Née le 9 août 1931 à Munich, elle fut surtout célébre pour ses apparitions dans les westerns spaghettis et les films d’aventure des années 1960. Elle travailla plus tard à la télévision et comme physicienne.
Entre 1950 et 1971, Marianne Koch apparut dans plus de 65 films. Dans le thriller d’espionnage de 1954, Night People, elle était la vedette aux côtés de Gregory Peck. Dans Pour une Poignée de Dollars de Sergio Leone en 1964, elle est mise en évidence aux côtés de Clint Eastwood dans le rôle d’une civile tourmentée par des gangsters locaux sans scrupules, déchirée entre son mari, son fils et les méchants.
En Allemagne, elle fut surtout bien-aimée pour sa longue participation au très populaire jeu TV, Was bin ich qui fut diffusé des années 1950 à 1988 et atteignait des pics d’audience de 75%.
En 1971, elle reprit les études de médecine qu’elle avait stoppées au début des années 1950 pour devenir une actrice. Elle obtint son doctorat de médecine en 1974 et pratiqua la médecine jusque 1997 comme spécialiste à Munich.
En 1976, elle fut l’une des première invitées du premier talk show de la télévision allemande, 3 nach 9 (Three After Nine), pour lequel elle reçut l’une des récompenses les plus prestigieuses de la télévision allemande, le Grimme Preis. Elle participa aussi à d’autres émissions et eut sa propre émission médicale à la radio.
En 1953, elle épousa le physicien Gerhard Freund, avec qui elle eut deux fils. Le mariage prit fin en 1973 aprés que Gerhard Freund eut commencé une relation avec Miss Monde 1956, Petra Schürmann, qu’il épousa plus tard. Marianne Koch a une relation avec le publiciste Peter Hamm depuis le milieu des années 1980.
Sa filmographie westernienne :
La Chevauchée vers Santa Cruz de Rolf Olsen (1964), Elizabeth Kelly
Pour une Poignée de Dollars de Sergio Leone (1964), Marisol
L’Enfer du Manitoba de Sheldon Reynolds (1965), Jade Grande
Tierra de Fuego de Jaime Jesus Balcazar (1965), Anna-Lisa
Wer Kennt Johnny R. ? de Jose Luis Madrid (1966), Bea Bordet
Clint El Solitario de Alfonso Balcazar (1967), Julie Harrison






