Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
USA - Studio COLUMBIA and UNIVERSAL
anglais - couleur - 2.35:1
121 minutes
musique Dave Grusin
histoire de Paul Gaer et Robert Garland
scénario de Robert Garland
acteurs / actrices
Robert Redford / Sonny
Jane Fonda / Hallie
Valerie Perrine / Charlotta
Willie Nelson / Wendell
John Saxon / Hunt Sears
Nicholas Coster / Fitzgerald
Allan Arbus / Danny
Wilford Brimley / Farmer
Lieux de tournages : Nevada, Las Vegas - Utah, St. Georg, Grafton, Zion N.P.
Synopsis
Sonny est un ancien champion de Rodeo, maintenant brisé, il se donne pour des publicités
de céréales pour petit déjeuner et doit se produire à dos de cheval, pour apparaître dans
des Shows d'attractions, des grands Casinos de Las Vegas. Son cheval et lui-même sont dans
un apparat électrique.
Comme ce cheval est un étalon champion de course, ses promoteurs, pour le calmer, lui
injectent des drogues dans les jambes et le corps, afin de le garder tranquille sur scène.
Sonny n'est quand-même pas passé si bas, quand il en devient conscient, il décide de voler
le cheval, en le guérissant des drogues, afin de lui redonner la santé et de le libérer dans
la nature quelque-part au Utah.
Police et Médias, se mettent à sa poursuite : Valeur du Champion $ 5 millions.....
anglais - couleur - 2.35:1
121 minutes
musique Dave Grusin
histoire de Paul Gaer et Robert Garland
scénario de Robert Garland
acteurs / actrices
Robert Redford / Sonny
Jane Fonda / Hallie
Valerie Perrine / Charlotta
Willie Nelson / Wendell
John Saxon / Hunt Sears
Nicholas Coster / Fitzgerald
Allan Arbus / Danny
Wilford Brimley / Farmer
Lieux de tournages : Nevada, Las Vegas - Utah, St. Georg, Grafton, Zion N.P.
Synopsis
Sonny est un ancien champion de Rodeo, maintenant brisé, il se donne pour des publicités
de céréales pour petit déjeuner et doit se produire à dos de cheval, pour apparaître dans
des Shows d'attractions, des grands Casinos de Las Vegas. Son cheval et lui-même sont dans
un apparat électrique.
Comme ce cheval est un étalon champion de course, ses promoteurs, pour le calmer, lui
injectent des drogues dans les jambes et le corps, afin de le garder tranquille sur scène.
Sonny n'est quand-même pas passé si bas, quand il en devient conscient, il décide de voler
le cheval, en le guérissant des drogues, afin de lui redonner la santé et de le libérer dans
la nature quelque-part au Utah.
Police et Médias, se mettent à sa poursuite : Valeur du Champion $ 5 millions.....
- COWBOY PAT-EL ZORRO
- Texas ranger
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Re: Le Cavalier Electrique - The electric Horseman - 1979 - Sydney Pollack
On m'avait offert le dvd il y a plusieurs années... Il me semble qu'Arte a rediffusé le film il y a juste un an ou moins...
Je ne suis pas un grand fan de ce genre de film avec le mélange western moderne et romance mais je me souviens avoir bien aimé lors de cette rediffusion.
Lundi soir dernier je retrouvais mon dvd... J'ai de nouveau adoré...
Le champion de rodéo en bout de course faisant de la pub pour les céréales western sans y croire et l'attraction avec le cheval manège au supermarché j'aimais bien...
Jane Fonda: malgré tout le respect que j'ai pour son père c'était pas une actrice que j'appréciais... Mais là elle s'en sort bien je trouve, même si comme Redford je la trouvais énervante au début...
Le cheval: franchement j'ai adoré tout en me demandant comment ils avaient fait avec les tranquillisants quand on le fait monter sur scène...
En revoyant ce film je me demande aussi si il n'annonce pas un peu, bien avant l'heure certes, L'HOMME QUI MURMURAIT A L'OREILLE DES CHEVAUX également avec Robert REDFORD...
Le cowboy solitaire (ici ancien champion de rodéo) décidé à tout faire pour sauver le cheval... La beauté des paysages naturels, les scènes de la liberté retrouvée pour le cheval...
La ballade de Willie NELSON (MY HEROES HAVE ALWAYS BEEN COWBOYS) qui sera reprise pour la dernière scène de l'épisode de L'AGENCE TOUS RISQUES "LES MUSTANGS" (on l'entend quand ils partent ) est poignante...
John SAXON, qui ici troque une tenue de cowboy ou de Mexicain contre le costard d'un responsable d'une société sans scrupule, est vraiment ignoble tant il est décidé à aller au bout de ses projets en se moquant de ce que pense Redford puis prêt à tout pour le retrouver...
En bref... j'ai adoré le revoir...
Je ne suis pas un grand fan de ce genre de film avec le mélange western moderne et romance mais je me souviens avoir bien aimé lors de cette rediffusion.
Lundi soir dernier je retrouvais mon dvd... J'ai de nouveau adoré...
Le champion de rodéo en bout de course faisant de la pub pour les céréales western sans y croire et l'attraction avec le cheval manège au supermarché j'aimais bien...
Jane Fonda: malgré tout le respect que j'ai pour son père c'était pas une actrice que j'appréciais... Mais là elle s'en sort bien je trouve, même si comme Redford je la trouvais énervante au début...
Le cheval: franchement j'ai adoré tout en me demandant comment ils avaient fait avec les tranquillisants quand on le fait monter sur scène...
En revoyant ce film je me demande aussi si il n'annonce pas un peu, bien avant l'heure certes, L'HOMME QUI MURMURAIT A L'OREILLE DES CHEVAUX également avec Robert REDFORD...
Le cowboy solitaire (ici ancien champion de rodéo) décidé à tout faire pour sauver le cheval... La beauté des paysages naturels, les scènes de la liberté retrouvée pour le cheval...
La ballade de Willie NELSON (MY HEROES HAVE ALWAYS BEEN COWBOYS) qui sera reprise pour la dernière scène de l'épisode de L'AGENCE TOUS RISQUES "LES MUSTANGS" (on l'entend quand ils partent ) est poignante...
John SAXON, qui ici troque une tenue de cowboy ou de Mexicain contre le costard d'un responsable d'une société sans scrupule, est vraiment ignoble tant il est décidé à aller au bout de ses projets en se moquant de ce que pense Redford puis prêt à tout pour le retrouver...
En bref... j'ai adoré le revoir...
- COWBOY PAT-EL ZORRO
- Texas ranger
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Re: Le Cavalier Electrique - The electric Horseman - 1979 - Sydney Pollack
OCS Géants le rediffusant ces jours-ci j'en ai donc profité pour le revoir vendredi soir puis ce matin (histoire de bien commencer la journée ).
Si certains aspects, comme justement le fait que ce soit un film contemporain ou la romance tardive et pourtant presque prévisible entre Jane Fonda et Robert Redford, peuvent rebuter au départ je trouve que Sydney POLLACK réédite un peu, mais dans un cadre moderne, le principe de JEREMIAH JOHNSON déjà avec Robert...
Pourquoi je compare avec Jeremiah Johnson ? Je n'y avais pas trop pensé avant mais ce film est également tourné dans des extérieurs superbes et c'est une ode à la nature, le retour vers un monde qui semble avoir disparu...
La motivation du personnage de Redford renvoie clairement à cette recherche de liberté...La société de consommation moderne montrée au début du film sur la chanson de Willie NELSON (MY HEROES HAVE ALWAYS BEEN COWBOYS ) avec les divers spectacles et articles auxquels se soumet Redford pour joindre les deux bouts et ce spectacle à Las Vegas sur les directives de cet homme d'affaires sans aucun scrupule (John SAXON)...
Et quand Redford constate l'état dans lequel se trouve "ce con de cheval" comme le nomme le responsable du spectacle... On ne peut qu'approuver sa décision (drogué pour supporter les lumières et bruits du spectacle et dopé aux stéroïdes)...
Puis ensuite je n'ai pu m'empêcher de repenser à SEULS SONT LES INDOMPTES avec Kirk DOUGLAS quand la poursuite avec la police s'engage... Et on pourrait aussi penser à un hommage indirect aux serials: cavalier contre voitures de police sur une route abrupte... Dans la présentation du film on explique que Redford fit la plupart des cascades lui-même . Et jusqu'au bout l'émotion se dispute avec le spectaculaire et un brin de comédie (quand pour alléger la charge Redford balance le matériel encombrant de Jane Fonda à la flotte... ).
Une fin peut-être un peu guimauve mais pas tant que cela et un film qui, si il n'est pas un western véritable, n'en demeure pas moins un bel hommage au genre et un rappel de ce que fut jadis ce far west avant la modernisation et ses aspects les plus néfastes... Un dernier soubresaut de liberté ancienne qu'on retrouve quand enfin ils atteignent leur but et rendent sa liberté au cheval... Toujours sur la ballade de Willie Nelson... Ce qui lui confère un charme inattendu... Je me demande aussi en rédigeant ce pavé si les producteurs et scénaristes de L'AGENCE TOUS RISQUES ne s'en inspirèrent pas quelques années après pour le superbe épisode en deux parties LES MUSTANGS où les gars de l'équipe viennent en aide à un Indien (Richard YNIGUEZ) qui tente de sauver ces nobles animaux de l'ignoble Carter (Morgan WOODWARD) qui cherche surtout à s'emparer de leurs terres et faire de ces nobles équidés de la bouffe pour toutous dans des abattoirs clandestins au Mexique... La chanson de Willie est reprise quand l'équipe arrive en Arizona puis une fois leur mission accomplie sans accrocs comme aimait tant le dire le regretté Hannibal (George PEPPARD)...
Si certains aspects, comme justement le fait que ce soit un film contemporain ou la romance tardive et pourtant presque prévisible entre Jane Fonda et Robert Redford, peuvent rebuter au départ je trouve que Sydney POLLACK réédite un peu, mais dans un cadre moderne, le principe de JEREMIAH JOHNSON déjà avec Robert...
Pourquoi je compare avec Jeremiah Johnson ? Je n'y avais pas trop pensé avant mais ce film est également tourné dans des extérieurs superbes et c'est une ode à la nature, le retour vers un monde qui semble avoir disparu...
La motivation du personnage de Redford renvoie clairement à cette recherche de liberté...La société de consommation moderne montrée au début du film sur la chanson de Willie NELSON (MY HEROES HAVE ALWAYS BEEN COWBOYS ) avec les divers spectacles et articles auxquels se soumet Redford pour joindre les deux bouts et ce spectacle à Las Vegas sur les directives de cet homme d'affaires sans aucun scrupule (John SAXON)...
Et quand Redford constate l'état dans lequel se trouve "ce con de cheval" comme le nomme le responsable du spectacle... On ne peut qu'approuver sa décision (drogué pour supporter les lumières et bruits du spectacle et dopé aux stéroïdes)...
Puis ensuite je n'ai pu m'empêcher de repenser à SEULS SONT LES INDOMPTES avec Kirk DOUGLAS quand la poursuite avec la police s'engage... Et on pourrait aussi penser à un hommage indirect aux serials: cavalier contre voitures de police sur une route abrupte... Dans la présentation du film on explique que Redford fit la plupart des cascades lui-même . Et jusqu'au bout l'émotion se dispute avec le spectaculaire et un brin de comédie (quand pour alléger la charge Redford balance le matériel encombrant de Jane Fonda à la flotte... ).
Une fin peut-être un peu guimauve mais pas tant que cela et un film qui, si il n'est pas un western véritable, n'en demeure pas moins un bel hommage au genre et un rappel de ce que fut jadis ce far west avant la modernisation et ses aspects les plus néfastes... Un dernier soubresaut de liberté ancienne qu'on retrouve quand enfin ils atteignent leur but et rendent sa liberté au cheval... Toujours sur la ballade de Willie Nelson... Ce qui lui confère un charme inattendu... Je me demande aussi en rédigeant ce pavé si les producteurs et scénaristes de L'AGENCE TOUS RISQUES ne s'en inspirèrent pas quelques années après pour le superbe épisode en deux parties LES MUSTANGS où les gars de l'équipe viennent en aide à un Indien (Richard YNIGUEZ) qui tente de sauver ces nobles animaux de l'ignoble Carter (Morgan WOODWARD) qui cherche surtout à s'emparer de leurs terres et faire de ces nobles équidés de la bouffe pour toutous dans des abattoirs clandestins au Mexique... La chanson de Willie est reprise quand l'équipe arrive en Arizona puis une fois leur mission accomplie sans accrocs comme aimait tant le dire le regretté Hannibal (George PEPPARD)...
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- Trappeur
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Re: Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
"Créer une œuvre, même imparfaite, demandera toujours plus de talent et d'effort que de la critiquer."
- musselshell
- Castor éclopé
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Re: Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
Allé le voir en salle lors de mes études dijonaises, en y traínant d'autre étudiants un peu réticents...avec pour argument ce qu'avaient fait le duo réa et acteur 4 ans auparavant.
Ils n'ont pas été soufflés, moi non plus.
On s'est tous ratrappés ( les étudiants et l '' initiateur foireux) quelques jours plus tard avec le film de 72 dans une autre salle de la Cité des Ducs (ah, les périphrases...).
Pour en revenir à Electric Horseman...c'est toujours un peu étonnant (pour ma pomme) de constater que l'éclectisme de Pollack se baladait du chef d'oeuvre au quasi tout-venant, presque, ici, aussi commercialement accrocheur, voire putassier, que ce que le film semblerait dénoncer... On est loin du roman de Lonely are the Brave...çà...
Un véhicule pour Redford Fonda...c'est surtout ce qui me reste...
Redford est paraît-il moins fier de celui là ( mauvaise piste initiatrice) que de l'autre...
Surprenant, non?
à la Desproges : " intellectuel, non?"
Envoyé de mon ONEPLUS A6013 en utilisant Tapatalk
Ils n'ont pas été soufflés, moi non plus.
On s'est tous ratrappés ( les étudiants et l '' initiateur foireux) quelques jours plus tard avec le film de 72 dans une autre salle de la Cité des Ducs (ah, les périphrases...).
Pour en revenir à Electric Horseman...c'est toujours un peu étonnant (pour ma pomme) de constater que l'éclectisme de Pollack se baladait du chef d'oeuvre au quasi tout-venant, presque, ici, aussi commercialement accrocheur, voire putassier, que ce que le film semblerait dénoncer... On est loin du roman de Lonely are the Brave...çà...
Un véhicule pour Redford Fonda...c'est surtout ce qui me reste...
Redford est paraît-il moins fier de celui là ( mauvaise piste initiatrice) que de l'autre...
Surprenant, non?
à la Desproges : " intellectuel, non?"
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C'est beaucoup trop 255 caractères. Je renonce à apposer une signature.
Ah...c'est la limite haute...
Je renonce quand même. Je sais pas quoi dire, de toutes façons.
Ah...c'est la limite haute...
Je renonce quand même. Je sais pas quoi dire, de toutes façons.
Re: Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
Je l'ai revu en Décembre dernier , et je me suis beaucoup ennuyé.
Il faudrait un jour prendre le temps de discuter de Pollack , cinéaste que je trouve ( aïe , aïe , par avance ) un peu surévalué.
Si je n'ai jamais ressenti la dimension métaphysique de Jeremiah , je sais ( quand même ...) que c'est un film important.
"On achève bien les chevaux " et " Castle Keep " sont de belles réussites , mais il faut reconnaitre qu'elles étaient adossées à des œuvres littéraires exceptionnelles.
Pour ce que j'ai vu du reste , c'est ...distrayant.
Il faudrait un jour prendre le temps de discuter de Pollack , cinéaste que je trouve ( aïe , aïe , par avance ) un peu surévalué.
Si je n'ai jamais ressenti la dimension métaphysique de Jeremiah , je sais ( quand même ...) que c'est un film important.
"On achève bien les chevaux " et " Castle Keep " sont de belles réussites , mais il faut reconnaitre qu'elles étaient adossées à des œuvres littéraires exceptionnelles.
Pour ce que j'ai vu du reste , c'est ...distrayant.
- musselshell
- Castor éclopé
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- Enregistré le : 08 janv. 2006 16:08
Re: Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
“You’ve come far, Pilgrim.”
“It feels like far.”
“Was it worth the trouble?”
“ Ha – What trouble?
Tu saisis?
et en plus, il y a des images.
Il m' est arrivé d'allonger la sauce, mais là, tout de suite, non...
Envoyé de mon ONEPLUS A6013 en utilisant Tapatalk
“It feels like far.”
“Was it worth the trouble?”
“ Ha – What trouble?
Tu saisis?
et en plus, il y a des images.
Il m' est arrivé d'allonger la sauce, mais là, tout de suite, non...
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C'est beaucoup trop 255 caractères. Je renonce à apposer une signature.
Ah...c'est la limite haute...
Je renonce quand même. Je sais pas quoi dire, de toutes façons.
Ah...c'est la limite haute...
Je renonce quand même. Je sais pas quoi dire, de toutes façons.
Re: Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
Pas grave , Mussel , j'ai un autre débatteur en face de moi , next of kin et redoutable.
Re: Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
alors que le film a été publié depuis peu, il semble qu'il n'a pas de succès auprès des membres...
En revoyant mon DVD je l'apprécie toujours, Robert Redford est très bien dans son rôle d'ex cowboy, prenant la défense du meilleur
ami des Cowboys, le CHEVAL. Jane Fonda est plutôt casse-pieds, dans son rôle de journaliste...
pas mal de beaux paysages surtout en Utah.
En revoyant mon DVD je l'apprécie toujours, Robert Redford est très bien dans son rôle d'ex cowboy, prenant la défense du meilleur
ami des Cowboys, le CHEVAL. Jane Fonda est plutôt casse-pieds, dans son rôle de journaliste...
pas mal de beaux paysages surtout en Utah.
- jeune papoose
- Marshall
- Messages : 2785
- Enregistré le : 31 août 2020 22:54
Re: Le Cavalier électrique - The Electric horseman - 1979 - Sydney Pollack
Je vais tester le blu Ray prochainement
Je ferais un retour ici asap
Sait on jamais cela pourrait avoir une envie de le re-découvrir
Je ferais un retour ici asap
Sait on jamais cela pourrait avoir une envie de le re-découvrir
Quand le dernier arbre aura été abattu,
la dernière rivière empoisonnée
et le dernier poisson péché,
alors l’ homme s’apercevra que l’argent ne se mange pas
la dernière rivière empoisonnée
et le dernier poisson péché,
alors l’ homme s’apercevra que l’argent ne se mange pas