>>> Sur la toile Limpy

... f... toi de moi, va !!
Oui, bien sûr, le fond ... C'est sûr qu'on a pied. Mais comme d'une part, je ne suis jamais sûr de moi, je me garderai d'être dur avec d'autres et que, d'autre part, je pense que nous ne sommes pas le public cible ... Le but est peut-être plutôt de conseiller un/des films, en ouvrant le genre en commençant par des choses 'faciles', facilement trouvables, qui donnent envie aux jeunes générations, un ton fendard, pour des films fendards, gore, c'est

... On crée une envie de voir, de découvrir ... Si l'un ou l'autre des films choisis peut devenir une porte d'entrée, sans prise de tête, ma foi ...
L'un peut entraîner à voir tout Leone, et, derrière, le western italien, et, en tirant le fil ... le meilleur du western américain ... puis le film noir, puis ... etc.
Les goûts changent et s'affinent peut-être ... Les marvelleries ont un temps et peuvent mener à autre chose (ou pas, mais n'a-ce pas tjs été le cas, suivant la curiosité de chacun) ... Gardons espoir ... Petit, j'aimais Rintintin et "La Grande Vadrouille" (mon premier souvenir de cinéma, dans une salle pleine et populaire, avec des amis de mes parents, dont le Monsieur, bon vivant avait un rire communicatif, qui fut assurément "le treizième homme" de cette soirée) et aujourd'hui, tu vois, j'aime Rintintin et "La grande vadrouille".
(et il y a des choses qu'on adorait gamin, et que, plus tard, on se demande ce qu'on pouvait bien trouver à ce truc, et j'ai ajouté quelques 'trucs' à Rintintin et "La grande V., du film japonais, coréen, du film noir ... etc, ETC. chaque chose arrive à point ... et pour "les jeunes" d'aujourd'hui, comme les jeunes d'hier et d'avant hier, certains chercheront ailleurs, creuseront, feront preuve de curiosité, d'autres se contenteront de ce qui les conforte ... et les rencontres qui se font tout au long de la vie peuvent aider à 'ouvrir les possibles' ... On peut commencer par Béa la coquine, Tristan, Antoine -lequel a un rire discret horripilant ?-, Kamel, Fouad et Thomas le vanneur, et plus tard, tomber par bonheur sur HART dont la manière dont il parle d'un bouquin, d'un genre, d'un film vont te titiller et te donner l'envie d'aller voir ...) Gardons espoir, donc. Il y a toujours un HART qui veille quelque part ...dans la forêt de Sherwood ou ailleurs ... Hein ? non, j'ai pas dit où il est ... M'en fous, à son retour, ou à son procès, je dirai que c'est Bébert qui l'a vendu pour des gaufrettes.
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.