On se trouve au Mexique, dans la région de Chihuahua, vers 1750, le roi d'Espagne dirige le pays et propage partout le religion
catholique, au détriment des tribus indiennes Yaquis, qui sont de plus en plus chassés de leurs territoires et leur propre croyance
bannie.
Allastray, un hors la loi, sa tête mis à prix, se refuge dans une église, et le prêtre franciscain John, lui accorde asyle, au détriment
de l'armée, qui souhaite le juger. Pour le punir, le gouvernement envoie le prêtre dans une commune abandonnée, en plein territoire
des Yaquis. Allastray l'accompagne. Ils trouvent le village et l'église abandonné, et en piteux état. Le prêtre sonne la cloche pour
appeller les villageois, qui se sont retirés dans la montagne, pour se protéger des bandits, qui volent vivres et biens, ainsi que des
Yaquis, qui n'aiment pas qu'ils pratiquent la religion catholique, qu'ils haïssent. John, le franciscain est abattu par un bandit rôdant
près du village. Quand les villageois s'approchent et recontrent Allastray, ils pensent que c'est lui le prêtre, envoyé par Dieu, capable
de faire des miracles. Allastray nie d'être prêtre et qu'il ne croit pas en Dieu, mais est contraint à aider les pauvres paysans.
Contre la menace d'attaque des Yaquis, Allastray, fait venir un important stock de fusils et un canon, ce pour être prêt de défendre le
village.
Toute négotiation n'ayant pas aboutie à une paix, les Yaquis très nombreux, bien armés, attaquent.
La bataille étant gagnée par les villageois se défendant courageusement derrière un mur fortifié. Un nouveau prêtre arrive à San
Sebastian et une messe de commémoration est célébrée, des hommes du gouvernement sont présent ainsi que quelques militaires.
Un de ceux-ci reconnaît Allastray, qui doit fuir de nouveau, pour échapper à sa punition.....
Dans ce film il n'y a qu'un acteur, ANTONY QUINN, il est tout présent et domine avec une prouesse trop marquée. Un surhomme,
quoi !
Quand à sa partenaire Anjanette Comer, petit rôle, son visage a une expression comme la lune. Ne parlons pas de Charles Bronson.
Le film s'étire .... ce qui n'était pas nécessaire.
La musique de Morricone, on apprécie ou non.
Affiche Allemande






