Paula RAYMOND (1924-2003)

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DEMERVAL
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Paula RAYMOND (1924-2003)

Message par DEMERVAL »

Paula Raymond naquit Paula Ramona Wright le 23 novembre 1924 à San Francisco, Californie. Son père était un distingué avocat et son grand-père était un pionnier de l’édition de magazines qui créa le Farnsworth Wright. Paula fut élevée à San Francisco où elle suivit des études de musique, de danse et d’opéra. Après avoir intégré le corps de ballet de l’Opéra de San Francisco, durant une visite à Los Angeles, elle fit ses débuts à l’écran en 1938, à 13 ans, dans « Keep Smiling » face à Jane Withers. Elle y incarnait une volontaire jeune fille de type Shirley Temple, ses cheveux bruns ayant été teints en blond. Elle entra ensuite en classe préparatoire aux études de droit au Lycée de Hollywood et au San Francisco Junior College, car son père désirait qu’elle suive ses traces dans le métier d’avocat.
Après être retournée au San Francisco Junior College, elle sera brièvement mariée avec le capitaine Floyd Leroy Patterson, de 1944 à 1946 et une fille, Raeme Doreen naîtra en 1946. Lors d’une brève prestation dans un court métrage télévisée, elle est remarquée par George Cukor qui est impressionné par sa sincérité, sa voix et ses yeux et il la recommande pour un bout d’essai auprès de son studio, la MGM.
Paula fit ses débuts d’adulte en 1948 dans “Powder River Gunfire,” face à Kenne Duncan. “C’est étrange, je ne me rappelle absolument rien de ce film, j’ai même de la peine à me rappeler de Kenne.”
Son premier rôle en vedette principale d’un western fut “Challenge of the Range” avec Charles Starrett. “Quand j’étais une petite fille, j’allais presque tous les samedis dans un cinéma sur Hollywood Boulevard, Le Hitching Post; j’adorais les westerns. Cependant, quand j’ai revu “Challenge...” récemment, je me suis dit, ‘Dans quelle poubelle ai-je trouvé mes habits!’ (Rires). C’est un bon petit film de série B; mais ils étaient généralement bons—les gens étaient bons. Plus personne ne fait de films de série B avec une histoire. Maintenant ce sont les effets spéciaux et des mots de quatre lettres; les gens échangent leurs salives, se mordent de bons morceaux de viande. (Rires) C’est monstrueux!”
“J’ai apprécié tout ce que j’ai fait, mais je voulais être une actrice, pas seulement un corps, aussi j’ai haï ma sortie de contrat de la Columbia. Les films que j’ai fait chez Columbia mettant en scène des chevaux, des chiens et des enfants; oublier les adultes. Je faisais juste tapisserie. Je n’ai pas eu beaucoup de vrais rôles d’actrice. Je ne voulais pas travailler mais j’avais une fille à élever. Je suis devenue actrice parce que c’était le seul moyen que j’avais de gagner ma vie. Je n’essayais pas d’être une star glamour.”
Interrogée au sujet du patron du studio, Harry Cohn, “Je n’ai jamais rencontré le bonhomme, Dieu merci! Je n’ai rencontré Louis B. Mayer qu’une seule fois. Je devais me rendre à son bureau et il me dit, ‘Tes dents sont trop droites.’ Il dit aussi qu’Eleanor Powell avait les jambes arquées—ce qui était complètement faux. Tout ce que je pus penser sur le coup fut, ‘Il va me foutre les dents de travers!’ Heureusement, je ne le vis plus que lors de soirées après cette entrevue.”
A la MGM Paula acquit une place de choix, et reçut un traitement de star. “Mon premier western fut ‘La porte du diable,’ avec Robert Taylor. Quand je n’étais pas sur le plateau, je me cachais. Le réalisateur était Anthony Mann. Je n’avais pas reçu de crédits impressionnants de la part de Columbia, et pourtant j’étais la partenaire d’une star. Anthony Mann ne voulait pas de moi car je n’étais pas une star, pas l’égal de Taylor. Mann me fit passer un bout d’essai. Il essayait toujours de me virer. Durant le test, il disait ‘Coupez. Non, fais-le de cette manière-ci.’ Puis, ‘Non, de cette manière-là.’ Je me suis finalement exclamé, ‘Tony, quand vas-tu te décider, je vais le faire comme çà un point c’est tout.’ En extérieurs, je me cachais afin que personne ne sache qu’une anonyme était la co-star de Robert Taylor. Mais, la publicité était en train d’essayer de me faire évoluer à cette époque…et maintenant, Anthony Mann essayait de m’avoir dans son lit! Jim Campbell, l’agent publicitaire était avec nous. Quand Tony m’invitait à sortir, je disais quelque chose à Jim et il venait avec nous. Les techniciens commencèrent à faire des paris pour savoir qui gagnerait—Tony ou moi. Je me suis échappée de sa loge une fois—je ne me suis plus jamais approchée de sa porte. J’étais une puribonde à l’époque.”
Au sujet de Robert Taylor, Paula se rappelle, “Il se sentait inférieur à sa femme, Barbara Stanwyck. Quand il alla à la guerre, sa carrière déclina fortement. Une fois, Tony me montra un mot que Bob lui avait envoyé. Il l’avait signé Mr. Barbara Stanwyck.”
Dans “Le grand attentat” rien de bien exceptionnel n’arriva. “Dick Powell était un poupon et cette fois, Anthony Mann me laissa tranquille!” (Rires)
En 1951, il y eut un autre western, “Inside Straight,” avec David Brian et Lon Chaney Jr. “On entendait toutes sortes d’histoire sur Lon, pourtant, je n’ai jamais remarqué qu’il buvait quand il travaillait avec moi. Il était toujours là et ne ralentit jamais le tournage.”
Le dernier western de Paula pour Columbia fut “The Gun That Won the West.” “Ce fut mon rôle préféré, mais je semblais un peu arrondie. (Rires) Dennis Morgan était un leader.”
Questionnée sur ses co-stars, elle dit qu’elle n’eut généralement que des relations professionnelles. “Je suis sortie avec George Sanders. Ce fut merveilleux jusqu’à ce qu’il dise, ‘je n’épouserai pas une femme avec qui je ne suis pas allé au lit.’ Ce à quoi j’ai répliqué, ‘Bien, tu ne m’épouseras donc pas.’”
Au milieu des années 1950, Paula était une actrice indépendante quand son agent lui dit que la CBS la désirait—méchamment—pour le rêle de Miss Kitty dans une nouvelle série, “Gunsmoke”. “Je ne voulais pas interpréter une femme qui travaillait dans un saloon, semaine après semaine. J’ai une tache de rousseur sur mon visage et parfois je pose un grain de beauté par-dessus. Ils le mirent même sur Amanda Blake, qui finalement décrocha le rôle—bien qu’il était posé de l’autre côté de son visage. Je voulais qu’ils adoucissent le personnage mais ne pensèrent pas à le faire. Comme cela tourna, le personnage n’était pas du tout trash. C’était tout à fait le genre de personnage que j’aurais aimé interpétrer.”
A la télévision, Paula fut souvent vue dans des séries telle “Bat Masterson”. “Je me suis contusionné sur celui-là. Ils avaient fait un gros plan caméra à l’épaule de Gene Barry et quand la caméra vint sur moi, il n’arrêtait pas de me tirer vers lui, essayant d’avoir son visage de profil. J’ai eu le bras tout noir comme résultat!”
Paula fut aussi sur “Have Gun Will Travel” avec Richard Boone. “Quel plaisir ce fut de travailler avec lui. Je tournais un documentaire pour American Friends Service Committee—Les Quakers—dans le Southwest American Indians. J’ai demandé à Richard s’il voulait bien en faire le narrateur. ‘Bien sur que je vais le faire.’ Quel chéri d’homme! Je suis allé en Arizona. Quand j’étais dans Globe je n’ai pas su dormir à cause du mot ‘Apache,’ mais ils furent des gens vraiment vraiment charmants. Sur ‘Have Gun’, Ida Lupino était une bonne réalisatrice, mais elle ne connaissait pas sa caméra. Je suis devenue une cinématographe, ai décroché un USC degree, ai étudié avec Salzko Zorkapich, qui filma ses magnifiques montagnes dans ‘San Francisco’ (1936). Il m’enseigna comment utiliser la caméra. Bien, Ida essayait de boucler une scène—c’était presque l’heure de manger et elle continuait de tourner encore et encore. Elle aurait dû filmer les éperons sous la caravane pour faire le point. C’était évident pour moi. Durant le repas quelqu’un a dû lui dire. La première prise qu’elle fit après le repas fut de filmer les éperons sous la caravane.”
Avant de faire “Shotgun Slade” avec Scott Brady, Paula dit, “Je suis sortie avec Scott…une fois il m’avait coincé contre un évier et essayait de me faire l’amour—ma mère était à l’étage. Je me suis dégagée et ne suis plus jamais sortie avec lui. Puis nous fîmes ‘Shotgun Slade’. Scott aimait embarrasser les dames. Il y a une scène dans laquelle il est étendu sur un lit—blessé. Près de lui se trouvait une lampe-tempête. Il enleva le rayon de la lampe et le mit sous la couverture—juste pour m’embarrasser. Je l’ignorais. Il rit sous cape. Les techniciens me connaissaient pour autre chose—ils savaient que j’étais une lady. Une autre fois, Scott était en retard. Finalement il arriva, après avoir retardé le tournage. Il mit ses mains dans son pantalon, prétextant y remettre le pan de sa chemise. Je dis, ‘N’ayez pas peur les gars, il essaye juste de voir si il est encore là.’ Bien, ils commencèrent à hurler et cela retarda encore plus le tournage! Cela sembal tout à fait marrant, venant de la bouche d’une lady.”
Apparaissant dans la longue série “Les aventuriers du Far West”, Paula se rappelle, “Ray Danton était aussi dedans et il me cherchait. Je ne l’appréciais pas plus que cela. Je lui dis, ‘Tu es marié à Julie Adams et tu as deux fils. Pourquoi est-ce que tu me colles?’ Il dit, ‘Tout ce qui l’intéresse ce sont ses deux fils.’ Ce à quoi elle répliqua, ‘Bien, qui lui a fait?’ Cela le stoppa tout net.”
Paula se rappelle, “Avant que je ne fasse ‘Maverick’, j’avais été contacté pour un rôle dans un film dans lequel je devais interpréter des jumelles. Mon double était très excitée parce que l’arrière de sa tête serait utilisé quand je parlerai à ma ‘jumelle’. J’étais sous la douche, nue comme un verre et le téléphone sonna. Je me suis cognée un orteil en voulant répondre. C’était le directeur de casting, qui me rappelait d’aller voir pour mon assurance. L’orteil gonfla tellement que j’ai perdu le film! Cela me perturbait encore quand j’ai tourné ‘Maverick’. Le podologue fit une entaille dans ma tennis pour que l’orteil puisse passer et ainsi j’ai pu tenir mon rôle sans boîter. J’arrivais à 6 heures du matin—j’étais là toute la journée à rien faire. Il était 16h00 quand ils s’intéressèrent à moi. Nous répétions et tout allait de travers. Ils savaient que j’avais une blessure douloureuse et pour me venger, j’ai feint un malaise. (Rires) Je n’avais jamais fait cela avant et ne le fit plus après!”
Paula travailla aussi sur “Wyatt Earp” avec Hugh O’Brian. “Bill O’Connor, mon fiancé, décéda lors du dernier jour de tournage. Je n’ai pas pu terminer la journée. Hugh organisa une soirée le samedi soir qui suivit pour vider ma tête, c’est du moins ce que j’ai pensé. J’ai participé à la soirée et je me suis vidé la tête. Quand il me ramena chez moi, Hugh voulait que je joue avec son ding-ding (sexe). J’ai appelé ma mère, qui vivait avec moi à cette époque, et je n’ai jamais fait un deuxième épisode de ‘Wyatt Earp.’ (Rires)
En regardant “Cheyenne”, “Ils auraient pu éviter des rushes. Clint Walker est un bon cavalier, mais pas moi. Le réalisateur voulait que nous chevauchions devant la caméra, pour monter une colline. Ils me mirent sur un cheval. Le réalisateur dit que c’était une petite distance. Quand le cheval de Clint s’ébranla—le mien fit de même. Je criais ‘HELP’ à me rompre les poumons. Je rebondissais comme si j’étais montée sur ressorts!”
Le dernier western de Paula fut “Five Bloody Graves.” “J’incarnais une madame—je ne ressemblais pas à une dame aussi je voulais un peu de laque rouge pour mes cheveux. Quelque chose que l’on pouvait laver. Eh bien, ils m’amenèrent du henné!! J’ai dû attendre une éternité pour que ces satanés cheveux repoussent!”
Peut-être que la plus amusante expérience de Miss Raymond fut son tournage dans “Temple Houston.” “J’ai fait une blague à Jack Elam. Le producteur, Jimmy Lydon et les techniciens étaient tous dans la confidence. Elle commença quand Jack se retourna vers moi et me dit, ‘Motel Happy Holiday, Chambre n°7.’ Je lui demandais à quoi cela correspondait et l’on me dit qu’il disait cela à toutes les actrices principales. J’ai alors demandé, ‘Quelqu’un lui a-t-il jamais donné un sort bien mérité?’ Jack m’apprit à jouer au poker menteur entre les prises et j’ai perdu 10 dollars. Lors du dernier jour de tournage, je marchais vers le plateau et il dit, ‘Bluffeuse.’ Je n’avais pas payé, pourtant. J’ai trouvé une poupée dans le département accessoire et le département costume me donna une écharpe en mousseline avec un motif tigré. J’ai mis la poupée sur le sol de sa loge, avec ses mains positionnées d’une manière telle que je pouvais y glisser un billet de 10 dollars entre les eux premiers doigts. Je me suis cachée dans les toilettes avec les lumières éteintes. Je dis, avec une voix sexy, ‘Entre, Jack.’ J’ai surgi des toilettes avec un polaroïd ! (Rires) Il dira plus tard, ‘si elle n’était pas sortie des toilettes, j’aurais été sur elle—ou plutôt la poupée—et me serais blessé.’ Mais, l’histoire n’est pas finie. J’étais dans la salle de montage pour un ‘77 Sunset Strip’. Jack Elam était là—au lieu de se tenir debout, il était assis, avec ses pieds dans l’espace où on devait s’asseoir pour faire le montage. Jack avait une bouteille de Scotch qu’il avait attachée aux rideaux. Plus tard, quand je faisais ‘Temple Houston’, je suis allée à la salle de montage et ai demandé, ‘Est-ce que Jack a encore sa planque.’ J’ai pris une bouteille vide, l’ai remplie avec de l’eau et l’ai attachée aux rideaux comme il le faisait. J’ai demandé à Jimmy Lydon de me dire ce qu’il s’était passé, ce qui fut ceci. Jack saisit la bouteille, en but une gorgée, puis une autre gorgée, et encore une autre. On lui dit alors que, ‘Paula Raymond avait été dans le coin.’ Jack entra par l’entrée des artistes, enleva son chapeau—et en battant l’air avec, cria, ‘TOI, TOI, TOI.’ Je me suis vengée pour le Happy Holiday Motel, Chambre n°7.”
La carrière de Paula fit une pause le 20 août 1962. “J’ai été tuée dans un accident de voiture. J’étais décédée à l’arrivée à l’hôpital, mais le neurologiste qui avança qu’il n’y avait plus de pouls, pensa que je n’étais pas complètement morte. Mon visage était parti, mon nez était parti —mon visage ressemblait à un hamburger. Ils ont bossé sur moi pendant 5 heures et demi pour remettre mon nez sur mon visage. Je n’ai plus jamais eu le sens de l’odorat. Cela enleva l’arête de mon nez—et ils ne purent pas en implanter un nouveau parce que cela m’aurait fait ressembler à un monstre.!”
La très sous-estimée Paula Raymond décéda le 31 décembre 2003 à West Hollywood des suites de problèmes respiratoires. Après avoir été brièvement mariée avec Floyd Leroy Patterson, elle épousera en secondes noces H. Lesley Williams le 22 novembre 1965, duquel elle divorcera le 9 mai 1966.

Sa contribution au western fut la suivante :
Powder River Gunfire de Harold Moore (1948), la fille d’un mineur
Challenge of the Range de Ray Nazarro (1949), Judy Barton
La porte du diable de Anthony Mann (1950), Orrie Masters
Inside Straight de Gerald Mayer (1951), Agnes Oglethorpe Young
The Gun That Won the West de William Castle (1955), Mme Max Gaines
The Californians, un épisode, Lottie Goth dans « Shanghaï Queen » (1958)
State Trooper, un épisode, Connie Moser dans « Hardrock Man » (1958)
Yancy Derringer, un épisode, Lucy Maridale dans « Gallatin Street » (1958)
Shotgun Slade, un épisode, « The Safe Crackers » (1959)
The Rough Riders, un épisode, Charlotta Drake dans « The Double Dealers » (1959)
The Life and Legend of Wyatt Earp, un épisode, Miss Crystal dans « The Paymaster » (1959)
Lawman, un épisode, Paula dans « The Hoax » (1959)
The Deputy, un épisode, Peg Marlowe dans « Backfire » (1960)
Pony Express, un épisode, Amanda dans « Vendetta » (1960)
Cheyenne, un épisode, Ruth Thompson dans « Home Is the Brave » (1960)
Have Gun-Will Travel, un épisode, Eve MacIntosh dans « Lady with a Gun » (1960)
Tightrope, un épisode, Mona Crandall dans « Borderline » (1960)
The Texan, un épisode, Gloria Cameron dans « Episode 2/42 » (1960)
Bat Masterson, trois épisodes :
- Millie Wilkins dans « A Matter of Honor » (1959)
- Linda Wills dans « Mr. Fourpaws » (1960)
- Angie Pierce dans « The Last of the Night Raiders » (1960)
Maverick, un épisode, Adele Jaggers dans « The Golden Fleecing » (1961)
Rawhide, un épisode, Franny Wells dans « House of the Hunter » (1962)
Les aventuriers du Far West, un épisode, Pauline Cushman dans « The Wooing of Perilous Pauline » (1964)
Temple Houston, un épisode, Miss Katherine dans « Miss Katherine » (1964)
Five Bloody Graves de Al Adamson (1969), Kansas Kelly
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Sitting Bull
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Re: Paula RAYMOND (1924-2003)

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« Écrire proprement sa langue est une des formes du patriotisme. »
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U.S. Marshal Cahill
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Re: Paula RAYMOND (1924-2003)

Message par U.S. Marshal Cahill »

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LordDécadent
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Re: Paula RAYMOND (1924-2003)

Message par LordDécadent »

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"Lawman: The Hoax" en 1959.

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"Have Gun - Will Travel: Lady with a Gun" en 1960.

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"Maverick: The Golden Fleecing" en 1961.
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harry
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Re: Paula RAYMOND (1924-2003)

Message par harry »

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lasbugas
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Re: Paula RAYMOND (1924-2003)

Message par lasbugas »

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