Le Gaucho - Way of a gaucho - 1952 - Jacques Tourneur
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Le Gaucho - Way of a gaucho - 1952 - Jacques Tourneur
Way of the Gaucho, (le Gaucho) 1952, couleur, (FOX)durée: 91 minutes.
Rory Calhoun, Gene Tierney, Richard Boone, Hugh Marlow, Everret Sloan. Realisé par: Jacques Tourneur.
Sujet:
Un gaucho refuse de voir la pampa colonisée par les Américains qui veulent y installer des voies ferrées. Il devient un hors-la-loi à la tête d'une troupe de partisans. Une jeune aristocrate, amoureuse de lui, lui fait comprendre la vanité de sa lutte.
Superbe photo!
Rory Calhoun, Gene Tierney, Richard Boone, Hugh Marlow, Everret Sloan. Realisé par: Jacques Tourneur.
Sujet:
Un gaucho refuse de voir la pampa colonisée par les Américains qui veulent y installer des voies ferrées. Il devient un hors-la-loi à la tête d'une troupe de partisans. Une jeune aristocrate, amoureuse de lui, lui fait comprendre la vanité de sa lutte.
Superbe photo!
Modifié en dernier par metek le 04 janv. 2008 20:01, modifié 1 fois.
Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Une bonne série B, western qui se passe dans la pampa d’Argentine où on peut admirer quelques paysages au passage et surtout la splendide ‘GENE TIERNEY’. Nous y trouvons un cowboy qui se nomme en Espagnol GAUCHO et des BOLEADORAS
qui remplacent les COLT.
Pour mal de westerners y compris moi nous l’avons classé dans notre répertoire western.
Comme d’hab voici la fiche télé pour faire plaisir à un certain nombre.
A SUIVRE......
qui remplacent les COLT.
Pour mal de westerners y compris moi nous l’avons classé dans notre répertoire western.
Comme d’hab voici la fiche télé pour faire plaisir à un certain nombre.
A SUIVRE......
PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
http://western-mood.blogspot.fr/
http://western-mood.blogspot.fr/
Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Un western réalisé par un français... on va le classer ou celui-là ??? Pfffff pas facile
Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Mon cher Jicarilla , CE Gaucho, que j'ai eut le privilege de voir quand j'etais jeune est pour moi aussi consideré comme un authentique western .
Il permet a Rory Calhoun de montrer l'etendue de son talent d'acteur ainsi que Hugh Marlow , acteur peu connu au demeurant .
Tres bon film du grand Jacques Tourneur .
Il permet a Rory Calhoun de montrer l'etendue de son talent d'acteur ainsi que Hugh Marlow , acteur peu connu au demeurant .
Tres bon film du grand Jacques Tourneur .
Richard Boone : Mais qui etes vous ?
John Wayne : Jacob Mc Candles
Richard Boone :Je vous croyais mort !
John Wayne : Pas encore .
Big Jake (1971) George SHERMAN
John Wayne : Jacob Mc Candles
Richard Boone :Je vous croyais mort !
John Wayne : Pas encore .
Big Jake (1971) George SHERMAN
Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Découvert hier soir ce film de Jacques Tourneur que je n'avais jamais vu, et ce fut un vrai plaisir
Tout y est : paysages magnifiques, grands acteurs avec un bel affrontement Boone - Calhoun (pour moi un de ses meilleurs rôles) et la belle Gene Tierney, actions et chevauchées, bonne réalisation avec des plans de toutes beautés.....
Un superbe divertissement qui m'a fait prolongé ma dernière lecture du Tex Willer en Patagonie.
Et franchement un dvd avec une belle copie restaurée rendant grâce au flamboyant technicolor et à l'utilisation de ses couleurs par le réalisateur serait une très bonne idée.
Tout y est : paysages magnifiques, grands acteurs avec un bel affrontement Boone - Calhoun (pour moi un de ses meilleurs rôles) et la belle Gene Tierney, actions et chevauchées, bonne réalisation avec des plans de toutes beautés.....
Un superbe divertissement qui m'a fait prolongé ma dernière lecture du Tex Willer en Patagonie.
Et franchement un dvd avec une belle copie restaurée rendant grâce au flamboyant technicolor et à l'utilisation de ses couleurs par le réalisateur serait une très bonne idée.
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
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Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Cine + Classic va le diffuser mardi 26 juin à 20h40
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Première représentation à Paris le 18 Avril 1953 en version française et originale .
- Ethan63
- Chasseur de primes
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Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Pour celles et ceux que cela intéresserait
- Yosemite
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Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Personnellement, dès que je regarde un western de Jacques Tourneur je m'apprête à passer un moment d'exception.
Il y a toujours une signature, une patte qui compose le moment, qui propose le partage. Je trouve que Tourneur est un cinéaste généreux, qu'il offre un film comme on offre un cadeau. Pour cela, il fait don d'application, de méticulosité, d'originalité, de curiosité... et de talent bien sûr.
Un western en Argentine. Personnellement ma religion (westernienne j'entends) m'interdirait de le regarder voire même d'imaginer que cela puisse être envisagé. Et pourtant, lorsque le nom de ce réalisateur apparaît sur la jaquette, cela change tout.
Et en effet, tout est changé. Un western hors normes par la localisation, par le traitement du scénario également ; l'approfondissement des personnages est splendide, c'est une signature du réalisateur qui s'approche, qui veut comprendre et partager avec nous la vie de ces fameux gauchos qu'il est en train de découvrir lui-même.
Je crois en fait, que Tourneur ne filme pas. Il regarde. Plus encore, il partage avec son public. Il établit un lien entre ses personnages et le spectateur.
B. Tavernier souligne le manque de moyens de la production, c'est en effet une analyse technique très fine et que l'on ne peut que constater lorsqu'il nous en fait part (à ce propos, il est dommage que dans l'édition Sidonis, puisque c'est de celle-ci qu'il s'agit, on coupe ainsi la chique à Bertrand pour clore les bonus...).
Un thème pareil ne pouvait qu'être filmé de près, la seule distance qui nous est proposée ici est celle de l'horizon...
horizon de plaine ou de montagne qui sert à mettre en valeur l'immensité du paysage et l'immensité du désir de liberté de ce fameux gaucho que nous suivrons tout du long.
Par ailleurs, et c'est bien là la grandeur de ce réalisateur, il nous est proposé des plans intimistes, très rapprochés, énigmatiques mêmes tel celui-ci :
Il précède une scène magnifique mentionnée par B. Tavernier dans les bonus. Il la précède, mais également l'introduit en faisant planer une sorte de mystère nocturne, un jeu d'ombres chinoises énigmatiques selon lequel un cheval semble faire un tête à tête avec un animal mythologique.
Quelle trouvaille ! Une sorte de plongée dans l'intimité du rêve, de l'imagination, dans laquelle un animal a valeur d'être vivant à tout comme un être humain ici bas. Une sorte d'aplanissement et de mise en valeur du vivant en fait. Le cheval est vivant, il semble contempler un hippogriffe (peut-être ) tout ceci ornementé d'une belle voute arborée.
Un plan qui est un pur bijou, un aboutissement technique au service de la beauté.
Tourneur est un réalisateur qui aime son public en somme.
Yo.
Il y a toujours une signature, une patte qui compose le moment, qui propose le partage. Je trouve que Tourneur est un cinéaste généreux, qu'il offre un film comme on offre un cadeau. Pour cela, il fait don d'application, de méticulosité, d'originalité, de curiosité... et de talent bien sûr.
Un western en Argentine. Personnellement ma religion (westernienne j'entends) m'interdirait de le regarder voire même d'imaginer que cela puisse être envisagé. Et pourtant, lorsque le nom de ce réalisateur apparaît sur la jaquette, cela change tout.
Et en effet, tout est changé. Un western hors normes par la localisation, par le traitement du scénario également ; l'approfondissement des personnages est splendide, c'est une signature du réalisateur qui s'approche, qui veut comprendre et partager avec nous la vie de ces fameux gauchos qu'il est en train de découvrir lui-même.
Je crois en fait, que Tourneur ne filme pas. Il regarde. Plus encore, il partage avec son public. Il établit un lien entre ses personnages et le spectateur.
B. Tavernier souligne le manque de moyens de la production, c'est en effet une analyse technique très fine et que l'on ne peut que constater lorsqu'il nous en fait part (à ce propos, il est dommage que dans l'édition Sidonis, puisque c'est de celle-ci qu'il s'agit, on coupe ainsi la chique à Bertrand pour clore les bonus...).
Un thème pareil ne pouvait qu'être filmé de près, la seule distance qui nous est proposée ici est celle de l'horizon...
horizon de plaine ou de montagne qui sert à mettre en valeur l'immensité du paysage et l'immensité du désir de liberté de ce fameux gaucho que nous suivrons tout du long.
Par ailleurs, et c'est bien là la grandeur de ce réalisateur, il nous est proposé des plans intimistes, très rapprochés, énigmatiques mêmes tel celui-ci :
Il précède une scène magnifique mentionnée par B. Tavernier dans les bonus. Il la précède, mais également l'introduit en faisant planer une sorte de mystère nocturne, un jeu d'ombres chinoises énigmatiques selon lequel un cheval semble faire un tête à tête avec un animal mythologique.
Quelle trouvaille ! Une sorte de plongée dans l'intimité du rêve, de l'imagination, dans laquelle un animal a valeur d'être vivant à tout comme un être humain ici bas. Une sorte d'aplanissement et de mise en valeur du vivant en fait. Le cheval est vivant, il semble contempler un hippogriffe (peut-être ) tout ceci ornementé d'une belle voute arborée.
Un plan qui est un pur bijou, un aboutissement technique au service de la beauté.
Tourneur est un réalisateur qui aime son public en somme.
Yo.
-
- Chercheur d'or
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- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Je viens de (re ?)découvrir « Way of a Gaucho / Le Gaucho » (si je l’ai déjà vu, c’était il y a très longtemps, et seuls deux moments m’ont évoqué quelque souvenir, sans certitude …), et souhaite faire part de mon enthousiasme.
J’ai été étonné de ne pas trouver davantage de critiques, avis, commentaires sur ce film, de la part de fans de Rory Calhoun, ou simplement de cinéphiles. Tous les ingrédients du western y sont, pourtant … Serait-ce parce que pas situé aux ‘States’ ? … Bah, alors c’est un beau film ‘d’aventures’.
Je ne me suis jamais ennuyé ; une histoire qui se déroule sans temps mort. De nombreux plans d’une grande beauté plastique. (Malheureusement, la copie dvd proposée par Sidonis ne rend pas du tout, à mon avis, justice au Technicolor : contours souvent flous, couleurs passées … on croirait davantage à un N&B recolorisé … -Les captures blu Ray de DVDBeaver ne me convainquent guère davantage, et pourtant, les quelques extraits illustrant l’intervention de M. Tavernier, dans le format d’origine, sont d’une définition plus ‘crisp’ que celle proposée sur le même dvd ... ?- ). Des détails comme je les aime (El Gaucho, Martin, debout sur son cheval, guettant l'horizon de la Pampa, comme sur un ou deux dessins -vus dans des livres, mais dont je n'ai pas les références en tête-, d'un Indien et d'un gaucho, effectivement)
Outre Rory Calhoun, que je n’ai pas trouvé déplacé dans le rôle d’un gaucho argentin (contrairement, parfois, à des stars ‘campant’ des personnages ‘ethniques’), et qui sait faire passer cette fierté latine, beau rôle pour, et bonne interprétation de Richard Boone, et Gene Tierney … Aah, Gene Tierney …
Pour prolonger un peu le plaisir du film, on peut lire, entre autres, « Moi, Antoine de Tounens, Roi de Patagonie » de Jean Raspail, ou, Tecumseh ayant mentionné le « Tex Willer », en BD : « El Gaucho », une collaboration Pratt-Manara-Milo, ou « Gato Montès » de Walter Fahrer.
Dans son intervention, Bertrand Tavernier nous apprend que Jacques Tourneur avait enregistré et souhaitait utiliser comme accompagnement musical des instruments et airs traditionnels plutôt qu'un orchestre symphonique, ce qui ne fut pas accepté par le Studio. Alors, je vous mets quelques liens vers LA grande voix d’Argentine, pour ne pas dire d’Amérique latine, celle de ‘la Negra’ :
http://www.youtube.com/watch?v=BLKPXkUBfiQ
http://www.youtube.com/watch?v=0d_h5CZPyjQ
Il ne reste plus qu’à attendre la sortie de « Savage Pampas / La Pampa Sauvage » (1966) de Fregonese, le régional de l’étape, avec Robert Taylor, film dont j’ai gardé quelques souvenirs (images ‘chocs’, une certaine violence), sans doute efficace, mais moins beau visuellement, et moins ‘emblématique’, représentatif que ce charmant « Way of a Gaucho ».
Il est des films que j’ai plaisir à revoir régulièrement (comme « The Proud Ones / Le Shérif », par exemple, pour ne parler que de westerns), et celui-ci en fera partie.
(Petite erreur dans la fiche télé postée par ce cher Jica : ''Ronald Dumas', et pas 'Roger')
J’ai été étonné de ne pas trouver davantage de critiques, avis, commentaires sur ce film, de la part de fans de Rory Calhoun, ou simplement de cinéphiles. Tous les ingrédients du western y sont, pourtant … Serait-ce parce que pas situé aux ‘States’ ? … Bah, alors c’est un beau film ‘d’aventures’.
Je ne me suis jamais ennuyé ; une histoire qui se déroule sans temps mort. De nombreux plans d’une grande beauté plastique. (Malheureusement, la copie dvd proposée par Sidonis ne rend pas du tout, à mon avis, justice au Technicolor : contours souvent flous, couleurs passées … on croirait davantage à un N&B recolorisé … -Les captures blu Ray de DVDBeaver ne me convainquent guère davantage, et pourtant, les quelques extraits illustrant l’intervention de M. Tavernier, dans le format d’origine, sont d’une définition plus ‘crisp’ que celle proposée sur le même dvd ... ?- ). Des détails comme je les aime (El Gaucho, Martin, debout sur son cheval, guettant l'horizon de la Pampa, comme sur un ou deux dessins -vus dans des livres, mais dont je n'ai pas les références en tête-, d'un Indien et d'un gaucho, effectivement)
Outre Rory Calhoun, que je n’ai pas trouvé déplacé dans le rôle d’un gaucho argentin (contrairement, parfois, à des stars ‘campant’ des personnages ‘ethniques’), et qui sait faire passer cette fierté latine, beau rôle pour, et bonne interprétation de Richard Boone, et Gene Tierney … Aah, Gene Tierney …
Pour prolonger un peu le plaisir du film, on peut lire, entre autres, « Moi, Antoine de Tounens, Roi de Patagonie » de Jean Raspail, ou, Tecumseh ayant mentionné le « Tex Willer », en BD : « El Gaucho », une collaboration Pratt-Manara-Milo, ou « Gato Montès » de Walter Fahrer.
Dans son intervention, Bertrand Tavernier nous apprend que Jacques Tourneur avait enregistré et souhaitait utiliser comme accompagnement musical des instruments et airs traditionnels plutôt qu'un orchestre symphonique, ce qui ne fut pas accepté par le Studio. Alors, je vous mets quelques liens vers LA grande voix d’Argentine, pour ne pas dire d’Amérique latine, celle de ‘la Negra’ :
http://www.youtube.com/watch?v=BLKPXkUBfiQ
http://www.youtube.com/watch?v=0d_h5CZPyjQ
Il ne reste plus qu’à attendre la sortie de « Savage Pampas / La Pampa Sauvage » (1966) de Fregonese, le régional de l’étape, avec Robert Taylor, film dont j’ai gardé quelques souvenirs (images ‘chocs’, une certaine violence), sans doute efficace, mais moins beau visuellement, et moins ‘emblématique’, représentatif que ce charmant « Way of a Gaucho ».
Il est des films que j’ai plaisir à revoir régulièrement (comme « The Proud Ones / Le Shérif », par exemple, pour ne parler que de westerns), et celui-ci en fera partie.
(Petite erreur dans la fiche télé postée par ce cher Jica : ''Ronald Dumas', et pas 'Roger')
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Très belle découverte pour moi, comme d'habitude rien à ajouter aux commentaires ci dessus..
Simplement que j'adore les nattes de Gene, et qu'elle trimbale son rouge à lèvres même dans le fond de la pampa, à l'instar de toutes les stars de cette époque!
Simplement que j'adore les nattes de Gene, et qu'elle trimbale son rouge à lèvres même dans le fond de la pampa, à l'instar de toutes les stars de cette époque!
Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)
Re: Le Gaucho – Way of a Gaucho – Jacques Tourneur - 1952
Un peu déçu par une nouvelle vision, mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi car'apprécie le commentaire de "Yo" ci dessus qui est génial (comme souvent). Il me manque sans doute des Stetson à la place du chapeau de Rory...
Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)