[BD] Durango - Yes Swolfs - Yes Swolfs / Thierry Girod / Iko (Edition des Archers, Alpen puis Soleil Productions)
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- Marshall
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[BD] Durango - Yes Swolfs - Yes Swolfs / Thierry Girod / Iko (Edition des Archers, Alpen puis Soleil Productions)
Stop - Confirmé - Stop - Arrivé de Durango (14), en ville semaine prochaine - Stop - Savez reste à faire
DURANGO en bd
La sortie du nouveau Durango est repoussée au printemps, sans doute
parce que la terre est moins dure a creuser et les fleurs moins chères.
parce que la terre est moins dure a creuser et les fleurs moins chères.
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- Marshall
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Durango BD
Comme la sortie du Durango 14 de Soleil darde :
En amuse bouche un avant goût sur planche :
Girod à la place de Swolfs, on y voit que du feu, Giraud planne au dessus du tout, c'est de l'auto-Gir.
En amuse bouche un avant goût sur planche :
Girod à la place de Swolfs, on y voit que du feu, Giraud planne au dessus du tout, c'est de l'auto-Gir.
Comme la sortie du Durango 14 de Soleil darde :
En amuse bouche un avant goût sur planche :
Girod à la place de Swolfs, on y voit que du feu, Giraud planne au dessus du tout, c'est de l'auto-Gir. Mort de rire Mort de rire Mort de rire
Hello J. L.
J L devient un spécialiste du scanne
Sacré retraites ils ont du mal
Content de retour JL tu auras des mocassins à Noel
ASTA LA vista
PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
http://western-mood.blogspot.fr/
http://western-mood.blogspot.fr/
Il y a qq semaines j'ai acheté les 2 premiers albums DURANGO pour voir. Je ne regrette pas mon achat. Voilà une série BD bien sympa qui repompe allègrement dans les "classiques" du western spaghetti, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Ainsi, par exemple, pour "Les Chiens meurent en hiver", Durango ressemble à Jean Louis Trintrignan et l'histoire se passe dans les décors enneigés du film "Le Grand Silence". Les clins d'oeil sont parfois plus subtils, mais Yves Swolfs vient clairement repiquer des idées dans le western transalpin. J'aime beaucoup.
Du coup, hier j'ai acheté les 3 suivants. Le libraire m'a dit que les derniers numéros (11,12 et 13) étaient aujourd'hui en rupture de stock, mais que l'éditeur allait re-éditer l'ensemble des 13 albums à l'occasion de la sortie du 14ème opus prochainement.
Ainsi, par exemple, pour "Les Chiens meurent en hiver", Durango ressemble à Jean Louis Trintrignan et l'histoire se passe dans les décors enneigés du film "Le Grand Silence". Les clins d'oeil sont parfois plus subtils, mais Yves Swolfs vient clairement repiquer des idées dans le western transalpin. J'aime beaucoup.
Du coup, hier j'ai acheté les 3 suivants. Le libraire m'a dit que les derniers numéros (11,12 et 13) étaient aujourd'hui en rupture de stock, mais que l'éditeur allait re-éditer l'ensemble des 13 albums à l'occasion de la sortie du 14ème opus prochainement.
Les westerns ? Ya pas d'âge pour en manger !
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- Marshall
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- Enregistré le : 11 oct. 2005 10:51
La sortie de Durango 14 a été reporté pour la 4e fois, elle doit avoir lieu courrant avril.
Le changement d'éditeur y est peut-être pour qq chose, à moins
que Jean Giraud ai vu d'un mauvais oeil la reprise du dessin par Girod, dessin qui on ne peut pas le nier a été "légérement" influencé.
Proximité de nom, proximité de graphisme, c'est peut-être trop. Les ventes de Durango doivent être d'un autre poids que celles de Wanted.
Ce sont que des reflexions de ma part, pures hypothèses pour
donner une explication a ces reports de sortie, étranges.
Le changement d'éditeur y est peut-être pour qq chose, à moins
que Jean Giraud ai vu d'un mauvais oeil la reprise du dessin par Girod, dessin qui on ne peut pas le nier a été "légérement" influencé.
Proximité de nom, proximité de graphisme, c'est peut-être trop. Les ventes de Durango doivent être d'un autre poids que celles de Wanted.
Ce sont que des reflexions de ma part, pures hypothèses pour
donner une explication a ces reports de sortie, étranges.
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- Marshall
- Messages : 2826
- Enregistré le : 11 oct. 2005 10:51
Ce que j'avançais n'est qu'une hypothèse.
Mais ce que tu dis est vrai, Jijé n'a jamais rien dit à Giraud sauf sans doute lorsque Giraud faisait ses 1ère armes chez lui, ou lorsque il lui dessinait les couvertures de ses premiers albums ou lorsque Jijé reprenait
au pied levé la suite de l'album de Blueberry que Giraud avait laissé en plan pour se barrer au Mexique sans prevenir.
Donc compares ce qui est comparable!
Mais ce que tu dis est vrai, Jijé n'a jamais rien dit à Giraud sauf sans doute lorsque Giraud faisait ses 1ère armes chez lui, ou lorsque il lui dessinait les couvertures de ses premiers albums ou lorsque Jijé reprenait
au pied levé la suite de l'album de Blueberry que Giraud avait laissé en plan pour se barrer au Mexique sans prevenir.
Donc compares ce qui est comparable!
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- Marshall
- Messages : 2826
- Enregistré le : 11 oct. 2005 10:51
Désolé, mais je ne saurais pas te répondre, n'ayant aucun Tout Jijé.
Je viens de vérifier sur le BDM, il semblerait que Tout Jijé édité par Dupuis
ne reprenne que du matériel venant de la production de Joseph Gillain (JG) de sa période Dupuis il n'y a pas par exemple de reprise de Tanguy et Laverdure.
Je connais les premières planches de l'adaptation du film Le spécialiste
que Jijé avait fait pour Johnny une revue de BD qui ne connu que 7 n°
début des années 70.
Pour Mon nom est Personne, sur le coup je me suis dit que non, et maintenant j'ai un doute, il me semble vaguement revoir Terence Hill sous
le trait de Jijé, mais pas plus.
Je viens de vérifier sur le BDM, il semblerait que Tout Jijé édité par Dupuis
ne reprenne que du matériel venant de la production de Joseph Gillain (JG) de sa période Dupuis il n'y a pas par exemple de reprise de Tanguy et Laverdure.
Je connais les premières planches de l'adaptation du film Le spécialiste
que Jijé avait fait pour Johnny une revue de BD qui ne connu que 7 n°
début des années 70.
Pour Mon nom est Personne, sur le coup je me suis dit que non, et maintenant j'ai un doute, il me semble vaguement revoir Terence Hill sous
le trait de Jijé, mais pas plus.
J'adore Jijé (Joseph Gillain) et Giraud. J'ai rencontré le premier (il était venu nous voir aux A-D, pour une conférence en compagnie d'autres dessinateurs de BD (dont Forrest), et nous avait fait le plaisir de rester discuter avec nous (et parmi nous !) pour commenter les quelques planches qu'ils nous avait apportées. C'était un homme d'une simplicité extraordinaire ; il ne nous a pas caché ses ratages (et la manière dont ils les avait rattrapés), ses hésitations et son côté instinctif.
Il faut également dire que le bon Joseph avait refilé, vers 1960, quelques personnages aux copains : "Valhardy" à Eddy Paape (pour deux ou trois albums), ou Spirou à Franquin (qui était une reprise de Rob-Vel, de son vrai nom, "Robert Velter"), mais dont il avait déjà dégagé les prémices.
Giraud a effectivement commencé chez Jijé. Dans Blueberry, très vite, son style s'est éloigné de celui-ci. Heureusement, quand Jijé l'a remplacé au pied levé, c'était dans les débuts ("Le cavalier perdu"). A partir de "L'homme à l'étoile d'argent" ou, pire encore" de "La mine de l'allemand perdu", cela se serait trop remarqué, tant le traitement du cadrage, de la "mise en ombre" et même de l'encrage était devenu différent !
Quoique... Gir nous a ainsi pondu des planches parmi les plus belles que j'ai vues... Mais, parfois, il a pu nous sortir les pires... quand il en "bâclait" certaines (dans Ballade pour un cercueil, par exemple...).
Ayant arrêté Blueb, après "Angel Face" pour se livrer, sous le nom de Moebius à des activités humanoïdes avec ses associés ("Le garage hermétique", entre autres), il l'a repris pour "booster" les ventes de "Métal hurlant" (du moins c'est ce qui s'est dit à l'époque).
Là, il a alterné le très bon, l'excellent et le moins bon (il y a des moments, pas si fréquents heureusement, où il devait être très en retard dans ses livraisons de planches !). Blueberry s'est arrêté, pour moi, après le très mauvais "Arizona love", paru dans... "France-soir" ; l'épisode de trop !
Ainsi, tout se termine réellement depuis la disparition de Jean-Michel Charlier, auteur (trop ?) prolifique de scénarios ultra-conventionnels comme "Marc Dacier", "Buck Danny", "Les chevaliers du ciel", "Barbe Rouge"... où il se plagiait lui-même, à l'instar d'un Howard Hawks, mais il avait dû être touché par la grâce quand il a imaginé Blueberry !
Une vraie BD de vrai western... toute suite n'étant, à mon avis, que péripéties commerciales...
Il faut également dire que le bon Joseph avait refilé, vers 1960, quelques personnages aux copains : "Valhardy" à Eddy Paape (pour deux ou trois albums), ou Spirou à Franquin (qui était une reprise de Rob-Vel, de son vrai nom, "Robert Velter"), mais dont il avait déjà dégagé les prémices.
Giraud a effectivement commencé chez Jijé. Dans Blueberry, très vite, son style s'est éloigné de celui-ci. Heureusement, quand Jijé l'a remplacé au pied levé, c'était dans les débuts ("Le cavalier perdu"). A partir de "L'homme à l'étoile d'argent" ou, pire encore" de "La mine de l'allemand perdu", cela se serait trop remarqué, tant le traitement du cadrage, de la "mise en ombre" et même de l'encrage était devenu différent !
Quoique... Gir nous a ainsi pondu des planches parmi les plus belles que j'ai vues... Mais, parfois, il a pu nous sortir les pires... quand il en "bâclait" certaines (dans Ballade pour un cercueil, par exemple...).
Ayant arrêté Blueb, après "Angel Face" pour se livrer, sous le nom de Moebius à des activités humanoïdes avec ses associés ("Le garage hermétique", entre autres), il l'a repris pour "booster" les ventes de "Métal hurlant" (du moins c'est ce qui s'est dit à l'époque).
Là, il a alterné le très bon, l'excellent et le moins bon (il y a des moments, pas si fréquents heureusement, où il devait être très en retard dans ses livraisons de planches !). Blueberry s'est arrêté, pour moi, après le très mauvais "Arizona love", paru dans... "France-soir" ; l'épisode de trop !
Ainsi, tout se termine réellement depuis la disparition de Jean-Michel Charlier, auteur (trop ?) prolifique de scénarios ultra-conventionnels comme "Marc Dacier", "Buck Danny", "Les chevaliers du ciel", "Barbe Rouge"... où il se plagiait lui-même, à l'instar d'un Howard Hawks, mais il avait dû être touché par la grâce quand il a imaginé Blueberry !
Une vraie BD de vrai western... toute suite n'étant, à mon avis, que péripéties commerciales...
Cuacuacocomekiki ? (Averell Dalton)