John DOUCETTE (1921-1994)

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DEMERVAL
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John DOUCETTE (1921-1994)

Message par DEMERVAL »

John Arthur DOUCETTE naquit le 21 janvier 1921 à Brockton, Massachusetts mais la famille se relocalisa pour être près des usines où son père travaillait comme cordonnier. A chaque fois qu’une usine devait fermer, les Doucettes devaient déménager. Il en résulta que John fréquenta 32 écoles différentes. Cela fut difficile à vivre et comme il dit lui-même : « Etant brinqueballé d’une école à l’autre, les professeurs étaient désolés pour moi. Tous les 3 mois, j’intégrais une nouvelle école et devais donner mon dossier qu’ils regardaient alors en me disant, ‘Ce pauvre enfant’. Ils m’emmenaient alors dans la classe du professeur et me laissaient avoir mes repas avec eux parce que je ne connaissais personne ».
John Doucette put exercer son côté autoritaire quand, alors qu’il se trouvait en CM2, son instituteur lui demanda de surveiller la classe. Il n’eut aucun problème pour maintenir l’ordre quand les élèves se dissipaient, aussi il devint le chef du serment d’allégeance et le porteur du drapeau au début de la journée de classe.
Après l’obtention de son diplôme, sa famille se relocalisa en Californie. John intégra alors le lycée à Abraham Lincoln de Los Angeles, le lieu où nombre d’acteurs débutants ont fait leurs études. Le Département d’art dramatique, sous la direction d’un professeur allemand, produisait 4 pièces de Shakespeare par an, une pièce en un acte par semaine et une pièce à la radio trois fois par semaine. John Doucette affirma que les conseils qu’il y reçut, furent primordiaux pour lui et les autres élèves qui étaient poussés à donner le meilleur d’eux-mêmes. Parmi les autres anciens élèves de l’école qui bénéficièrent de cet enseignement figuraient Robert Young et Robert Preston.
Après avoir obtenu son baccalauréat, John Doucette s’enrôla à la Pasadena Playhouse, où il rejoignit une liste impressionnante d’acteurs performants comme George Reeves, Gig Young, William Holden, Raymond Burr et Randolph Scott. John Doucette apparut dans 27 pièces au cours des deux années qui suivirent. Comme d’autres acteurs de l’école, il apparut dans des productions concurrentes sur d’autres lieux, principalement le Main Stage et le Patio Theatre sous les pseudonymes de John A. Doucette, John Blood, John Arthur et Art Doucette. Il fit ses 6 premières performances au LAB (de décembre 1940 à mai 1942). En janvier 1943, il apparut dans Heaven Can Wait. C’est durant cette prestation au Playhouse qu’il décrocha son premier rôle à l’écran dans Rencontre à Londres (1943), un rôle de marin. Seulement deux semaines après la fin du tournage du film, il fut cependant happé par la seconde guerre mondiale. A cause de ce conflit, John ne put pas finir ses études à la Playhouse et, de ce fait, ne reçut pas son Theatre of Arts Certificate.
Durant la guerre, John Doucette fut impliqué sur le champ de bataille européen. Il se retrouva tout d’abord affecté dans l’Army Air Corps conduisant un chariot élévateur dans un entrepôt de moteurs. Il fut plus tard réaffecté dans l’infanterie et entraîné en Angleterre et en France en vue de l’invasion de l’Allemagne. Il participa à sa première bataille à Metz, puis à la bataille des Ardennes, finissant auprès du Général Patton, qu’il admirait. Son expérience avec Patton lui servit plusieurs années plus tard quand il apparaîtra dans un film portant le nom du célèbre général, incarné par George C. Scott.
Avec la fin de la guerre, John Doucette, comme beaucoup d’autres acteurs, fut anxieux à l’idée de reprendre sa carrière au théâtre et retourna à la Playhouse. Il se produisit au Midsummer Drama Festival en 1945 sous le pseudonyme d’Art Doucette dans Golden Boy, Milky Way et The Man Who Came to Dinner. Pour Angels Amongst Us (mai 1946), Gilmor Brown en personne et William Fawcett (Pete de la série télévisée Fury) figuraient au casting. Quelques temps après, John Doucette rencontra l’un de ses amis de la Playhouse et auditionna pour un rôle avec un fort accent allemand. Les temps étant ce qu’ils étaient, il n’avait pas de véhicule automobile, aussi il fit du stop jusqu’au théâtre. C’était une pratique commune en cette période où le pays soignait ses plaies, l’argent étant rare et les automobiles étant très chères. Son audition impressionna la star, Mae West, à l’exception de sa taille. Elle suggéra alors de mettre des talonnettes à ses chaussures et le rôle lui aurait été octroyé. Avec de l’argent prêté par sa mère, non seulement il acheta ces talonnettes mais de plus un coffre, l’accessoire nécessaire à tout voyageur. La pièce, Come On Up, Ring Twice fit une tournée de 1946 à 1947. Le casting comprenait les acteurs Don Harvey (la serial Atom Man vs. Superman, The Adventures of Sir Galahad et Batman and Robin) et Michael Ames (la série TV Grey Ghost). Durant la première à Detroit, un incident survint qui attira toute l’attention sur lui. Il y avait une scène dans laquelle John Doucette recevait une liste d’un autre acteur. Quand John demanda pour cette liste, l’autre acteur découvrit qu’il l’avait oubliée et courut hors de la scène pour aller la chercher. Entretemps, John Doucette fut laissé complétement seul face au public. Après sa performance, le producteur new-yorkais J.J. Schubert lui rendit visite pour le remercier d’avoir comblé le vide laissé par le départ impromptu de son partenaire. John Doucette prit l’incident sans sourciller, comme il le fit ensuite chaque soir à la Pasadena Playhouse! Comme il l’affirma, « Nous fîmes 78 représentations en un an. Six semaines avec une seule représentation en soirée et nous appréciâmes chaque moment d’entre-elles. C’était en 1947 et ce fut une magnifique année de ma vie. »
John Doucette eut une seconde chance de faire du cinéma quand il fut approché pour la version cinématographique de The Pilgrimage Play (1949), alors qu’il avait interprété la version théâtrale avant la guerre. Fervent catholique, John Doucette adora jouer ce film puisqu’il traitait de la vie du Christ et « d’entendre tous ces beaux mots issus de la Bible, me laissait l’impression que j’étais vraiment là, à cette époque ». En plus de recevoir 20 dollars par semaine pour son salaire d’acteur, il fut rémunéré 95 dollars la semaine comme portier de nuit. Après les représentations, il balayait le théâtre, nettoyait les loges et l’entrée principale du théâtre. Comme à l’époque, il n’avait pas de domicile, il dormait sur une chaise dans la loge des femmes. Avec la dernière représentation de The Pilgrimage Play, John Doucette fut rappelé à la Playhouse pour The Jest, un opéra italien adapté d’une pièce et joué originellement à Broadway par les frères Barrymore. La pièce contenait d’excellents dialogues que Lionel Barrymore avait déclamés à Broadway et John Doucette était casté dans le même rôle: « J’ai ouvert une nuit et une semaine plus tard je travaillais dans un film. Ce fut cela la magie de cette pièce». Ce fut le rôle qui lança vraiment la carrière cinématographique de John Doucette. D’autres rôles survinrent et furent de plus en plus importants, plus d’argent aussi et une meilleure place sur les affiches.
IMDb le crédite de 138 films en 44 ans de carrière qui l’associèrent aux meilleurs acteurs et actrices d’Hollywood. Nombre de ses rôles concernaient des personnages non crédités tels que les hommes de main dans la serial de Columbia, Batman and Robin (1949). En plus de ses apparitions à la télévision aux côtés de George Reeves dans Superman, il était aussi dans L'Ange des Maudits et Les Clairons Sonnent la Charge, deux films de 1952. Il fut l’adjoint du shérif Jack Elam dans Tonnerre sur l'Arizona (1956) et la photo commune aux deux acteurs indique bien leur proximité. John Doucette, Jr. affirma que Jack Elam était souvent au domicile des Doucettes parce que son père et Jack étaient de proches amis. Les deux hommes avaient des rires chaleureux et profitèrent ensemble de joyeux moments. Au lycée, John démontra de bonnes compétences athlétiques et de réelles aptitudes en gymnastique, tout particulièrement aux anneaux et aux barres parallèles. Son physique aux larges épaules, sa poitrine, et ses bras musculeux se trouvèrent être idéaux pour des rôles de forgerons dans des films comme La Première Balle Tue (1956) et Les Loups dans la Vallée (1957). John Doucette tourna 4 films avec le Duke: Le Renard des Océans (1955), Les Quatre fils de Katie Elder (1965), 100 Dollars pour un Shérif (1969) et Big Jake (1971). Durant le tournage du Renard des Océans, John Doucette reçut un télégramme à Hawaii lui annonçant la naissance de son fils, John. Il considérait John Wayne comme son meilleur ami. John recevait à l’occasion de chaque tournage avec le Duke, une tasse avec des inscriptions spéciales écrites par John Wayne et elle figuraient dans sa collection de récompenses.
Durant une interview, on lui demanda quel avait été son rôle favori. John Doucette répondit qu’il les avait tous aimés. Cleopâtre avec Elizabeth Taylor et Richard Burton lui permit de se rendre à Rome pendant des mois: "Quoi que je fis, comme à Rome, je ressentais que j’étais dans cette ville à l’époque du film. Avec le costume, comment pouvait-il en être autrement?" Il était en Espagne avec George C. Scott pour Patton. Ce film avait une sensation de déjà vu pour lui, comme il avait été réellement aux côtés du général durant la seconde guerre mondiale. En rigolant, John commenta : « J’ai été promu de simple soldat à général ». Quand il ne tournait pas, il aimait visiter les curiosités touristiques et les musées. Avec tant de rôles de méchants, il est difficile d’imaginer John Doucette choisissant la comédie et pourtant, il avait un faible pour ce genre: « Je me fichais pas mal de ce que je devais faire pour faire rire les gens, si je devais me casser la figure, me tamponner dans un mur, cracher ou frapper quelqu’un. Je le faisais pour les faire rire, pour les rendre heureux et c’est pourquoi j’ai toujours aimé la comédie, parce que la comédie produit cet effet. Cela sort tout le monde des tracas quotidiens. Tu donnes le meilleur de toi-même et c’est une grande satisfaction. »
Comme pour nombre d’autres acteurs, la télévision fut le moyen de renouveler ou de relancer une carrière. Il apparut dans 128 séries différentes avec, pour certaines de multiples apparitions. Il fut un personnage familier de nombreuses séries western comme Annie Oakley, The Lone Ranger, Mon Amie Flicka, Have Gun Will Travel, Gunsmoke, Bat Masterson, La Grande Caravane, Les Mystères de l'Ouest, Bonanza, Le Virginien, Zorro et Kung Fu. John Doucette aimait les chevaux mais il ne se considéra jamais comme un vrai cowboy. Avant d’apparaître dans un western, il s’habituait à sa monture, lui donnant occasionnellement des friandises mais John la brossait et prenait soin de son écurie.
Trois épisodes de Bonanza lui permirent de démontrer toute la palette de ses talents d’acteur. Pour Knight Errant, John Doucette attendait sa future épouse ; cependant, elle sembla déçu par lui et tomba amoureuse de Hoss. Amer et se sentant trahi, John demandait aux Cartwrights de quitter sa propriété et ses expressions faciales traduisaient vraiment ses émotions. Il donna une performance autoritaire en Reverend Evan Morgan, leader de The Brethren dans Devil on Her Shoulder. Quand un orage menaça sa congrégation, John, avec les bras déployés, implora, avec beaucoup d’autorité, pour qu’aucun mal n’arriva à son troupeau. Son côté le plus sinistre est révélé dans The Price of Salt quand son personnage, rempli d’avidité, tentait de monopoliser la seule source d’approvisionnement en sel pour son troupeau, causant la dévastation pour tous les autres ranchers. John Doucette, Jr. accompagna son père sur le tournage de cet épisode. Deux Ans plus tard, lui et Jack Elam apparurent ensemble dans un film. John Doucette fut de nouveau réuni avec Jack Elam dans un épisode de Zorro, Slaves of the Eagle (1958). Dans cet autre rôle non crédité, il arbore une moustache dessiné au crayon et une barbiche pour incarner un sévère et impitoyable collecteur d’impôts. Son comportement sans cœur se ressentait dans les quelques lignes qu’il avait à prononcer. Dans l’épisode de Kung Fu, intitulé The Soul Is the Warrior (1973), John prouve son caractère hostile aussi bien par son talent de cavalier que par son utilisation d’une cravache.
En plus de ses nombreuses séries western, John Doucette apparut dans moult séries dramatiques comme Dick Tracy, Racket Squad, Rebound, Boston Blackie, City Detective, The Lone Wolf, Four Star Playhouse, et Schlitz Playhouse of Stars. Dans la série Letter to Loretta, il interprétait le père de Lillian O'Malley (Beverly Washburn) dans l’épisode Take Care of My Child. Beverly Washburn se rappela « combien il lui était agréable. Il était un acteur remarquable mais était surtout une personne étonnante. » Un autre des ses meilleurs amis fut l’acteur Skip Homeier. Skip dit : « J’ai toujours pensé que les acteurs qui incarnaient les méchants étaient les mecs les plus gentils. Un de mes amis les plus proches et les plus chers fut John Doucette, qui était juste un chaton. Il était le gars le plus charmant du monde et il avait un grand sens de l’humour. »
Ses rôles comiques incluent une apparition en guest star dans Max la menace, dans la peau du Colonel Von Klaus dans To Sire With Love - Part 1 et To Sire With Love - Part 2 (1969). Cela l’amena à assumer un rôle récurrent dans la série de Don Adam, The Partners. L’humour y était similaire à celui de la première série de Don Adams, mais la série fut éphémère. John Doucette y incarna le Capitaine Aaron William Andrews, dont le rôle était similaire à celui du Chef dans Get Smart.
Il ne fut jamais un collectionneur de reliques des films qu’il tourna, mais les souvenirs qu’il conservait, étaient précieux car ils concernaient les personnes avec qui il avait travaillé. John Doucette, Jr. écrivit à Clayton Moore pour lui demander un autographe sur une photo où il montait Silver. Clayton Moore, non seulement lui dédicaça la photo de John Doucette mais lui envoya une autre sur laquelle il lui disait tout le bien qu’il pensait de son père. John Jr. encadra et disposa la photo dans son salon. Quand John Jr rencontra Gail Davis (Annie Oakley), elle mentionna combien elle avait aimé travailler avec son père et après l’avoir serré dans ses bras, il y avait des larmes dans ses yeux.
Profondément religieux, John Doucette refusa les rôles qui égratignaient ses valeurs et cela l’empêcha de travailler avec certains producteurs. Son incroyable talent, cependant, supplanta toutes les listes noires et il ne fut jamais longtemps sans travail. Il adorait la comédie et aimait rire.
Un autre fait peu connu sur John Doucette est qu’il conçut le Summary Discovery Drama Camp, comme une unité éducative en matière d’art dramatique, de lecture interprétative, de technologie, d’expression vocale, de danse et des techniques d’écriture. Ce programme fut conduit pendant 3 étés à l’université de Portland, Oregon. Pour cet effort, l’université le récompensa d’un titre honorifique en beaux arts. De plus, il donna des cours en Arts de la Communication à l’université Loyola et fut un instructeur au Theater of Arts pour la Palo Alto's California Educational Development Corporation.
John Doucette créa la Stagecoach Acting School en 1973 avec les acteurs vétérans Craig Roberts et Robert W. Mulkey à Banning, Californie. Son fils indiqua qu’ il y professa en fait pour aider les enfants défavorisés à avoir un débouché. Il le faisait gratuitement : c’était un moyen pour mon père de rembourser et d’aider les enfants de la communauté locale. Sa voix caractéristique lui permit d’enregistrer certains passages de la Bible et des légendes et croyances des indiens d’Amérique.
John Doucette fut peut-être un merveilleux acteur de composition mais comme tout homme d’affaires, il laissait son travail à son bureau. Une fois qu’il était rentré chez lui, il était simplement Papa. Comme il dira à son fils des années plus tard, Johnny, tout ce que je voulais c’était d’avoir une vie. Il fit en sorte que ses enfants eussent un bonne éducation catholique. Son fils, John, assura que c’est pour son père qu’il termina sa formation de scout. Il n’eut jamais de mauvais souvenirs de ses parents qui étaient exemplaires. Ses 8 enfants étaient tous fiers de leur père.
John aimait aussi la moto et il en posséda une jusqu’à sa mort. Sa fierté et sa joie était une Honda Gold Wing, son moyen de transport pendant de nombreuses années. Il faut admettre qu’imaginer John Doucette dans une combinaison de cuir avec une Steppenwolf jouant en arrière-plan aurait été un peu difficile. Néanmoins, Michael Doucette hérita de l’amour de son père pour les motos et en possédent plusieurs.
D’avoir un père souvent absent de la maison aurait pu être difficile pour la famille. Les enfants Doucette furent en fait fortunés de pouvoir accompagner leur père alors qu’il était à l’étranger. Sa fille Laurie séjourna à Rome pendant le tournage de Cléopâtre et Liza et Cynthia furent à Almeria, Espagne pendant le tournage de Patton. John et ses sœurs visitèrent aussi certains plateaux de tournage. Ils furent notamment présents sur Hogan's Heroes et Bonanza. Dan Blocker laissa John Jr. s’asseoir sur ses genoux entre les prises et Lorne Greene leur prêtait aussi attention pendant le maquillage à 6:00 a.m. Alors qu’ils étaient encore dans leur uniforme d’écoliers, ils s’asseyaient dans l’assistance pour Here's Lucy pendant que Lucille Ball donnait à leur père une très gentille introduction avant que l’enregistrement ne commence. John Jr. fut aussi sur le plateau de tournage de Get Smart et Ed Platt (le Chef) fut très gentil et prit le temps de discuter avec Master Doucette.
John Doucette se confia un jour sur sa carrière, « Je referais la même chose, je ne ferais rien de différent. » John Doucette, Jr. remarqua « tout le monde l’aimait- les pompiers, la police…et le cheval du rancher local et l’épicier. Ils connaissaient tous Papa et il les connaissait. »
John Doucette décéda à Banning, Californie, des suites d’un cancer, le 16 août 1994. Il avait été marié du 8 mai 1948 à sa mort avec Katherine Cecilia Sambles avec qui il eut 8 enfants. Sa pierre tombale se situe au Holy Cross Cemetery de Culver City, Californie.

Sa contribution au western fut la suivante :

La cité de la peur de Sidney Lanfield (1948), le tenancier de bar
Red Stallion in the Rockies de Ralph Murphy (1949), Ivan
Le démon de l’or de S. Sylvan Simon (1949), un homme chez le barbier
Bandits of El Dorado de Ray Nazarro (1949), Tucker
Singing Guns de R.G. Springsteen (1950), un mineur
Return of the Frontiersman de Richard L. Bare (1950), Evans
Sierra d’Alfred E. Green (1950), Jed Coulter
The Iroquois Trail de Phil Karlson (1950), Sam Girty
Winchester 73 d’Anthony Mann (1950), Roan Daley
La flèche brisée de Delbert Daves (1950), le muletier
Border Treasure de George Archainbaud (1950), Bat
Traqué dans la sierra de Frank McDonald (1950), un joueur de poker à Sutter’s Creek
Thunder in God’s Country de George Blair (1951), Breedon
Fort Invincible de Gordon Douglas (1951), le sergent
Cavalry Scout de Lesley Selander (1951), Varney
The Texas Rangers de Phil Karlson (1951), Butch Cassidy
Adventures of Wild Bill Hickock, un épisode, Stopes dans “Ghost Town Story” (1951)
Yukon Manhunt de Frank McDonald (1951), Charles Benson
Rose of Cimarron de Harry Keller (1952), Drunk
The Treasure of Lost Canyon de Ted Tetzlaff (1952), Gyppo
L’ange des maudits de Fritz Lang (1952), Whitey
Les clairons sonnent la charge de Roy Rowland (1952), Bill
La madone du désir de Robert Parrish (1952), Slade
Desert Pursuit de George Blair (1952), Kafan
Le train sifflera trois fois de Fred Zinnemann (1952), Trumbull
Toughest Man in Arizona de R.G. Springsteen (1952), le sergent Wayne
The Range Rider, quatre épisodes :
- Un membre de la poursuite dans “False Trail “ (1951)
- Jeff Harmon dans “Indian Sign” (1951)
- Clyde Armstrong dans “Border City Affair” (1953)
- Cash Corbin dans “Bullets and Badmen” (1953)
The Silver Whip de Harmon Jones (1953), Josh
Les forbans du désert de Fred F. Sears (1953), Burt
Goldtown Ghost Riders de George Archainbaud (1953), Bailey
War Paint de Lesley Selander (1953), le soldat Charnofsky
The Gene Autry Show, six épisodes :
- Ace Bolton dans “The Posse” (1950)
- Ward Clagett dans “The Devil’s Brand” (1950)
- Frank dans “Bullets and Bows” (1952)
- Gimme Porter dans “The Sheriff is a Lady” (1952)
- Brief Williams dans “Ghost Mountain” (1953)
- Le chef des outlaws dans “Dry Gulch at Devil’s Elbow” (1953)
City of Bad Men de Harmon Jones (1953), Cinch
The Adventures of Kit Carson, deux épisodes :
- El Latigo dans “Savage Outpost” (1953)
- Bill Repp dans “Marshal of Gun Town” (1953)
The Cisco Kid, deux épisodes :
- Sandy Harris dans “Pancho and the Wolf Dog” (1953)
- Le sergent Jess Corbin dans “The Faded General” (1953)
Rivière sans retour d’Otto Preminger (1954), un homme dans le saloon
The Forty-Niners de Thomas Carr (1954), Ernie Walker
Je suis un aventurier d’Anthony Mann (1954), le mineur qui crache de la poudre d’or
Le nettoyeur de George Marshall (1954), le vacher
The Roy Rogers Show, six épisodes :
- Dude Dalhart dans “Peril from the Past” (1952)
- Mark Opal dans “Shoot to Kill” (1952)
- Carl Adams dans “Outlaw’s Return” (1952)
- Oley Wolf dans “Huntin’ For Trouble” (1952)
- Hook Carter dans “Backfire” (1954)
- Gil Wiley dans “Strangers” (1954)
Buffalo Bill Jr, un épisode, Jan Peterson dans “ The Rain Wagon” (1955)
Annie Oakley, deux épisodes :
- Hugo Barrett dans “Escape from Diablo” (1954)
- Duke Bailey dans “ Trouble Shooter” (1955)
The Lone Ranger, onze épisodes :
- Dirk Nelson dans “ The Masked Rider” (1949)
- Ox Martin dans “ Gold Fever” (1950)
- Rocky Hanford dans “Sheriff at Gunstock” (1950)
- Pierre Dumont dans “Thieves’ Money” (1950)
- Flack dans “ The Hooded Men” (1951)
- Andrew Gage dans “ Bandits in Uniform” (1953)
- Blaze dans “The Fugitive” (1954)
- Kelso dans “ Rendezvous at Whipshaw” (1954)
- Lew Cates dans “ The School Story” (1955)
- Sawyer le shérif adjoint dans “Trapped” (1955)
- Beau Slate dans “Counterfeit Redskins” (1955)
Steve Donovan, Western Marshal, un épisode, “Outlaw Actor” (1955)
Mon amie Flicka, deux épisodes :
- Hap Scott dans “Rogue Stallion” (1955)
- Andy Benson dans “Black Dust” (1956)
Ghost Town d’Allen H. Miner (1956), Doc Clawson”
Crépuscule sanglant de Jack Arnold (1956), Billy
Quincannon, Frontier Scout de Lesley Selander (1956), le sergent Calvin
La horde sauvage de Joseph Kane (1956), Loudmouth
La première balle tue de Russell Rouse (1956), Ben Buddy
Guet-Apens chez les Sioux de Lewis R. Foster (1956), Rick Largo
Tonnerre sur l’Arizona de Joseph Kane (1956), Rand l’adjoint du shérif
Collines brûlantes de Stuart Heisler (1956), le tenancier de bar
Jesse James, le brigand bien-aimé de Nicholas Ray (1957), le shérif Hillstrom
Le hors-la-loi du Missouri de Paul Landres (1957), Johnson
Les loups dans la vallée de Gordon Douglas (1957), Hagan
The Phantom Stagecoach de Ray Nazarro (1957), Harry Farrow
The Sheriff of Cochise, deux épisodes :
- Vince Walker dans “Closed for Repairs” (1956)
- Barber dans “ Approach with Caution” (1957)
The Lawless Eighties de Joseph Kane (1957), Art ‘Pig’ Corbin
Jicop le proscrit de Henry Levin (1957), Sundown Whipple
Gunsmoke, un épisode, Al Janes dans “ Liar from Blackhawk” (1957)
Man Without a Gun, un épisode, “The Fugitive” (1957)
The Californians, un épisode, Martin Loomis dans “ Little Lost Man” (1957)
Cheyenne, deux épisodes :
- Le sergent Cap Daniels dans “Mountain Fortress” (1955)
- Bill Jenkins dans “ Town of Fear” (1957)
Gunfire at Indian Gap de Joseph Kane (1957), Loder
Mackenzie’s Raiders, un épisode, Jean Jacque Dobois dans “Dream of Empire” (1958)
Trackdown, un épisode, Joe Garth dans “The Reward” (1958)
Zorro, un épisode, Antonio Azuela dans “Slaves of the Eagle” (1958)
La flèche brisée, deux épisodes :
- Bobo Conway dans “The Broken Wire” (1957)
- Cagle dans “War Trail” (1958)
The Rough Riders, un épisode, Wes Sutton dans “The Murderous Sutton Gang” (1958)
The Life and Legend of Wyatt Earp, deux épisodes :
- Orry Taylor dans “Wichita is Civilized” (1956)
- Smiley Dunlap dans “Little Brother” (1958)
U.S. Marshal, un épisode, “Inside Job” (1959)
Have Gun-Will Travel, deux épisodes :
- Joe Marsh dans “The O’Hare Story” (1958)
- Ed Rance dans “Lady on the Stagecoach” (1959)
Lawman, deux épisodes :
- Dick Sellers dans “The Prisoner” (1958)
- Ira Young dans “The Chef” (1959)
Border Patrol, un épisode, Hendricks dans “Killer Abroad” (1959)
Colt 45., un épisode, Lou Gore dans “Dead Aim” (1959)
The Texan, un épisode, le shérif Ben Carter dans “South of the Border” (1959)
Union Pacific, un épisode, un cavalier du Poney Express dans “To the Death” (1959)
Bat Masterson, deux épisodes :
- Luke Simes dans “Buffalo Kill” (1959)
- Lemuel Carstairs dans “A Grave Situation” (1960)
Tombstone Territory, trois épisodes :
- Geronimo dans “Geronimo” (1958)
- Harvey Logan dans “Surrender at Sunglow” (1959)
- Le shérif Eli Parsons dans “The Innocent Man” (1960)
Tales of Wells Fargo, quatre épisodes :
- Boone Helm dans “Alder Gulch” (1957)
- Shorty Boswick dans “The Renegade” (1958)
- Matt dans “The Train Robbery” (1959)
- Le sergent Gaine dans “Reward for Gaine” (1962)
Laramie, un épisode, le shérif Tate dans “Naked Steel” (1963)
La route des rodéos, un épisode, le sergent Palmer dans “The Man Who Ran Away” (1963)
Rawhide, deux épisodes :
- Vasily Kandinsky dans “Incident of the Dogfaces” (1962)
- E.L. Pine dans “Josh” (1965)
La grande caravane, huit épisodes :
- Le général Jameson dans “The Jim Bridger Story” (1961)
- Le marshal Jason Hartman dans “The Orly French Story” (1962)
- Michael McGoo dans “The Michael McGoo Story” (1963)
- Le colonel Wayne Lathrop dans “The Fort Pierce Story” (1963)
- Ben Engel dans “The Ben Engel Story” (1964)
- Boone Gilla dans “Little Girl Lost” (1964)
- Chandler Ames dans “The Chootsie Gubenheimer Story” (1965)
- Burt Enders dans “The Isaiah Quickfox Story” (1965)
Les quatre fils de Katie Elder de Henry Hathaway (1965), Hyselman
The Loner, un épisode en deux parties, Benneke dans “The Mourners for Johnny Sharp” (1966)
Nevada Smith de Henry Hathaway (1966), l’oncle Ben McCanles
Les Monroe, un épisode, Buttermore dans “The Intruders” (1966)
Pistols ‘n’ Petticoats, un épisode, Curt Morton dans “The Taming of Sorry Water” (1967)
Les mystères de l’ouest, deux épisodes :
- John Obediah Brown dans “The Night of the Flaming Ghost” (1966)
- Axel Morgan dans “The Night of the Surreal McCoy” (1967)
Winchester 73, TV western de Herschel Daugherty (1967), Jake Starrett
The Fastest Guitar Alive de Michael D. Moore (1967), Max
Bonanza, trois épisodes :
- Walter Prescott dans “Knight Errant” (1962)
- Le révérend Evan Morgan dans “Devil on her Shoulder” (1965)
- Sid Talbott dans “The Price of Salt” (1968)
La grande vallée, un épisode, Jim North dans “Devil’s Masquerade” (1968)
La brigade des cowboys de William Hale (1968), le général Braxton Bragg
Le virginien, quatre épisodes :
- Le shérif Goodbody dans “Six Graves at Cripple Creek” (1965)
- Calder dans “The Awakening” (1965)
- Lumberfield dans “Requiem for a Country Doctor” (1967)
- Arthur Willis dans “The Stranger” (1969)
100 dollars pour un shérif de Henry Hathaway (1969), le shérif
Le dernier train pour Frisco d’Andrew V. McLagen (1971), le shérif Monte
Big Jake de George Sherman (1971), Buck Duggan
Kung Fu, un épisode, Ed Rankin dans “The Soul is a Warrior” (1973)
Un petit indien de Bernard McEveety (1973), le sergent Waller
Donner Pass : The Road to Survival, TV western de James L. Conway (1978), George Donner
La conquête de l’ouest, un épisode, le shérif Boland dans “The Slavers” (1979)
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Re: John Doucette (1921-1994)

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Re: John Doucette (1921-1994)

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Re: John Doucette (1921-1994)

Message par LordDécadent »

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"Wagon Train:The Fort Pierce Story" en 1963.
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Re: John Doucette (1921-1994)

Message par LordDécadent »

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"The Silver Whip/Le Fouet d'Argent" en 1952.

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"The Fasted Gun Alive/La Première Balle Tue" en 1956.

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"Rawhide:Incident of the Dogfaces" en 1962.

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"Winchester 73" en 1966.
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par LordDécadent »

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"The Iroquois Trail" en 1950.

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"Cheyenne: Town of Fear" en 1957.

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"Gunsmoke: Liar from Blackhawk" en 1957.

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"Tales of Wells Fargo: Reward for Gaine" en 1961.

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"Wagon Train" en 1964.

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"Bonanza: Devil on Her Shoulder" en 1965.
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par JoDel »

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"Broken Arrow / La flèche brisée" en 1950

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"Destry / Le Nettoyeur" en 1954
Avec Audie Murphy

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"The sons of Katie Elder / Les quatre fils de Katie Elder" en 1965
Modifié en dernier par JoDel le 08 mai 2023 18:37, modifié 1 fois.
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté

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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par JoDel »

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"Winchester 73" en 1950
Avec Abner Biberman
Modifié en dernier par JoDel le 13 mai 2023 21:52, modifié 2 fois.
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté

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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par Moi ? Personne... »

Jesse James le brigand bien aimé, Nicholas Ray (1957)

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Modifié en dernier par Moi ? Personne... le 21 mars 2023 17:43, modifié 1 fois.
Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par Moi ? Personne... »

:arrow: Doublon
Modifié en dernier par Moi ? Personne... le 24 oct. 2023 9:48, modifié 2 fois.
Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par harry »

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Malfaisant , dans Border treasure ( 1950)
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par harry »

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Dans Yukon manhunt ( 1951 )
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par harry »

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Petit rôle dans Singing guns ( 1950 )
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par Moi ? Personne... »

Le train sifflera trois fois, Fred Zinnemann (1952)

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Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne
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Re: John DOUCETTE (1921-1994)

Message par harry »

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Dans Incident of the dogfaces ( rawhide , saison 5)
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