La Première balle tue - The Fastest gun alive - 1956 - Russell Rouse
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- lafayette
- Lieutenant
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- Enregistré le : 22 déc. 2010 1:53
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Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
Je viens de revoir ce film après ma sortie cinéma. J’ai passé un bon moment aux deux.
Je suis surpris qu’un westerner ait parlé de pistolet au lieu de revolver plus haut, mais Yo ma plus grande surprise est que tu dises que le titre français est bien choisi et je m’inscris en faux contre cette assertion.
La première balle tue, c’est une grossière erreur pour ne pas dire un mensonge.
La troisième balle tue voilà la réalité de ce dernier Gunfight du film. Les bons tireurs ne le sont pas si bien puisqu’ils se loupent au départ bien que plus gros que des pièces!
Quant à Jeanne Crain, elle craint, le dis-je sur l’air de Casse-Noisettes! Pauvre Glenn Ford on comprend ses angoisses... mais bon, elle est mignonne et au Far West, il n’y en a pas toujours comme dans Johnny Guitare par ex.
On a même eu parmi les pénibles, l’épicière de La Petite Maison dans la Prairie enrôlée pour venir faire craquer l’épicier.
Effectivement comme je l’ai lu, le film ne propose pas de profondes envolées textuelles, pour ne pas dire littéraires, tout comme La Caravane vers le Soleil .
Mais ces films tiennent assez bien le suspense. Et la scène de bar où notre peureux se montre bravache envers ses potes et voisins vaut largement le détour. Tout comme la somptueuse attaque contre les Indiens par les Basques bondissant sur les rochers. Petite réponse titillesque à Chip.
Je suis surpris qu’un westerner ait parlé de pistolet au lieu de revolver plus haut, mais Yo ma plus grande surprise est que tu dises que le titre français est bien choisi et je m’inscris en faux contre cette assertion.
La première balle tue, c’est une grossière erreur pour ne pas dire un mensonge.
La troisième balle tue voilà la réalité de ce dernier Gunfight du film. Les bons tireurs ne le sont pas si bien puisqu’ils se loupent au départ bien que plus gros que des pièces!
Quant à Jeanne Crain, elle craint, le dis-je sur l’air de Casse-Noisettes! Pauvre Glenn Ford on comprend ses angoisses... mais bon, elle est mignonne et au Far West, il n’y en a pas toujours comme dans Johnny Guitare par ex.
On a même eu parmi les pénibles, l’épicière de La Petite Maison dans la Prairie enrôlée pour venir faire craquer l’épicier.
Effectivement comme je l’ai lu, le film ne propose pas de profondes envolées textuelles, pour ne pas dire littéraires, tout comme La Caravane vers le Soleil .
Mais ces films tiennent assez bien le suspense. Et la scène de bar où notre peureux se montre bravache envers ses potes et voisins vaut largement le détour. Tout comme la somptueuse attaque contre les Indiens par les Basques bondissant sur les rochers. Petite réponse titillesque à Chip.
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Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
western avec du suspense, une bonne idée de scénario même si au final il ne montre rien. J'aime bien quand les méchants ne sont pas d'accord entre eux. Correct mais dispensable.
Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
La Première balle tue (The Fastest Gun Alive – 1956) de Russell Rouse
METRO GOLDWIN MAYER
Avec Glenn Ford, Jeanne Crain, Broderick Crawford, Leif Erickson, John Dehner
Scénario : Frank D. Gilroy & Russell Rouse
Musique : André Prévin
Photographie : George J. Folsey (Noir et blanc 1.85)
Un film produit par Clarence Greene pour la MGM
Sortie USA : 12 juillet 1956
Pour situer le premier des deux westerns réalisés par Russell Rouse, il pourrait s'apparenter à des films plus connus tels La Cible humaine (The Gunfighter) d'Henry King ou Le Train sifflera trois fois (High Noon) de Fred Zinnemann ; à savoir des westerns à petits budgets et en noir et blanc, sobres et presque austères de par leurs intrigues minimalistes, et où seule une portion congrue est dédiée à l'action, la psychologie des personnages étant bien plus importante que dans la majorité des films du genre. La Première balle tue pourrait donc également entrer dans la catégorie de ce que l'on a communément (et hâtivement) appelé à peu près à cette époque le 'sur-western', c'est à dire des westerns 'plus adultes' que la moyenne, basés avant tout sur les tourments de leurs personnages aux dépens des coups de feu et, plus globalement, du mouvement. Et d'ailleurs Glenn Ford, pour son protagoniste torturé, pourrait s'être inspiré pour son interprétation, du jeu de la 'méthode', autrement dit de l'Actor's Studio, intériorisant beaucoup, le regard souvent perdu dans le vague, la tête dans la paume de ses mains comme s'il doutait constamment, se posant de multiples problèmes de conscience... Cette rapide description est évidemment très caricaturale d'autant que la méthode de Strasberg a donné des choses formidables et en premier lieu Marlon Brando. Mais Glenn Ford m'a semblé moins convaincant ici que par le passé, moins sobre, moins juste, forçant un peu trop le trait ; tout comme le film d'ailleurs que j'aimais assez auparavant mais qui m'a paru aujourd'hui particulièrement lourd et pénible à l'instar justement de High Noon. Mais comme pour ce dernier, les louangeurs du film étant largement majoritaires par rapport à ses détracteurs, je vous invite à vérifier par vous-même malgré mon avis à suivre, plutôt assez sévère à son encontre. Je pense sincèrement que les admirateurs du célèbre film de Fred Zinnemann avec Gary Cooper et Grace Kelly ont de très fortes chances de beaucoup apprécier aussi le western de Russell Rouse.
Toujours à vouloir se rassurer d'être 'le tireur le plus rapide' ('The Fastest Gun Alive'), le hors-la-loi Vinnie Harold (Broderick Crawford) est confronté ce jour à Clint Fallon dont la réputation de fine gachette n'est plus à faire. Vinnie tue sans peine son adversaire. La nouvelle se propage très vite aux environs et ce jusqu'à la petite ville de Cross Creek où l'exploit du bandit est rapidement sur toutes les lèvres. A tel point que George Temple (Glenn Ford), le paisible épicier non violent, souvent objet des moqueries de ses concitoyens, dans un sursaut d'orgueil, craque et leur fait part de son mystérieux secret. Alors que personne ne l'a jamais surpris une arme à la main, il continue en fait à s'entrainer quotidiennement et en cachette au pistolet. Pour faire oublier son lourd passé de pistolero sans cesse provoqué par des gunfighters avides de gloire, il avait pourtant promis à son épouse enceinte (Jeanne Crain) non seulement de ne plus boire une goutte d'alcool mais aussi de ne plus jamais retoucher à une arme et surtout de rester caché anonymement au sein de cette petite ville. Aujourd'hui, il fait la démonstration dans la rue centrale et devant tous les habitants, de sa virtuosité phénoménale dans le maniement du pistolet. Pendant ce temps, Vinnie et ses deux acolytes continuent de mettre la région à feu et à sang ; durant un hold-up, ils tuent le shérif de Yellow Fork. Un posse s'organise pour les poursuivre en direction de Cross Creek. Les bandits arrivent dans la petite ville pour se procurer des montures fraîches au moment où George vient déposer ses armes sur l'autel durant le sermon du dimanche, promettant de ne plus jamais y toucher. Mais Vinnie, apprennant de la bouche d'un jeune garçon la réputation de George, lui fait demander de sortir se mesurer à lui, prenant l'enfant en otage pour obliger son concurrent à revenir sur la promesse qu'il vient de faire devant ses concitoyens et son épouse...
Fils d'un pionnier du cinéma, Edwin Russell, Russell Rouse a commencé sa carrière comme écrivain et (ou) scénariste à la Paramount ; il sera par exemple l'auteur de l'histoire de Mort à l'arrivée (D.O.A) de Rudolph Maté et, en collaboration avec le producteur de La Première balle tue, celui de la célèbre et hilarante comédie de Michael Gordon avec le couple Doris Day / Rock Hudson, Confidences sur l'oreiller (Pillow Talk). Tout en passant derrière la caméra en 1951 pour une courte filmographie de seulement onze films, il n'arrêtera donc cependant jamais ce premier métier, continuant de participer à l'écriture de ses propres films et écrivant aussi pour les autres. "C'est le roi du gimmick, des astuces dramatiques, des idées insolites, le tout développé avec sérieux dans un cadre réaliste" pouvait-on lire à propos du cinéaste sous la plume de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon dans leur 50 ans de cinéma américain. Connaissant très peu sa filmographie, j'aurais du mal à confirmer mais en tout cas cette brève description colle parfaitement bien au western dont il est question ici. Les gimmicks et astuces dramatiques sont bien présents, aussi bien concernant le passé du héros que lors de la scène finale, le tout développé avec beaucoup (trop) de sérieux et dans un cadre effectivement réaliste. Quant aux idées insolites, on les retrouve surtout dans la forme, certains cadrages ou plans se révélant assez curieux. Mais justement, ce mélange d'insolite et de réalisme ne fait parfois pas très bon ménage. Autant, sur un sujet très approchant, celui du pistoléro qui n'arrive pas à trouver la paix, sans cesse provoqué par de jeunes orgueilleux voulant se mesurer à lui, La Cible humaine d'Henry King s'avérait remarquable de par un traitement de la dramaturgie d’une redoutable efficacité et une mise en scène constamment maîtrisée, autant The Fastest Gun Alive pêche par le fait de vouloir mélanger deux éléments antinomiques et irréconciliables que sont la sobriété et l'exubérance mélodramatique.
Et c'est le pourtant génial compositeur André Prévin le premier coupable, ou plutôt l'utilisation qui est faite de sa partition. Si son thème principal est superbe, sa musique est trop souvent excessivement exacerbée là où ce n'était pas nécessaire, lors de séquences qui n' avaient pas besoin d'une telle exagération. Car plaquer des phrases musicales d'un puissant lyrisme sur des images ultra-réalistes, ce n'est pas forcément très convainquant et le résultat est même contraire au but recherché. Il en va de même pour la direction d'acteurs ; vouloir faire un film sobre tout en demandant à ses comédiens de parfois surjouer, ça ne colle pas vraiment non plus. Ainsi, malgré le fait que ce soit un remarquable acteur, Glenn Ford n'est pas toujours aussi fin et aussi juste que dans ses meilleurs films, ceux de Delmer Daves notamment, pas toujours très à l'aise dans le registre mélodramatique ; quant à Broderick Crawford, il prouve à nouveau que, même si parfois magnifique acteur, mal dirigé, il tombe facilement dans le cabotinage excessif, son 'Bad Guy' fanfaron devenant ainsi plus exacerbant que réellement inquiétant ; Jeanne Crain dans le rôle de l'épouse enceinte se révèle également assez décevante et surtout assez mal mise en valeur aussi bien par le scénariste que par le responsable du maquillage. L'insolite provient également d'un mélange des genres ici totalement incongru ; lors de la séquence de la kermesse, voici Russ Tamblyn qui entame un numéro de danse acrobatique certes endiablé et impressionnant mais qui n'a absolument pas sa place dans un western qui se voulait au départ très sérieux. Cette scène 'de remplissage' arrive comme un cheveu sur la soupe et comme s'il avait absolument fallu étirer la durée du film. Nous passons donc ainsi en l'espace de quelques secondes d'un western moralisateur à une comédie musicale. Malgré tout, cette séquence aura eu le mérite de nous faire oublier un instant que nous nous trouvions devant un film bavard et sentencieux (prêchi-prêcha même lors de la longue troisième partie à l'intérieur de l'église), d'une pénible théâtralité.
Le postulat de départ était intéressant (pourquoi, un soir d'ivresse, le héros de l'histoire va-t-il briser la vie de quiétude qui lui était enfin offerte ? ) et le secret du personnage interprété par Glenn Ford (que je vous laisse le soin de découvrir) très original. Le scénario semblait très bien pensé avec son découpage en trois parties assez distinctes et d'une durée équivalente (la description de la petite ville et de ses concitoyens ; la catharsis du héros qui, dans un sursaut d'orgueil malvenu, ne peut s'empêcher de dévoiler son talent caché ; la dernière partie pleine de tension qui se dirige indubitablement vers un tragique duel) mais il s'avère au final très mince, assez laborieux et manquant singulièrement de subtilité. Et même si l'on ne peut pas dire qu'il s'agit d'un mauvais film, la déception l'a donc emporté sur presque toute la ligne. Autant la psychologie du personnage joué par Glenn Ford est assez poussée autant les habitants de la ville ne semblent être que des pantins (on ne sent pas vraiement vivre la petite localité) ; autant la bluffante démonstration de virtuosité du héros et le duel final sont remarquablement et ingénieusement filmés au sein d'un très beau noir et blanc, autant tout ce qui les entoure s'avère mou, terne, intempestivement bavard et rarement captivant, les clichés étant également de la partie. Si beaucoup y verront l'un des très bons westerns adultes des années 50, quelques-uns auront eu l'impression de se trouver devant du mauvais et plutôt indigeste théâtre filmé. Je vous laisse choisir votre camp sans vouloir plus vous influencer ! Quoiqu'il en soit, ce fut l'un des plus gros et inattendus succès de l'année 1956 pour la MGM !
Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
Pour ce qui concerne les tireurs qui dégainent le plus vite, qui ont donc la meilleure chance de gagner un duel et qui engendre qu'il
y a toujours quelqu'un qui veut se mesurer, pour comparer ses talents, en mettant leur vie en danger....
et un tireur très adroit qui peut atteindre n'importe quelle cible dans n'importe quelle condition, il y a une grande différence...
Dans ce Western, la population qui a estimé avoir trouvé l'homme le plus rapide pour un duel, se sont trempé et leur imprudence
aurait pu coûter la vie au tireur le plus adroit...
avec leur indiscrétions, les citadins vont pas assurer la vie de celui qui gagne un combat comme ça.
y a toujours quelqu'un qui veut se mesurer, pour comparer ses talents, en mettant leur vie en danger....
et un tireur très adroit qui peut atteindre n'importe quelle cible dans n'importe quelle condition, il y a une grande différence...
Dans ce Western, la population qui a estimé avoir trouvé l'homme le plus rapide pour un duel, se sont trempé et leur imprudence
aurait pu coûter la vie au tireur le plus adroit...
avec leur indiscrétions, les citadins vont pas assurer la vie de celui qui gagne un combat comme ça.
Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
Grande surprise pour la fin de ce western , pas revu depuis 2007 , je n'en dirais pas plus car j'avais vraiment oublié le final de ce western psychologique de grande qualité .
La qualité image n'a pas bougé en 13 ans et ce film est remarquable par sa tension permanente et on se dit pourquoi Glenn Ford craque au bout de 4 ans alors qu'il n'était pas au courant de l'existence d'un nouveau tireur ? , il devait sans doute cogiter depuis longtemps sur sa fuite lors de la mort de son père et a changé beaucoup d'endroits pour oublier ,alors que moi dans mon souvenir je pensais qu'il se cachait pour éviter les nouveaux tueurs de se mesurer à lui et arrêter de tuer !
Résultat de son état mental , il veut montrer aux gens qu'il n'est pas qu'un gentil épicier et montrer qu'il en a dans le ventre en faisant cette démonstration avec les pièces et cela va créer sa réputation qu'il va malgré lui devoir assumer .
Tout n'est pas parfait dans ce film , notamment la belle scène de danse et acrobatie de Russ Tamblyn qui est sympa, mais peut être était t'elle là pour nous montrer le contraste entre les gens qui s'amusent et le tourment terrible de Glenn Ford ?
Dans ce film beaucoup de visages connus du western , Noah Berry Jr , John Doucette , Dub Taylor etc..., et un peu au dessus John Dehner très bon ainsi que Leif Erickson et bien sur Jeanne Crain et Broderick Crawford .
Un bon moment passé avec ce très bon acteur qu'est Glenn Ford toujours crédible intelligent dans ses rôles , donc ce "The fastest gun alive" ça c'est du western
La qualité image n'a pas bougé en 13 ans et ce film est remarquable par sa tension permanente et on se dit pourquoi Glenn Ford craque au bout de 4 ans alors qu'il n'était pas au courant de l'existence d'un nouveau tireur ? , il devait sans doute cogiter depuis longtemps sur sa fuite lors de la mort de son père et a changé beaucoup d'endroits pour oublier ,alors que moi dans mon souvenir je pensais qu'il se cachait pour éviter les nouveaux tueurs de se mesurer à lui et arrêter de tuer !
Résultat de son état mental , il veut montrer aux gens qu'il n'est pas qu'un gentil épicier et montrer qu'il en a dans le ventre en faisant cette démonstration avec les pièces et cela va créer sa réputation qu'il va malgré lui devoir assumer .
Tout n'est pas parfait dans ce film , notamment la belle scène de danse et acrobatie de Russ Tamblyn qui est sympa, mais peut être était t'elle là pour nous montrer le contraste entre les gens qui s'amusent et le tourment terrible de Glenn Ford ?
Dans ce film beaucoup de visages connus du western , Noah Berry Jr , John Doucette , Dub Taylor etc..., et un peu au dessus John Dehner très bon ainsi que Leif Erickson et bien sur Jeanne Crain et Broderick Crawford .
Un bon moment passé avec ce très bon acteur qu'est Glenn Ford toujours crédible intelligent dans ses rôles , donc ce "The fastest gun alive" ça c'est du western
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- Chercheur d'or
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Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
Tout à fait d'accord avec votre conclusion sur ce film, Harry, mais, à cette cadence de westerns par semaine, vous et lasso, que disent vos docteurs respectifs ?
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
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Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
Monsieur LimpyChris , je ne sais pas pour Lasso , mais pour moi j'ai deux consultations :
La première chez l'ophtalmo car j'ai confondu Anthony Quinn et César Roméro et Rod Cameron avec Don Megowan .
La deuxième plus sérieuse est chez le psychiatre car j'ai dis au docteur que j'étais un confédéré de la Vienne sud et que je détestais les Yankee de la Vienne nord .
Pour mon addiction aux westerns il a dit que mon cas était désespéré et qu'il y avait pire .
Bonnes fêtes de fin d'année à vous et à tous les membres du site
PS :Comme écrivait un humoriste de France Foot ball dans les années 1980 : N'en croyez pas un mot
La première chez l'ophtalmo car j'ai confondu Anthony Quinn et César Roméro et Rod Cameron avec Don Megowan .
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- Chercheur d'or
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Re: La première balle tue - The Fastest Gun alive - 1956 - Russell Rouse
Harry, you made my day !!
Et ça c'est de l'humour !
Merci pour vos voeux ... mais on vous reverra quand même avant, pour votre fameux "et ça ..." ?
Et ça c'est de l'humour !
Merci pour vos voeux ... mais on vous reverra quand même avant, pour votre fameux "et ça ..." ?
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- Yosemite
- Texas ranger
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- Localisation : Issy (ou là ?)
Re: La Première balle tue - The Fastest gun alive - 1956 - Russell Rouse
A 11ans d'écart environ, mon avis reste à peu près identique sur ce western. On pourra peut-être reprocher à Glenn Ford de surjouer certains passages, trouver quelques séquences un peu lentes également, mais dans l'ensemble cela reste un western très agréable à regarder selon moi.
Malgré un rôle de second rang, John Dehner est superbe à chaque apparition et impose son rythme de façon magistrale.
Cela a déjà été beaucoup dit sur le fil de la discussion, mais comment ne pas revenir encore une fois sur l'incarnation de Jeanne Crain. Juste et magnifique à la fois, on sent une femme amoureuse qui, sans dire un mot de trop, convainc le spectateur qu'elle connaît son mari mieux que tout le monde autour d'elle et anticipe mieux que quiconque les événements qui vont se produire.
Finalement, quelques raccourcis ici et là auraient probablement amélioré le rythme en concentrant davantage le scénario sur l'essentiel, le film y aurait certainement gagné en intensité.
Yo.
Malgré un rôle de second rang, John Dehner est superbe à chaque apparition et impose son rythme de façon magistrale.
Cela a déjà été beaucoup dit sur le fil de la discussion, mais comment ne pas revenir encore une fois sur l'incarnation de Jeanne Crain. Juste et magnifique à la fois, on sent une femme amoureuse qui, sans dire un mot de trop, convainc le spectateur qu'elle connaît son mari mieux que tout le monde autour d'elle et anticipe mieux que quiconque les événements qui vont se produire.
Finalement, quelques raccourcis ici et là auraient probablement amélioré le rythme en concentrant davantage le scénario sur l'essentiel, le film y aurait certainement gagné en intensité.
Yo.