Lonesome - Yves Swolfs
Règles du forum
Voir aussi le sous-forum "Livres"
Voir aussi le sous-forum "Livres"
- pale rider
- Eclaireur
- Messages : 1060
- Enregistré le : 27 janv. 2015 17:18
- Localisation : Fort Navajo
Lonesome - Yves Swolfs
Yves Swolfs, créateur de la série Durango, revient au western avec une nouvelle série : Lonesome.
Le tome 1, intitulé "la piste du prêcheur" sort en édition noir & blanc le 3 novembre et la version couleurs en janvier.
L'action se passe en 1861, entre le Kansas et le Missouri...
Quelques planches de cet album à paraître....
Le tome 1, intitulé "la piste du prêcheur" sort en édition noir & blanc le 3 novembre et la version couleurs en janvier.
L'action se passe en 1861, entre le Kansas et le Missouri...
Quelques planches de cet album à paraître....
Alors j'ai regardé, et sur un cheval pâle se dressait son cavalier nommé Mort et la mort l'accompagnait.
- Le Gaucher83
- Sergent
- Messages : 952
- Enregistré le : 04 sept. 2017 18:44
- Localisation : Quelques part dans l'ouest
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Hâte de le lire !!
Billy Clanton : T'es tellement saoul que tu tiens à peine ton arme. J'parie qu'imbibé comme t'es, tu m'vois double.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.
- pale rider
- Eclaireur
- Messages : 1060
- Enregistré le : 27 janv. 2015 17:18
- Localisation : Fort Navajo
Re: Lonesome - Yves Swolfs
deux nouvelles illustrations couleurs de cette nouvelle série à paraître ainsi que deux planches couleurs
Alors j'ai regardé, et sur un cheval pâle se dressait son cavalier nommé Mort et la mort l'accompagnait.
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Swolfs a été marqué pour la vie par " Le grand silence " : Après le Mauser 98 trimballé par Durango dans la quasi-totalité de la série , les premières planches de Lonesome reproduisent le générique du film de Corbucci ( magnifique , il est vrai , avec l'une des plus belles musiques de Morricone).
Quant à ses gunfights , même si ils sont superbement dessinés , ils sont toujours aussi improbables que si ils avaient été tournés en Italie il y a déjà 50 ans.
Mais ne boudons pas notre plaisir.
Quant à ses gunfights , même si ils sont superbement dessinés , ils sont toujours aussi improbables que si ils avaient été tournés en Italie il y a déjà 50 ans.
Mais ne boudons pas notre plaisir.
- Le Gaucher83
- Sergent
- Messages : 952
- Enregistré le : 04 sept. 2017 18:44
- Localisation : Quelques part dans l'ouest
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Lu et le scénario est classique mais touffu dans un contexte pré guerre de sécession avec un personnage charismatique qui en plus de me faire penser à Durango m'a également fait penser à Nero dans Degli Orsi.
Il y a des personnages secondaires bien travaillés comme le shériff, Clayton et Marcus par exemple.
Graphiquement ça tiens merveilleusement la route et il y a des planches de toutes beautés avec une mise en scène très soignées. En noir et blanc, je trouve que cela renforce le très beau trait réaliste d'Yves Swolfs.
Bref j'ai aimé.
Il y a des personnages secondaires bien travaillés comme le shériff, Clayton et Marcus par exemple.
Graphiquement ça tiens merveilleusement la route et il y a des planches de toutes beautés avec une mise en scène très soignées. En noir et blanc, je trouve que cela renforce le très beau trait réaliste d'Yves Swolfs.
Bref j'ai aimé.
Billy Clanton : T'es tellement saoul que tu tiens à peine ton arme. J'parie qu'imbibé comme t'es, tu m'vois double.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.
- pak
- Harmonica
- Messages : 5132
- Enregistré le : 10 nov. 2012 16:30
- Localisation : Massy town
- Contact :
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Pas encore lu, mais je me demande quel intérêt il y a d'avoir laissé tomber Durango, pour apparemment refaire quasi la même chose...
Quand on joue dans un western, on peut embrasser le cheval mais pas l'actrice.
Gary Cooper
http://www.notrecinema.com/
Le quiz western 2014
Gary Cooper
http://www.notrecinema.com/
Le quiz western 2014
- Le Gaucher83
- Sergent
- Messages : 952
- Enregistré le : 04 sept. 2017 18:44
- Localisation : Quelques part dans l'ouest
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Il n'a pas laisser tomber Durango étant donné qu'il scénarise la série.
Quant à Lonesome à part l'ambiance neigeuse et le look du personnage ça n'a rien n'a voir avec Durango. Certes graphiquement il peu y avoir des ressemblances mais étant donné que c'est son style de dessin il y a forcément des similitudes.
Quant à Lonesome à part l'ambiance neigeuse et le look du personnage ça n'a rien n'a voir avec Durango. Certes graphiquement il peu y avoir des ressemblances mais étant donné que c'est son style de dessin il y a forcément des similitudes.
Billy Clanton : T'es tellement saoul que tu tiens à peine ton arme. J'parie qu'imbibé comme t'es, tu m'vois double.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Le charme de Durango, sorti vers 1980, c'est que Swolfs reprenait décors et silhouettes des spaghetti westerns, qu'on s'amusait à identifier et reconnaître, les films passant encore en salles ou disponibles , déjà, sur les premières vidéocassettes sorties. Comme le remarquait Laurence Staig, le "genre" tire sa force de la répétition des mêmes décors, des mêmes lieux, d'une bande à l'autre, des mêmes acteurs.... (Le Western Italien, Un opéra de violence, 1977 pour l'édition en français).
Ce principe de plaisir semble reposer ici sur la nostalgie de ... la nostalgie. Le personnage principal a la tête contemporaine de Franco Nero, soit le retour de Django 40 à 50 ans plus tard.
(Personnellement , une série que je ne suivrais pas, je préfère ce qui a été fait il y a 40 ans et plus, notamment les Manos Kelly et premiers Mc Coy de Palacios, qui sont les séries réfléchissant le mieux l'univers du western spaghetti. )
Ce principe de plaisir semble reposer ici sur la nostalgie de ... la nostalgie. Le personnage principal a la tête contemporaine de Franco Nero, soit le retour de Django 40 à 50 ans plus tard.
(Personnellement , une série que je ne suivrais pas, je préfère ce qui a été fait il y a 40 ans et plus, notamment les Manos Kelly et premiers Mc Coy de Palacios, qui sont les séries réfléchissant le mieux l'univers du western spaghetti. )
-
- Chercheur d'or
- Messages : 4567
- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Tout à fait d'accord. Swolfs semble tourner en rond et se complaire, se confire dans la nostalgie ... (qui n'est pas la mienne ; raison pour laquelleCe principe de plaisir semble reposer ici sur la nostalgie de ... la nostalgie.
...Personnellement , une série que je ne suivrais pas, je préfère ce qui a été fait il y a 40 ans et plus, notamment les Manos Kelly et premiers Mc Coy de Palacios
mais là, plus d'accord ... de Manos Kelly à McCoy, je pourrais 'citer', preuves à l'appui, quasiment toutes les deux pages, les nombreux documents américains, tant les photos d'époque/historiques (Edward S. Curtis et d'autres) que les photos de films, comme "Le Massacre de Fort Apache", et autres John Ford, et les références à ses films dans les scénarios, caractérisations de certains personnages, utilisation de trognes de certains acteurs de westerns américains, et l'utilisation récurrente de Monument Valley en décors.qui sont les séries réfléchissant le mieux l'univers du western spaghetti.
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Certes, c 'est tout à fait visible, mais les couleurs saturées dégradées ou en aplats violents, sonores , la stylisation, l'outrance parfois caricaturale, cela ramène au visuel du western spaghetti. "La caméra", chez Palacios, n'est jamais à hauteur d'homme tranquille, tout est toujours sophistiqué, tarabiscoté, plutôt que le répertoire, il faudrait interroger le traitement graphique et la perception des images qui en découle.
-
- Chercheur d'or
- Messages : 4567
- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Ah, bien sûr, si i' faudrait plutôt interroger le traitement graphique, alors là, naturellement ...
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
- pak
- Harmonica
- Messages : 5132
- Enregistré le : 10 nov. 2012 16:30
- Localisation : Massy town
- Contact :
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Mouais... Vous êtes en train de dire ce que je pense depuis longtemps, sans crèmerie préférentielle, à savoir que l'un et l'autre se sont, un temps, mutuellement nourris, le western américain et le spaghetti.
Après tout le western italien a débuté en singeant l'américain. Puis Leone est apparu tel le messie (ou presque), et c'est lui qui a été singé. En fait on est en présence alors de deux cinémas qui se sont rejoints dans une même logique, copier ce qui marche. Le cinéma américain a toujours recyclé les recette vendeuses, d'où moult remakes depuis les débuts du cinéma.
L'italien des années 1960 à 80 n'a fait que la même chose (quitte à en perdre son âme), recyclant à outrance des succès en salles : westerns, films de guerre, de pirates, péplums, espionnage, cape et épée... Avec bien-sûr un regard et une approches, certes plus latine, plus européenne même aussi, et aussi en allant plus loin dans certains aspects comme la violence, le sexe, la crasse, pour se démarquer. Mais quand l'un de ces recyclages fonctionnait (c'est-à-dire rapportait de l'argent), les américains recyclaient à leur tour en utilisant les mêmes outrances : ça n'a pas donné que des réussites, mais ça a nourri le cinéma d'Hollywood, comme depuis toujours d'ailleurs, car après tout, Hollywood s'est construit ainsi et continue de le faire.
D'où cette profusion (confusion ? ) de références dans la BD western européenne. Blueberry, classique des classiques, s'est inspiré des deux. Peut-être pas Charlier au début qui a créé la BD en revenant de voyages aux USA, mais il n'aurait pas fallu grand chose pour pousser Jean Giraud vers les excès du spaghetti...
Après tout le western italien a débuté en singeant l'américain. Puis Leone est apparu tel le messie (ou presque), et c'est lui qui a été singé. En fait on est en présence alors de deux cinémas qui se sont rejoints dans une même logique, copier ce qui marche. Le cinéma américain a toujours recyclé les recette vendeuses, d'où moult remakes depuis les débuts du cinéma.
L'italien des années 1960 à 80 n'a fait que la même chose (quitte à en perdre son âme), recyclant à outrance des succès en salles : westerns, films de guerre, de pirates, péplums, espionnage, cape et épée... Avec bien-sûr un regard et une approches, certes plus latine, plus européenne même aussi, et aussi en allant plus loin dans certains aspects comme la violence, le sexe, la crasse, pour se démarquer. Mais quand l'un de ces recyclages fonctionnait (c'est-à-dire rapportait de l'argent), les américains recyclaient à leur tour en utilisant les mêmes outrances : ça n'a pas donné que des réussites, mais ça a nourri le cinéma d'Hollywood, comme depuis toujours d'ailleurs, car après tout, Hollywood s'est construit ainsi et continue de le faire.
D'où cette profusion (confusion ? ) de références dans la BD western européenne. Blueberry, classique des classiques, s'est inspiré des deux. Peut-être pas Charlier au début qui a créé la BD en revenant de voyages aux USA, mais il n'aurait pas fallu grand chose pour pousser Jean Giraud vers les excès du spaghetti...
Quand on joue dans un western, on peut embrasser le cheval mais pas l'actrice.
Gary Cooper
http://www.notrecinema.com/
Le quiz western 2014
Gary Cooper
http://www.notrecinema.com/
Le quiz western 2014
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Les générations, les parcours et les intentions ne sont pas les mêmes, du tout.
Yves Swolfs naît en 1955. Durango prolonge ce qui disparaît des salles, le western spaghetti. En 1980 on ne voit plus guère en exclusivité que les Leone et les Terence Hill/Bud Spencer (Les Quatre de l'Ave Maria ressort encore en exclusivité l'été 1981). Le reste est discrètement visible dans quelques salles de quartier parisiennes, un peu en province. Les dernières sorties ou ressorties (retitrages et ressorties Audi Film par ex.) datent des années 76/77. Je suppose l'exploitation belge identique, sauf que le cable RTL diffuse beaucoup de western spaghettis en Belgique (voir les programmes TV RTL des années 70,publiés en France par Télérama, pour les téléspectateurs du Nord et de l'Est. )
Swolfs travaille Le Grand Silence (Les chiens meurent en hiver) avec un décalage d'environ 10 ans (Le Grand Silence est diffusé sur Antenne 2 en août 1979).
Il s'est rendu à Almeria en 1979 (je l'avais rencontré quelques années après pour lui donner des tuyaux sur ce qu'il n'avait pas trouvé, je ne l'ai jamais revu.) Graphiquement, son trait est très influencé par les incontournables Giraud et Herman, dont il est difficile de se défaire en 1980 pour un jeune auteur de western.
Giraud atteint sa maturité graphique en même temps qu'éclate le western spaghetti sur les écrans. Il précise dans une intéressante interview parue dans Phenix vers 1971/1972 les influences de Leone sur lui (l'auteur travaille sur Chihuaha Pearl lors de la rencontre). Ballade pour un cercueil , c'est du vrai spaghetti western dans le traitement visuel. Giraud a bénéficié du style Leone pour libérer quelque chose en lui de virtuose.
Palacios a une carrière très longue dans la publicité avant d'entamer la bande dessinée. Il reste beaucoup de traces de l'affiche dans son style. Dans ses cases, les éléments les plus réalistes voisinent avec des graphismes complètement abstraits, ce qui était le plus frappant avec les couleurs très particulières , quand les premiers Mc Coy sont sortis dans Lucky Luke (les planches étaient en couleurs directes). Manos Kelly avait été publié dans des albums Mon Journal, à faible tirage, avec des couleurs moins bien imprimées, mais là aussi la recherche de l'effet visuel , les contrastes entre réalisme intensif (la diligence sous la pluie) et abstraction étaient très appuyés. Si vous prenez l'entrée de Manos Kelly dans Nogales, on a l'impression nette de voir un film de Romero Marchent ou Sergio Leone (le cadre), le village mexicain spaghetti étant devenu comme le prototype du décor de western. Habitant Madrid, il est fort probable que Palacios ait vu les Poblados del Oeste construits à quelques kilomètres à l'entour, peut-être même les tournages.... on va dire qu'il était dans un environnement propice à digérer le style spaghetti.
Yves Swolfs naît en 1955. Durango prolonge ce qui disparaît des salles, le western spaghetti. En 1980 on ne voit plus guère en exclusivité que les Leone et les Terence Hill/Bud Spencer (Les Quatre de l'Ave Maria ressort encore en exclusivité l'été 1981). Le reste est discrètement visible dans quelques salles de quartier parisiennes, un peu en province. Les dernières sorties ou ressorties (retitrages et ressorties Audi Film par ex.) datent des années 76/77. Je suppose l'exploitation belge identique, sauf que le cable RTL diffuse beaucoup de western spaghettis en Belgique (voir les programmes TV RTL des années 70,publiés en France par Télérama, pour les téléspectateurs du Nord et de l'Est. )
Swolfs travaille Le Grand Silence (Les chiens meurent en hiver) avec un décalage d'environ 10 ans (Le Grand Silence est diffusé sur Antenne 2 en août 1979).
Il s'est rendu à Almeria en 1979 (je l'avais rencontré quelques années après pour lui donner des tuyaux sur ce qu'il n'avait pas trouvé, je ne l'ai jamais revu.) Graphiquement, son trait est très influencé par les incontournables Giraud et Herman, dont il est difficile de se défaire en 1980 pour un jeune auteur de western.
Giraud atteint sa maturité graphique en même temps qu'éclate le western spaghetti sur les écrans. Il précise dans une intéressante interview parue dans Phenix vers 1971/1972 les influences de Leone sur lui (l'auteur travaille sur Chihuaha Pearl lors de la rencontre). Ballade pour un cercueil , c'est du vrai spaghetti western dans le traitement visuel. Giraud a bénéficié du style Leone pour libérer quelque chose en lui de virtuose.
Palacios a une carrière très longue dans la publicité avant d'entamer la bande dessinée. Il reste beaucoup de traces de l'affiche dans son style. Dans ses cases, les éléments les plus réalistes voisinent avec des graphismes complètement abstraits, ce qui était le plus frappant avec les couleurs très particulières , quand les premiers Mc Coy sont sortis dans Lucky Luke (les planches étaient en couleurs directes). Manos Kelly avait été publié dans des albums Mon Journal, à faible tirage, avec des couleurs moins bien imprimées, mais là aussi la recherche de l'effet visuel , les contrastes entre réalisme intensif (la diligence sous la pluie) et abstraction étaient très appuyés. Si vous prenez l'entrée de Manos Kelly dans Nogales, on a l'impression nette de voir un film de Romero Marchent ou Sergio Leone (le cadre), le village mexicain spaghetti étant devenu comme le prototype du décor de western. Habitant Madrid, il est fort probable que Palacios ait vu les Poblados del Oeste construits à quelques kilomètres à l'entour, peut-être même les tournages.... on va dire qu'il était dans un environnement propice à digérer le style spaghetti.
- pale rider
- Eclaireur
- Messages : 1060
- Enregistré le : 27 janv. 2015 17:18
- Localisation : Fort Navajo
Re: Lonesome - Yves Swolfs
Quelques nouvelles concernant la série. J'ai rencontré Yves Swolfs au festival bd de Louvain-la-Neuve (Belgique) lors d'une séance de dédicaces. Outre, une belle dédicace, nous avons pu échanger sur la série et le Western.
Durango est une série dans laquelle il a transposé tout sa passion pour le Western spaghetti avec un héros qui physiquement est un mélange de Jean-Louis Trintignant, Franco Nero et Clint Eastwood, un premier épisode fortement inspiré du "Grand Silence" un de ses films cultes, des personnages reprenant les traits d'acteurs (Klaus Kinski-Reno, Tomas Millian-Amos, Jack Palance-Logan), des ambiances, etc.
Lonesome traite de la situation entre le Kansas et le Missouri avant la guerre de Sécession car Jean-Michel Charlier a déjà traité le sujet durant la guerre de Sécession dans la Jeunesse de Blueberry (les démons du Missouri/Terreur sur le Kansas mettant Blueberry au prise avec Quantrill et le sénateur Lane). Ne voulant pas faire une redite, il a donc choisi cette option.
Le héros de cette série ressemble volontairement à Franco Nero car c'est un de ses acteurs favoris de Western. La ressemblance avec Durango s'arrête là.
Au niveau du scénario, les prochains épisodes devraient bien différencier les deux séries avec notamment l'arrivée du héros dans une ville de l'est (New York ou Washington).
La série devrait comporter 4 épisodes.
Voilà, les quelques infos que j'ai pu recueillir durant cette séance de dédicaces.
Pour conclure, j'ai été ravi de rencontrer Yves Swolfs qui est quelqu'un de fort sympathique qui adore échanger avec ses fans.
Durango est une série dans laquelle il a transposé tout sa passion pour le Western spaghetti avec un héros qui physiquement est un mélange de Jean-Louis Trintignant, Franco Nero et Clint Eastwood, un premier épisode fortement inspiré du "Grand Silence" un de ses films cultes, des personnages reprenant les traits d'acteurs (Klaus Kinski-Reno, Tomas Millian-Amos, Jack Palance-Logan), des ambiances, etc.
Lonesome traite de la situation entre le Kansas et le Missouri avant la guerre de Sécession car Jean-Michel Charlier a déjà traité le sujet durant la guerre de Sécession dans la Jeunesse de Blueberry (les démons du Missouri/Terreur sur le Kansas mettant Blueberry au prise avec Quantrill et le sénateur Lane). Ne voulant pas faire une redite, il a donc choisi cette option.
Le héros de cette série ressemble volontairement à Franco Nero car c'est un de ses acteurs favoris de Western. La ressemblance avec Durango s'arrête là.
Au niveau du scénario, les prochains épisodes devraient bien différencier les deux séries avec notamment l'arrivée du héros dans une ville de l'est (New York ou Washington).
La série devrait comporter 4 épisodes.
Voilà, les quelques infos que j'ai pu recueillir durant cette séance de dédicaces.
Pour conclure, j'ai été ravi de rencontrer Yves Swolfs qui est quelqu'un de fort sympathique qui adore échanger avec ses fans.
Alors j'ai regardé, et sur un cheval pâle se dressait son cavalier nommé Mort et la mort l'accompagnait.
- Le Gaucher83
- Sergent
- Messages : 952
- Enregistré le : 04 sept. 2017 18:44
- Localisation : Quelques part dans l'ouest
Re: Lonesome - Yves Swolfs
As tu eu des infos concernant une date de sortie pour le prochain Durango ?
Billy Clanton : T'es tellement saoul que tu tiens à peine ton arme. J'parie qu'imbibé comme t'es, tu m'vois double.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.
Doc Holliday : Mais j'ai deux colts, alors je t'aurai tous les deux.