Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
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- Little One
- Chasseur de primes
- Messages : 739
- Enregistré le : 27 oct. 2015 19:50
- Localisation : North Central Texas, USA
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
"Death, you WILL die." - Mingo (Daniel Boone - Episode 1.14)
John 3:16
Romans 6:23
1 Corinthians 15:26,54-57
Revelation 21:3-4
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- Little One
- Chasseur de primes
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Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
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Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Une autre vue de cet excellent Sherman et Felicia Farr dans le rôle principal !!! Que du bonheur. Elle a beaucoup de présence sur
scène, tient la tête droite et les mouvements de son corp bien sous contrôle. Elle possède beaucoup de Sex-Appeal...
Une scène, où elle glisse de son cheval dans les bras de Audie, les deux corps se touchent de très près, un regard amouré,
mais Audie ne voit rien, trop préoccupé avec l'action qui va venir.....
scène, tient la tête droite et les mouvements de son corp bien sous contrôle. Elle possède beaucoup de Sex-Appeal...
Une scène, où elle glisse de son cheval dans les bras de Audie, les deux corps se touchent de très près, un regard amouré,
mais Audie ne voit rien, trop préoccupé avec l'action qui va venir.....
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Revu cette excellente série B avec mon DVD Sidonis/Calista de 2008 , scénario très simple d'un type pris pour un autre et identifié comme un tueur à cause d'un fusil volé et de la folie d'un prévôt qui veut arrêter n'importe qui à la place, pourvu qu'il ait la gloire d'avoir capturé un tueur , ensuite il y a la population d'une petite ville pas très nette à cause d'un fait divers regrettable , décors naturels et superbes durant cette cavale de 1h18 bien réalisée par George Sherman , très bon Stephen MacNally , felicia Farr séduisante et crédible , et Audie Murphy toujours énergique et remarquable en essayant de prouver sa bonne foi , donc que du bonheur pendant 1h18 , car ce " Hell bent for leather " , ça , c'est du western
- Winchester73
- Trappeur
- Messages : 3629
- Enregistré le : 26 nov. 2009 11:34
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Bravo pour le fameux fusil qui est dans " Le diable dans la peau " et dans " Big Jessie" , épisode de "Cimarron Strip " , deux westerns vus récemment pour moi, avec beaucoup d'action pour les deux , et j'ai très apprécié le film et la série , même s'il y a de grandes différences dans les deux scénarios , mais effectivement le fusil a son importance !
-
- Chercheur d'or
- Messages : 4567
- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Bravo 'Winchester73' Le coup d'oeil !!
J'avais repéré le fusil dans "Hell Bent for Leather" et avais comparé avec celui de Cochise dans "Broken Arrow", et de Capitaine Jack dans "Drumbeat" ... mais c'était pas bon ...
Ce réemploi d'accessoires est fréquent, et amusant ; ici, il est marquant.
J'avais repéré le fusil dans "Hell Bent for Leather" et avais comparé avec celui de Cochise dans "Broken Arrow", et de Capitaine Jack dans "Drumbeat" ... mais c'était pas bon ...
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Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
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- That doesn't exactly work in your favor.
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
C'est aussi le fusil du Major Dundee , chasseur d'apaches et de chimères.
-
- Chercheur d'or
- Messages : 4567
- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
OUI, c'est vrai !! Enfin, si vous le dites ... Parce que j'avais vérifié ceux de Cochise et de Major Dundee, mais ils ne matchaient pas ... mais n'avais plus pensé à "Hell Bent ..."
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
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Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Ah , limpy , vous me faites travailler de bonne heure , voilà pour la crosse ...
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Voila pour le canon du shotgun.
Par contre dans " Hell bent for Leather " , je ne me souviens plus si c'était un canon long ou court ...
- Winchester73
- Trappeur
- Messages : 3629
- Enregistré le : 26 nov. 2009 11:34
Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Devant l’échec du Fort Clark j’ai terminé mon cycle avec Le diable dans la peau.
Un film rondement bien mené sur une intrigue assez peu commune, porté par un trio d’acteur principaux des plus plaisant.
Audie Murphy campe le mec qui n’a rien demandé mais qui se retrouve accusé à tort de meurtre et captif d’un adjoint qui se fiche éperdument de qui il enverra à la corde tant qu’il peut toucher la prime et les honneurs d’avoir pris un dangereux bandit. J’ai bien aimé Murphy, c’est le genre de rôle qui, je trouve, lui va bien. Le mec un peu crédule, sur qui la malchance s’abat. Il est sympa, il offre de l’eau à un homme assoiffé et carbonisé après une marche dans le désert, et en récompense il se fait braquer son cheval, avec un coup au visage en prime.
Il arrive finalement dans un village et souhaite conter sa mésaventure au shérif, il se retrouve accusé des crimes de l’homme qui l’a justement braqué. Et en prime le barman le plante là, alors qu’il désirait juste se restaurer un peu après ces mésaventures. On peut pas dire qu’Audie soit un mec en veine. Pour moi il a été très bon, on le prendrait presque en pitié.
Face à lui Stephen McNally en adjoint corrompu. Là encore l’acteur est parfait, moi je n’ai pas trouvé qu’il en faisait trop. Justement je pense qu’un Duryea aurait cabotiné davantage donc ne partage pas cette fois l’avis de Moonfleet. L’acteur est également bien servi par la caméra avec de nombreux plans rapprochés sur son visage qui donne toute sa dimension au personnage, antipathique dès les premiers instants. Il est d’ailleurs tout autant détestable que ce soit envers le héros ou les hommes qui l’accompagnent à travers la traque.
Et enfin on retrouve avec joie la magnifique Felicia Farr dans le rôle de la femme prise en otage qui finira au fur et à mesure par prendre le parti de Clay et l’aider dans sa fuite. Un rôle féminin bien construit qui a un vrai « rôle » et ne sers pas que de faire-valoir à la tête d’affiche. Un personnage intéressant puisqu ‘elle aussi sera « reniée » par les habitants sous prétexte que son père était un voleur et qu’elle est « bien la fille de son père ».
Au contraire je n’ai pas trouvé « incohérente » cette ascension fulgurante puisqu’on la voit à plusieurs reprises indiquer le bon chemin, si Clay avait suivi son instinct, sa chance l’aurait ramené tout droit sur ses poursuivants. Ces moments cassent un peu avec ceux où elle est « tirée » tel un boulet par un Audie Murphy à bout de souffle.
On retrouvera avec joie des têtes connues comme John Qualen ou Robert Middleton, pour un moment assez noir dans la maison.
Encore une fois notre couple de sera pas en veine, se réfugiant dans une maison remplie de mauvais souvenirs pour elle qui y est né et aura vu y mourir son père, ils seront confrontés à l’arrivée de trois crapules dont justement Middleton qui forcera la jeune femme à lui soigner une mauvaise blessure, avec regard lubrique et sous entendus pervers en guise de remerciement. Mais notre vicelard aura lui aussi droit à son retour de bâton, quand arrivera McNally qui lui flanquera une bonne correction pour récupérer des informations.
Le film est pour moi très réussi, porté par ses acteurs, mais également par un réalisateur dont j’apprécie beaucoup les découvertes que je fais de son univers, sa façon de filmer les visages, et notamment dans cette fameuse scène dans la cabane où on sent bien l’ambiance qui se dégage de ce moment. Un décor magnifique que j’ai vu énormément ces derniers temps et qui sers bien cette « traque » acharnée entre les rochers.
Seul petit défaut, les autres personnages manquent un peu de relief et on voit finalement assez peu les poursuivants et forcément, ne creuse pas les personnages.
Pas de barbus, et pas d’indien cette fois …. Ah ben si on a un indien, Eddie Little Sky, dont le personnage permet à Sherman de faire passer rapidement son petit « message » pro-indien. Quand McNally donne ses ordres « Toi et toi passez par là, et l’indien et moi on va par là », il recevra comme réponse « L’indien, il s’appelle William ». Tout est dit !
Ah bravo pour le fusil, il me disait aussi quelque chose, mais j’aurais jamais trouvé Major Dundee !
Un film rondement bien mené sur une intrigue assez peu commune, porté par un trio d’acteur principaux des plus plaisant.
Audie Murphy campe le mec qui n’a rien demandé mais qui se retrouve accusé à tort de meurtre et captif d’un adjoint qui se fiche éperdument de qui il enverra à la corde tant qu’il peut toucher la prime et les honneurs d’avoir pris un dangereux bandit. J’ai bien aimé Murphy, c’est le genre de rôle qui, je trouve, lui va bien. Le mec un peu crédule, sur qui la malchance s’abat. Il est sympa, il offre de l’eau à un homme assoiffé et carbonisé après une marche dans le désert, et en récompense il se fait braquer son cheval, avec un coup au visage en prime.
Il arrive finalement dans un village et souhaite conter sa mésaventure au shérif, il se retrouve accusé des crimes de l’homme qui l’a justement braqué. Et en prime le barman le plante là, alors qu’il désirait juste se restaurer un peu après ces mésaventures. On peut pas dire qu’Audie soit un mec en veine. Pour moi il a été très bon, on le prendrait presque en pitié.
Face à lui Stephen McNally en adjoint corrompu. Là encore l’acteur est parfait, moi je n’ai pas trouvé qu’il en faisait trop. Justement je pense qu’un Duryea aurait cabotiné davantage donc ne partage pas cette fois l’avis de Moonfleet. L’acteur est également bien servi par la caméra avec de nombreux plans rapprochés sur son visage qui donne toute sa dimension au personnage, antipathique dès les premiers instants. Il est d’ailleurs tout autant détestable que ce soit envers le héros ou les hommes qui l’accompagnent à travers la traque.
Et enfin on retrouve avec joie la magnifique Felicia Farr dans le rôle de la femme prise en otage qui finira au fur et à mesure par prendre le parti de Clay et l’aider dans sa fuite. Un rôle féminin bien construit qui a un vrai « rôle » et ne sers pas que de faire-valoir à la tête d’affiche. Un personnage intéressant puisqu ‘elle aussi sera « reniée » par les habitants sous prétexte que son père était un voleur et qu’elle est « bien la fille de son père ».
Au contraire je n’ai pas trouvé « incohérente » cette ascension fulgurante puisqu’on la voit à plusieurs reprises indiquer le bon chemin, si Clay avait suivi son instinct, sa chance l’aurait ramené tout droit sur ses poursuivants. Ces moments cassent un peu avec ceux où elle est « tirée » tel un boulet par un Audie Murphy à bout de souffle.
On retrouvera avec joie des têtes connues comme John Qualen ou Robert Middleton, pour un moment assez noir dans la maison.
Encore une fois notre couple de sera pas en veine, se réfugiant dans une maison remplie de mauvais souvenirs pour elle qui y est né et aura vu y mourir son père, ils seront confrontés à l’arrivée de trois crapules dont justement Middleton qui forcera la jeune femme à lui soigner une mauvaise blessure, avec regard lubrique et sous entendus pervers en guise de remerciement. Mais notre vicelard aura lui aussi droit à son retour de bâton, quand arrivera McNally qui lui flanquera une bonne correction pour récupérer des informations.
Le film est pour moi très réussi, porté par ses acteurs, mais également par un réalisateur dont j’apprécie beaucoup les découvertes que je fais de son univers, sa façon de filmer les visages, et notamment dans cette fameuse scène dans la cabane où on sent bien l’ambiance qui se dégage de ce moment. Un décor magnifique que j’ai vu énormément ces derniers temps et qui sers bien cette « traque » acharnée entre les rochers.
Seul petit défaut, les autres personnages manquent un peu de relief et on voit finalement assez peu les poursuivants et forcément, ne creuse pas les personnages.
Pas de barbus, et pas d’indien cette fois …. Ah ben si on a un indien, Eddie Little Sky, dont le personnage permet à Sherman de faire passer rapidement son petit « message » pro-indien. Quand McNally donne ses ordres « Toi et toi passez par là, et l’indien et moi on va par là », il recevra comme réponse « L’indien, il s’appelle William ». Tout est dit !
Ah bravo pour le fusil, il me disait aussi quelque chose, mais j’aurais jamais trouvé Major Dundee !
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Audie Murphy............ Clay Santell
Felicia Farr................. Janet Gifford
Stephen McNally......... Shérif Deckett
Robert Midleton.......... Ambrose
James Westmoreland (Rad Fulton)...... Moon
Jan Merlin................... Travers
Herbert Rudley.............. Perrick
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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Re: Le Diable dans la peau - Hell bent for leather - 1960 - George Sherman
Malcolm Atterbury......... Gamble
Joseph Ruskin................ Shad
Allan Lane....................... Kelsey
John Qualen.................... Old Ben
Eddie Little Sky................ William
Steve Gravers.................. Grover
Bob Steele....................... Jared
Olan Soule........................ Le barman
La Confrérie des Barbus étant momentanément indisponible,
Kermit Maynard .............. Le barfly bien rasé
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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