Les Rôdeurs de la plaine - Flaming star - 1960 - Don Siegel

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U.S. Marshal Cahill
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par U.S. Marshal Cahill »

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Yosemite
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par Yosemite »

Comme Personne, j’ai eu un peu peur lorsque quelques minutes après le début du film Elvis a saisi sa guitare et chanté. Non que je ne l’aime pas en tant que chanteur mais il ne faut pas tout mélanger.
Une fois cette crainte passée je dois reconnaître que je me suis régalé. Un très beau film, bien interprété et ce notamment par un John McIntire et une Dolores Del Rio lumineuses dans leur rôle de parents amoureux l’un de l’autre.
Elvis est un peu en dessous il faut l’admettre, néanmoins son côté gamin que j’avais regretté dans « Love me tender » est moins marqué et il se tire d’affaire dans un rôle pas si aisé que ça à porter.

Une belle histoire joliment dialoguée, de l’action et un thème mené sans manichéisme par Don Siegel. Il convient également de signaler que le scénario est issu d’un roman de Clair Huffaker qui est à l’origine de romans ou scénarios notoires : « Seven Ways from Sundown » (Les Sept chemins du couchant), « Posse from Hell » (Les Cavaliers de l'enfer), « The Comancheros », « Rio Conchos », « La Caravane de feu »… bref, quelqu'un d'inspiré qui n'a pas l'âme d'un plumitif.

On ne peut que se réjouir de la sortie de ce beau film western chez Sidonis. Ce soir, j’écoute les bonus.
Yo.
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metek
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par metek »

Rudolpho Acosta, Elvis Presley - Flaming Star (1960)

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metek
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par metek »

Rudolpho Acosta, Perry Lopez, Rod Redwing - Flaming Star (1960)

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Moonfleet
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par Moonfleet »

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Les Rôdeurs de la plaine (Flaming star - 1960) de Don Siegel
20TH CENTURY FOX


Avec Elvis Presley, John McIntire, Barbara Eden, Dolores Del Rio, Steve Forrest
Scénario : Nunnaly Johnson & Clair Huffaker
Musique : Cyril J. Mockridge
Photographie : Charles G. Clarke (DeLuxe 2.35)
Un film produit par David Weisbart pour la 20Th Century Fox



Sortie USA : 20 décembre 1960


1878. Difficile à cette époque au Texas de vivre en bonne entente avec ses voisins dès que dans une famille se trouve un indien ou ne serait-ce même qu’un métis. C’est le cas chez les Burton, le veuf Sam (John McIntire) ayant épousé en seconde noce une femme de la tribu des Kiowas, Neddy (Dolores Del Rio), un fils étant né de cette union, le taciturne Pacer (Elvis Presley). Après que l’on ait fêté l’anniversaire de l’aîné, Clint (Steve Forrest), leurs voisins, en rentrant chez eux, se font massacrer par les indiens qui ne supportent plus d’être spoliés de leurs terres et qui ont décidé de se battre violemment jusqu’au bout. Clint et Pacer n’apprennent la tragique nouvelle que le lendemain en se rendant en ville où ils sont reçus avec hostilité par la population qui soupçonne le jeune sang-mêlé d’être impliqué dans le carnage. C’est le début d’une montée de la violence au sein de cette paisible communauté ; peu de membres de la famille Burton en sortiront indemnes malgré les efforts de chacun d’entre eux pour calmer le jeu, Neddy allant même trouver le chef de son ancienne tribu pour tenter de faire stopper leurs attaques contre les colons...

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Surtout réputé pour être un des meilleurs films avec Elvis Presley, Les Rôdeurs de la plaine, malgré ses réelles qualités et ses louables bonnes intentions, arrive un peu trop tard en cette fin des années 60 ; hormis par une violence inaccoutumée dans quelques séquences, il ne se démarque pas assez de tous les westerns pro-indiens l’ayant précédés, et surtout possède trop de points communs et de similitudes avec un western d’une toute autre envergure sorti en salles seulement quelques mois plus tôt, l’étonnant Le Vent de la plaine (The Unforgiven) de John Huston, film doté d’une distribution elle aussi bien plus prestigieuse et qui abordait déjà la thématique du comportement des blancs à l’égard des métis durant les guerres indiennes. Dans le film de Don Siegel, Elvis Presley (dont le potentiel dramatique n’est une fois de plus pas très évident à déceler) interprète un sang-mêlé, son père étant un blanc, sa mère une indienne Kiowa. A partir du moment où, tout à fait légitimement, les indiens se rebellent contre les blancs par peur de tout perdre ("Il nous faut nous battre ou mourir" expliquera le nouveau chef de la tribu), le jeune homme se voit tiraillé entre la communauté des colons au sein de laquelle il vit et celle des indiens vers laquelle il se sent de plus en plus attiré, compatissant avec leur détresse. Mais il se verra tour à tour rejeté par les deux camps, n’arrivant à gagner la confiance ni de ses ex-amis le soupçonnant d’avoir été au courant des attaques qui se préparaient, ni des indiens après qu’il ait voulu sauver la vie de son frère tombé entre leurs mains.

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Dommage qu’un personnage aussi intéressant et complexe, tour à tour tendre et violent, ait été confié à Elvis Presley ; malgré le fait qu’il semble faire des efforts, l'acteur demeure bien terne et forcément moyennement convaincant alors qu’au départ le rôle avait été écrit par Nunally Johnson pour Marlon Brando, celui de son frère Clint devant être tenu par Frank Sinatra. On imagine aisément que le résultat aurait probablement été plus probant avec un tel duo même si Steve Forrest (le frère cadet de Dana Andrews) arrive à tirer son épingle du jeu. Si John McIntire et Dolores Del Rio (sa première apparition dans un film américain depuis Dieu est mort – The Fugitive de John Ford en 1947) dans la peau des parents s’en sortent également très bien, on les a cependant connu plus inspirés par le passé, ayant déjà tenus à maintes reprises ce genre de rôles. Si chez les seconds couteaux le casting comporte également des noms aussi sympathiques pour les aficionados que Richard Jaeckel, L.Q.Jones ou Karl Swenson, nous n’avons malheureusement pas le temps de longuement les croiser. Quant à Barbara Eden, l'autre personnage féminin principal, elle a déteint sur la fadeur de sa rock star de partenaire. Une interprétation d’ensemble en demi-teinte comme d’ailleurs tous les autres éléments du film, que ce soit le scénario pas constamment captivant ou la mise en scène bien trop sage malgré quelques fulgurants accès de violence (l’étonnante première attaque nocturne des kiowas sur le ranch voisin des Burton) et une judicieuse utilisation du cinémascope.

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Après avoir travaillé à la Warner dès 1933 et s’être fait remarquer en tant que monteur de talent, Don Siegel s’était révélé, dès les années 40/50, un spécialiste de la série B par l’efficacité de ses mises en scène, sa direction d’acteur irréprochable et la bonne gestion de ses modestes budgets qu’il ne dépassait que rarement. Après s’être distingué par un court métrage très intéressant, Hitler Lives en 1945 (diffusé par Patrick Brion au Cinéma de minuit) et avoir tourné le sympathique et réjouissant Ca commence à Vera Cruz (The Big Steal), il avait signé quelques classiques de la Science-fiction ou du film noir tels L’Invasion des profanateurs de sépulture (Invasion of the Body Snatchers) ou Les Révoltés de la cellule 11 (Riot in Cell Block 11). Au vu de la mise en scène de ces films, on pouvait très logiquement s’attendre à mieux concernant Les Rôdeurs de la plaine ; peut-être le cinéaste n’a-t-il pas pu faire tout ce qu’il voulait sur le tournage de ce film au budget plus conséquent que tous ceux qu’il avait eu l’occasion de réaliser auparavant et dont le projet était prévu au départ pour atterir entre les mains de Michael Curtiz ?! Quoiqu’il en soit, rien de honteux car l'ensemble reste de la belle ouvrage. Et puis le pessimisme foncier des scénaristes est néanmoins assez nouveau même si on pouvait s’attendre également à beaucoup mieux de la collaboration entre Clair Huffaker et Nunally Johnson (qui devait au départ écrire, produire et réaliser le film) ; une réflexion donc néanmoins intéressante et plutôt intelligente sur la loyauté, la difficulté d’être un sang-mêlé et la quasi impossibilité de vivre en paix à cette époque, la bonne entente entre blancs et indiens (ou semi-indiens) étant non seulement chimérique mais source de conflits, de violence et de mort. Le film n’est pas non plus exempt de lyrisme, témoin la très belle séquence de la mort mélodramatique de Dolores Del Rio se trainant à plat ventre dans le désert jusqu’à se prosterner devant la ‘Flaming Star’.

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Que ceux qui craindraient de tomber sur un film dans lequel Elvis pousse la chansonnette à tout bout de champ soient rassurés ! Hormis lors des cinq premières minutes où il prend sa guitare pour entonner l'entrainante 'A cane and a high starched collar' à l’anniversaire du personnage de son frère aîné, il n’y aura par la suite plus aucun interlude musical comme ce sera le cas dans la plupart de ses films suivants, et donc pas de séquences totalement incongrues comme nous pouvions en trouver dans le pourtant très sérieux Love me Tender. C’est d’ailleurs Elvis lui-même qui avait tenu à ne pas chanter ; sur quoi son agent, le Colonel Parker avait transigé en lui imposant néanmoins d'interpréter la mélodie du générique ainsi qu'une seule autre chansons dans le courant du film. Toujours concernant l’aspect musical du film, il est un peu triste de constater que la partition du pourtant talentueux Cyril J. Mockridge manque cette fois-ci singulièrement de finesse, n’arrivant jamais à faire décoller le film, bruit ne rimant pas nécessairement avec ampleur. En revanche, la photographie de Charles G. Clarke (déjà auteur entre autres de celles des superbes Les Inconnus dans la ville - Violent Saturday - et Duel dans la boue – These Thousands Hills de Richard Fleischer) est digne d’éloges, utilisant à merveille les superbes extérieurs à sa disposition (ressemblant eux aussi énormément à ceux de The Unforgiven), les intérieurs étant également magnifiquement éclairés et décorés.

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Pour résumer, un honnête et salutaire western manquant néanmoins d’ampleur à tous les niveaux. Au risque de faire grincer quelques dents, il est même permis de lui préférer le western précédent dans lequel figurait la star montante du rock’n’roll, Le Cavalier du crépuscule (Love me Tender) de Robert D. Webb dont le scénario s’avérait bien plus rigoureux, ainsi même que l’unique précédent western réalisé par Don Siegel, la nerveuse série B qu'était Duel sans merci (Duel at Silver Creek) avec le duo Audie Murphy/Stephen McNally. Car si rien n’est vraiment mauvais dans Flaming Star, rien n’est non plus vraiment marquant, pas plus le scénario manquant de liant que la mise en scène d’inventivité ou l’interprétation de conviction. Ce n'est pourtant pas parce que mon avis est dans l'ensemble assez tiède que le film n'est pas recommandable.
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Sitting Bull
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par Sitting Bull »

yves 120 a écrit : ce qui est certain c 'est que la " chanson Flaming Star " y est pour beaucoup , pour les amateurs inconditionnel d ' Elvis ...
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Compte Supprimé 4Q
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par Compte Supprimé 4Q »

limpyChris a écrit : J'ai longtemps entendu, ici et là, depuis avant le net, et de fans du King, qu'il avait 'du sang indien' ... Depuis, j'ai vu des démentis sur le net ...
Mais je dois avoir tout faux, comme toujours aux dires d'un certain ... :)
Pour le coup, si on se disait : "On imprime la légende !"

Qu'il ait eu dans son arbre généalogique des ascendants cherokees (une des tribus "civilisées" - Tirez pas, Limpy, je reprends le terme usité !) ne serait pas impossible du tout : sur une vingtaine d'américains que je connais "un peu", quatre ont du sang cherokee, tout en venant d'horizons divers.

http://www.elvis-aron-presley.nl/genealogy.html
"Créer une œuvre, même imparfaite, demandera toujours plus de talent et d'effort que de la critiquer."
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pak
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par pak »

A voir ces arbres généalogiques, ça a l'air quand même assez dilué ce sang indien...On parle de l'arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère d'Elvis, Morning White Dove... Colombe du Matin Blanc, c'est joli...

Tiens, marrant, les grand-parents maternels du King étaient cousins.
Quand on joue dans un western, on peut embrasser le cheval mais pas l'actrice.

Gary Cooper


http://www.notrecinema.com/

Le quiz western 2014
limpyChris
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par limpyChris »

- "les cinq tribus civilisées" est le terme communément utilisé, loco, et Lone Watie en donne la raison :wink: dans "Josey Wales" ... Les autres étant les 'hostiles' ... et je crois que les uns et les autres sont fiers de l'adjectif qui leur a été attribué ...
- en général, c'est d'une 'princesse' cherokee ... :)
- J'avais vu un arbre généalogique (en forme d'arbre généalogique) quelque part (livre ou net ...) et crois l'avoir scanné ... mais sous quoi l'ai-je classé ...
- Connaissais pas cette adjonction de 'White' ou 'Red' au nom, selon que ... info fiable ?
- À Metek (quoique, il persiste à vendre la photo de Chief Many Treaties sous le nom de Chief Yowlachie ...) et ceux que cela 'intéresserait' (des frappés) : Rodd Redwing n'apparaît pas sur la photo des Kiowas devant le ranch des Burton(s).
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.

- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par LordDécadent »

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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par Arizona Kid »

Avec ma mère, grande fan d'Elvis Presley devant l'Eternel, je viens de découvrir sur TCM ces Rôdeurs de la Plaine: un western que je m'étais jusqu'à présent toujours refusé de voir, eu égard à ma profonde aversion pour ce chanteur au visage de poupée Ken en plastoc, bien qu'il soit le modèle avoué de mon cher et regretté Johnny Hallyday, qui lui a tout piqué au début de sa carrière.

En fin de compte, ce western signé Don Siegel ne m'a pas déplu, d'autant qu'à l'exception du générique d'ouverture et d'une courte séquence au début, le " King " n'y pousse pas la chansonnette -ce que je redoutais le plus pour mes pauvres petites oreilles innocentes.
Elvis s'y révèle d'ailleurs plutôt effacé par rapport à son frère, campé par Steve Forrest, tous deux étant d'ailleurs bien entourés: John McIntire, Barbara Eden, Rodolfo Acosta et Dolores Del Rio complètent en effet une distribution généreuse en vedettes et habitués du genre.

Assez intéressant, le scénario propose une sorte de variation du Vent de la Plaine de John Huston, sorti en cette même année 1960 et avec lequel il partage moult similitudes: un Indien adopté par une famille blanche, l'hostilité des voisins racistes et des Peaux-Rouges n'acceptant pas qu'un des leurs vive parmi les Visages-Pâles...
Bien évidemment, le film d'Huston reste largement supérieur au présent métrage de Don Siegel, qui n'est pourtant pas un manchot et met en boîte un western sympathique à défaut d'être inoubliable, gratifié de quelques attaques d'Indiens efficacement troussées.
En somme, une agréable petite " curiosité " , comme dirait notre ami Patrick Brion.

icongc1
" Personne ne t'empêchera de partir si c'est ce que tu veux; mais laisse-moi te donner un conseil, fiston: dans ce pays, c'est très mal vu de toucher au cheval d'un autre homme... " (Joël McCrea, Cattle Drive, 1951)
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harry
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par harry »

Don Siegel montre tout son talent de réalisateur dans cet excellent western et pas étonnant que Clint Eastwood ait beaucoup appris de ce monsieur , Elvis Presley ne m'a jamais déçu dans ses westerns , et finalement bon acteur même si on a du adapter sa popularité au scenario ( Love me tender ) , John MacIntire très bon comme d'habitude et tous les autres sont dans le tempo , un western que j'ai revu en bluray car il le mérite bien .
Dans les photos précédentes sur les acteurs du film , il me semble ne pas reconnaitre L .Q . Jones ? , en tout cas un western à avoir dans sa collection :!:
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LordDécadent
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming Star - 1960 - Don Siegel

Message par LordDécadent »

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Bien vu.

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Ce n'est pas L.Q. Jones

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Mais Tom Reese.
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lasso
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming star - 1960 - Don Siegel

Message par lasso »

Dans la lignée d'Unforgiven 1960 de John Huston, le Western de Don Siegel, moins âpre, mais le thème raciste, mariage blanc/indiens,
métis, est aussi bien traité et puis l'idée de base de l'étoile ardente traité avec intelligence. D. Siegel avait un nez, pour les acteurs,
Elvis, convenait parfaitement au rôle du Métis. Un autre choix d'acteur exceptionnel de Siegel fût Clint Eastwood.
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Abilène
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Re: Les Rôdeurs de la plaine - Flaming star - 1960 - Don Siegel

Message par Abilène »

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