Rio Grande - 1950 - John Ford
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- lafayette
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Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
Superbe collection de photos et d'affiches comme toujours Metek.
PS / Il y a une affiche postée hier qui est plutôt pour Rio Bravo apparemment et qui me plaît beaucoup.
PS / Il y a une affiche postée hier qui est plutôt pour Rio Bravo apparemment et qui me plaît beaucoup.
- U.S. Marshal Cahill
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Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
quelqu'un peut-il m'enlever ce bout de scotch noirci sur la photo à droite du drapeau jaune, merci
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
Thanks, c'est l'affiche Italienne de Rio Grande!lafayette a écrit :Superbe collection de photos et d'affiches comme toujours Metek.
PS / Il y a une affiche postée hier qui est plutôt pour Rio Bravo apparemment et qui me plaît beaucoup.
Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
Cahill le perfectionniste! Tiens je l'ai envoyer au lave auto!
- lafayette
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Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
cool
Et sinon comme tu sais effacer les morceaux de scotch, peux tu aussi enlever ceux de sparadrap! J'ai une histoire de Tintin où il y en a un pénible qui se promène partout.
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Oui , amusant ce titre!metek a écrit : Thanks, c'est l'affiche Italienne de Rio Grande!
Et sinon comme tu sais effacer les morceaux de scotch, peux tu aussi enlever ceux de sparadrap! J'ai une histoire de Tintin où il y en a un pénible qui se promène partout.
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Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
Et l 'ami Cyrus comme d' habitude a sévit. R
- U.S. Marshal Cahill
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Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
formidable ! merci l'artistemetek a écrit :Cahill le perfectionniste! Tiens je l'ai envoyer au lave auto!
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
oui lafaYette, possible sa depend ou il est poser!
- lafayette
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Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
en fait il fait partie de l'histoire, je blaguais! Continue tes belles photos tranquillement.
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Re: Rio Grande - 1950 - John Ford
J'ai revu ce film de la fameuse trilogie de la cavalerie et, pour tout dire, j'ai été un peu déçu.
Contrairement au somptueux "She wore a yellow ribbon", j'ai trouvé qu'ici l'histoire tournait un peu en rond. A l'image des cavaliers qui font quand même quelques tours de trop lors de l'intronisation des nouveaux arrivants...
A cette image donc, les musiciens, qu'on voit et revoit, qu'on entend et ré-entend, les Indiens qui psalmodient lors d'un plan, puis de deux... Tous ceci m'a donné un goût de dilué. Je me suis demandé où Ford voulait en venir parfois, d'autant qu'au-delà de ces répétitions, il y a une certaine confusion dans le scénario. Je crois que trop de choses veulent nous être montrées en fait. La relation toute particulière entre cette nouvelle recrue, le commandant du camp et la dame qui vient s'ajouter à tout ça est, soit trop affichée, soit pas assez.
Trop car elle fixe une partie qui m'a paru trop longue du film dans l'enceinte du fort.
Pas assez parce que d'autres propos et intrigues alentour apparaissent, sont suggérées, mais pas vraiment exploitées en fin de compte.
Ben Johnson en lieutenant Tyree et Victor McLaglen en Sergent-Major Quincannon sont apparus dans "She wore a yellow ribbon" avec bien plus de succès et dans des rôles moins étriqués qu'ici.
Etriqué. Je crois que c'est le mot en fait. Sans doute l'origine de cette impression est-elle liée à un manque de budget global car on sent bien que ni les conditions de tournage ni les décors n'ont bénéficié de grands moyens (regardez donc une nouvelle fois la façon dont la grille en bois qui emprisonnait les Indiens s'écroule à la première traction des chevaux... cela n'est pas du tout crédible comme prison).
Bon, sinon, il y a quand même l'intégration à une oeuvre, à un message de Ford à l'égard de cette conquête, c'est déjà beaucoup. Et puis bon, nonobstant les critiques que je viens de formuler, la distribution est quand même agréable et certains moments tout à fait prenants.
Allez, je vous laisse, on m'appelle !
Contrairement au somptueux "She wore a yellow ribbon", j'ai trouvé qu'ici l'histoire tournait un peu en rond. A l'image des cavaliers qui font quand même quelques tours de trop lors de l'intronisation des nouveaux arrivants...
A cette image donc, les musiciens, qu'on voit et revoit, qu'on entend et ré-entend, les Indiens qui psalmodient lors d'un plan, puis de deux... Tous ceci m'a donné un goût de dilué. Je me suis demandé où Ford voulait en venir parfois, d'autant qu'au-delà de ces répétitions, il y a une certaine confusion dans le scénario. Je crois que trop de choses veulent nous être montrées en fait. La relation toute particulière entre cette nouvelle recrue, le commandant du camp et la dame qui vient s'ajouter à tout ça est, soit trop affichée, soit pas assez.
Trop car elle fixe une partie qui m'a paru trop longue du film dans l'enceinte du fort.
Pas assez parce que d'autres propos et intrigues alentour apparaissent, sont suggérées, mais pas vraiment exploitées en fin de compte.
Ben Johnson en lieutenant Tyree et Victor McLaglen en Sergent-Major Quincannon sont apparus dans "She wore a yellow ribbon" avec bien plus de succès et dans des rôles moins étriqués qu'ici.
Etriqué. Je crois que c'est le mot en fait. Sans doute l'origine de cette impression est-elle liée à un manque de budget global car on sent bien que ni les conditions de tournage ni les décors n'ont bénéficié de grands moyens (regardez donc une nouvelle fois la façon dont la grille en bois qui emprisonnait les Indiens s'écroule à la première traction des chevaux... cela n'est pas du tout crédible comme prison).
Bon, sinon, il y a quand même l'intégration à une oeuvre, à un message de Ford à l'égard de cette conquête, c'est déjà beaucoup. Et puis bon, nonobstant les critiques que je viens de formuler, la distribution est quand même agréable et certains moments tout à fait prenants.
Allez, je vous laisse, on m'appelle !