...
- Marshall
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- Localisation : Sad Hill,mais pas enterré !
Re: Timothy CAREY (1929-1994)
Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne
- LordDécadent
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Re: Timothy CAREY (1929-1994)
L'équipée sauvage, László Benedek (1953)
avec Duke Fishman et X Brands sur la 2ème, puis avec Lee Marvin
La vengeance aux deux visages, Marlon Brando (1961)
Rio Conchos, Gordon Douglas (1964)
avec Anthony Franciosa
avec Duke Fishman et X Brands sur la 2ème, puis avec Lee Marvin
La vengeance aux deux visages, Marlon Brando (1961)
Rio Conchos, Gordon Douglas (1964)
avec Anthony Franciosa
Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne
Re: Timothy CAREY (1929-1994)
Un autre membre de la confrérie des figurants mal rasés se cache dans tes captures... Mais lui n était pas Général !
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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Re: Timothy CAREY (1929-1994)
Le petit moustachu avec la grosse tête ! Faut que je retrouve son nom.
Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne