Collines brûlantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
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- Alec Longmire
- Convoyeur de bétail
- Messages : 240
- Enregistré le : 05 janv. 2009 15:57
Re: The Burning Hills 1956 Collines Brulantes -Stuart Heisler
Un seul mot pour résumer mon sentiment à l'égard de ce film que j'ai enfin pu voir : em-ba-llé !
J'en avais lu beaucoup de bien dans l'ouvrage «le western », puis les critiques lues ici m'avaient intrigué, tantôt admiratives, tantôt très mitigées.
Eh bien, pour ma part je me range sans aucun doute du côté des premières, je n'ai trouvé que des qualités à ce beau film !
A mon avis, il y a de nombreuses idées de mise en scène marquantes (le meurtre du début et l'assassin qui reste invisible ; la vieille mine d'or qui donne un caractère un peu fantastique ; la mort de l'un des hommes avec un crochet ; mais aussi la fuite des héros grâce aux Indiens... et puis quelques détails comme cette traque entre deux « spécialistes » où le poursuivi tente de brouiller sa piste en utilisant des « trucs » dignes de Old Shatterand (j'avoue que ça m'a bien plu de retrouver ce genre de petits détails...)
Et puis, Skip Homeier est à mon avis très convaincant dans un rôle de psychopathe dangereux, poussé par un père tout aussi fanatique et tuant de sang-froid (les meurtres qu'il commet sont perpétrés dans le dos, sans remords). Le camp des « méchants » n'est d'ailleurs pas aussi uni qu'on aurait pu le penser, puisque suite à l'attitude jusqu'au-boutiste des Sutton, Claude Akins ainsi que le pisteur campent des personnages beaucoup plus modérés.
Il est vrai que l'histoire de Sutton père, que l'on annonce mort puis bien fringant, est surprenante, mais je n'ai pas trouvé cela vraiment bizarre : il est gravement atteint mais sa constitution exceptionnelle (et peut-être surtout son désir de vengeance) lui permettent de s'en sortir.
Le rythme est trépidant, sans une seconde d'ennui j'ai trouvé, et cependant il laisse place par épisodes à la romance entre les deux héros ; les bagarres sont marquantes et très bien menées... Bref, pour moi du tout bon, un western qui déboule dans mes toutes meilleures références, cela faisait longtemps que je n'en avais pas vu un qui me scotche comme celui-ci...
Une petite remarque pour conclure : je n'ai pas trouvé très judicieux le commentaire sur l'affiche originale, concernant l'âge des deux héros : « people would say : but they are only kids » ; il n'y a aucune référence à cela durant tout le film en fait !
J'en avais lu beaucoup de bien dans l'ouvrage «le western », puis les critiques lues ici m'avaient intrigué, tantôt admiratives, tantôt très mitigées.
Eh bien, pour ma part je me range sans aucun doute du côté des premières, je n'ai trouvé que des qualités à ce beau film !
A mon avis, il y a de nombreuses idées de mise en scène marquantes (le meurtre du début et l'assassin qui reste invisible ; la vieille mine d'or qui donne un caractère un peu fantastique ; la mort de l'un des hommes avec un crochet ; mais aussi la fuite des héros grâce aux Indiens... et puis quelques détails comme cette traque entre deux « spécialistes » où le poursuivi tente de brouiller sa piste en utilisant des « trucs » dignes de Old Shatterand (j'avoue que ça m'a bien plu de retrouver ce genre de petits détails...)
Et puis, Skip Homeier est à mon avis très convaincant dans un rôle de psychopathe dangereux, poussé par un père tout aussi fanatique et tuant de sang-froid (les meurtres qu'il commet sont perpétrés dans le dos, sans remords). Le camp des « méchants » n'est d'ailleurs pas aussi uni qu'on aurait pu le penser, puisque suite à l'attitude jusqu'au-boutiste des Sutton, Claude Akins ainsi que le pisteur campent des personnages beaucoup plus modérés.
Il est vrai que l'histoire de Sutton père, que l'on annonce mort puis bien fringant, est surprenante, mais je n'ai pas trouvé cela vraiment bizarre : il est gravement atteint mais sa constitution exceptionnelle (et peut-être surtout son désir de vengeance) lui permettent de s'en sortir.
Le rythme est trépidant, sans une seconde d'ennui j'ai trouvé, et cependant il laisse place par épisodes à la romance entre les deux héros ; les bagarres sont marquantes et très bien menées... Bref, pour moi du tout bon, un western qui déboule dans mes toutes meilleures références, cela faisait longtemps que je n'en avais pas vu un qui me scotche comme celui-ci...
Une petite remarque pour conclure : je n'ai pas trouvé très judicieux le commentaire sur l'affiche originale, concernant l'âge des deux héros : « people would say : but they are only kids » ; il n'y a aucune référence à cela durant tout le film en fait !
Re: The Burning Hills 1956 Collines Brulantes -Stuart Heisler
Content de voir que ce splendide western compte un fan de plus, perso je le classe parmi mes 10 westerns préférés. On attend toujours le dvd.
- Alec Longmire
- Convoyeur de bétail
- Messages : 240
- Enregistré le : 05 janv. 2009 15:57
Re: The Burning Hills 1956 Collines Brulantes -Stuart Heisler
C'est vrai, je verrais bien un DVD lui rendre l'hommage qu'il mérite, d'autant plus s'il gagne à être vu en VO comme cela a été souligné plus haut...
On peut toujours espérer... Je suis sacrément content en tout cas de l'avoir vu, même en VF !
On peut toujours espérer... Je suis sacrément content en tout cas de l'avoir vu, même en VF !
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
- Messages : 23791
- Enregistré le : 12 nov. 2008 18:48
- Localisation : au dessus de Strasbourg
Re: Collines Brulantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
une fiche TV couleurs :
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
Re: Collines Brulantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
Modifié en dernier par lasso le 27 sept. 2012 17:07, modifié 1 fois.
Re: Collines Brulantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
et encore une belle affiche que j'ai oublié
Modifié en dernier par lasso le 03 juin 2013 12:07, modifié 2 fois.
Re: Collines Brulantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
Cela doit être un film "chaud" avec toutes ces photos censurées !
Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)
Re: Collines Brulantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
Non, Trane, c'est des images qui ont été annulés par imageshack, les 5oo photos gratuites étant atteint,
je vais corriger la page, merci de me l'avoir signalé
je vais corriger la page, merci de me l'avoir signalé
Re: Collines Brulantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
C'était un joke tentant : collines brulantes / film chaud..
Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)
Re: Collines Brulantes - The Burning Hills - 1956 - Stuart Heisler
Première représentation à Paris le 11 Janvier 1957 au Caméo , à L' Eldorado et au Lynx en version française et originale .