Franco GÙLA

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Franco GÙLA

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Franco GÙLA est un acteur ayant largement contribué au western italien, grâce à de nombreux rôles de pilier de bar, homme de loi et autres petites apparitions... Ce petit bonhomme est sans doute, après Antonio Palombi (le "barbu méconnu du spagh"), l'Old Timer le plus célèbre et courant du western spaghetti, tout en étant un oublié. Idéal pour ce genre de rôle avec sa petite taille et sa barbe blanche, il apparaît pour la première fois au cinéma dans Le Guépard, Luchino Visconti (1963). Il joue deux ans après dans son premier western : Je te tuerai, Sergio Bergonzelli puis l'année suivante, il apparît dans Arizona Colt, Michele Lupo et dans Le Temps du massacre, Lucio Fulci, avec Franco Nero, ainsi que dans les deux premiers volets de la trilogie de Giuseppe Colizzi qui verra naître le duo Terence Hill-Bud Spencer : Dieu pardonne...moi pas (1967) et Les Quatre de l'Ave Maria (1968). Sa carrière s'achève dans les années 1970 avec notamment Et le vent apporta la violence, Antonio Margheriti (1971), où il assiste à l'entraînement de tir de Klaus Kinski sur une girouette. "Bravo ! Maintenant on ne saura même plus d'où vient le vent !"

Filmographie western :
Je te tuerai, Sergio Bergonzelli (1965)
Gringo joue sur le rouge, Alberto Cardone (1966)
Arizona Colt, Michele Lupo (1966)
Le temps du massacre, Lucio Fulci (1966)
El Rojo, Leopoldo Savona (1966)
Mon nom est Pécos, Maurizio Lucidi (1966)
Joe l'implacable, Anthonio Margheriti (1967)
Johnny Texas, Emimmo Salvi (1967)
Le Retour de Django, Osvaldo Civirani (1967)
Né pour tuer, Antonio Mollica (1967)
Dieu pardonne...moi pas, Giuseppe Colizzi (1967)
T'as le bonjour de Trinita, Ferdinando Baldi (1967)
Un colt dans le poing du Diable, Sergio Bergonzelli (1967)
Une minute pour prier, une seconde pour mourir, Franco Giraldi (1967)
Gringo joue et gagne, Umberto Lenzi (1968)
Django, prépare ton cercueil, Ferdinando Baldi (1968)
Tire... si tu veux vivre ! ,Sergio Garrone (1968)
Ric e Gian alla conquista del West, Osvaldo Civirani (1968)
Cinq gâchettes d'or, Tonino Cervi (1968)
Ringo ne devait pas mourir, Gianfranco Baldanello (1968)
Les 7 enragés du Texas, Alberto Cardone (1968)
Le salaire de la haine, Ferdinando Baldi (1968)
Les quatre de l'Ave Maria, Giuseppe Colizzi (1968)
Pour un dollar je tire, Osvaldo Civirani (1968)
La colère de Dieu, Alberto Cardone (1968)
Trois croix pour ne pas mourir, Sergio Garrone (1968)
Les Pistoleros de l'Ave Maria, Ferdinando Baldi (1969)
Kidnapping! Paga o uccidiamo tuo figlio, Alberto Cardone (1969)
Et le vent apporta la violence, Antonio Margheriti (1971)
Le Juge, Frederico Chentrens (1971)
Un homme appellé Dakota, Mario Sabatini (1972)
Trinita tire et dit... amen! , Alfio Caltabiano (1972)


Arizona Colt, Michele Lupo (1966)

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Le temps du massacre, Lucio Fulci (1966)

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Mon nom est Pécos, Maurizio Lucidi (1966)

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Joe l'implacable, Anthonio Margheriti (1967)

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Dieu pardonne...moi pas, Giuseppe Colizzi (1967)

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T'as le bonjour de Trinita, Ferdinando Baldi (1967)

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Une minute pour prier, une seconde pour mourir, Franco Giraldi (1967)

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Gringo joue et gagne, Umberto Lenzi (1968)

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Django, prépare ton cercueil, Ferdinando Baldi (1968)

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Cinq gâchettes d'or, Tonino Cervi (1968)

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Ringo ne devait pas mourir, Gianfranco Baldanello (1968)

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Le salaire de la haine, Ferdinando Baldi (1968)

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Les quatre de l'Ave Maria, Giuseppe Colizzi (1968)

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Les Pistoleros de l'Ave Maria, Ferdinando Baldi (1969)

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Et le vent apporta la violence, Antonio Margheriti (1971)

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Modifié en dernier par Moi ? Personne... le 21 mai 2023 18:45, modifié 1 fois.
Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne
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Re: Franco GÙLA

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Les 7 enragés du Texas, Alberto Cardone (1968)

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Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne
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Re: Franco GÙLA

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Le retour de Django, Osvaldo Civirani (1967)

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Re: Franco GÙLA

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Un colt dans le poing du diable, Sergio Bergonzelli (1967)

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avec Marisa Solinas
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