Les 5 hors-la-loi - Firecreek - 1967 - Vincent McEveety
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Re: Les Cinq Hors-la-loi - Firecreek - 1967 - Vincent McEveety
Revu pour la 3ème fois avec plaisir, l'ambiance de la ville a certainement fait partie des "sources" de Durango dans la BD (parue en 1981) "Les chiens meurent en hiver" et fait penser à celle de "La chevauchée des bannis" paru 10 ans plus tôt....
Inger Sevens renonçant à son amour et tirant au fusil derrière sa fenêtre est la soeur de Grace Kelly renoncant à ses principes pour sauver son mari ..
Thèmes éternels servis par un superbe casting.
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Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)
- lafayette
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Re: Les Cinq Hors-la-loi - Firecreek - 1967 - Vincent McEveety
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Re: Les Cinq Hors-la-loi - Firecreek - 1967 - Vincent McEveety
DVD que j'ai hésité à acheter mais comme je n'avais plus rien à me mettre sous la dent, j'ai sauté le pas. Je dois reconnaître que malgré mon préjugé défavorable j'ai passé un bon moment. la distribution affichée n'est pas tout à fait au RV avec un Elam qui joue un rôle de faire-valoir, un Fonda un peu trop absent mais sortira brutalement son personnage de l'ombre en fichant une balle dans la cuisse du shérif Cobb (James Stewart) sans aucune forme de retenue ni d'émotion.
Voici un résumé de cette courte séquence. Bob Larkin (Henry Fonda), de dos interrompt sa marche, même si l'on ne voit pas son visage, on comprend tout de suite que les menaces du shérif Johnny Cobb l'ont agacé :
La preuve : et poum !
Et pour conclure, un petit mot presque attentionné. Comme s'il venait de lui sauver la vie !
En un instant, blessé qu'il était, Larkin reprend la tête de sa bande de crapules, leur positionnement à l'arrière plan et moins éclairé en souligne bien l'idée.
Tout ceci est d'ailleurs bien mis en valeur par le travail de cadrage qui valorisera la fusillade finale en mettant bien à profit les modestes décors que propose la ville de Firecreek.
James Stewart quant à lui est très bien, nettement mis en avant en revanche et très à l'aise dans l'exercice. Il est particulièrement touchant dans les différents rôles qui sont confiés à son personnage.
Pour finir, un mot sur les personnages féminins. Bien écrits et magnifiquement représentés, les deux belles Leah (Brooke Bundy) et Meli (BarBara Luna), ces deux femmes seront tour à tour convoitées, menacées elles fuiront puis se rebelleront, bref, deux très beaux personnages.
Au final, un western d'un réalisateur que je ne connaissais pas mais qui trouve une place honorable dans ma westernothèque.
Une scène hallucinante, peu après l'entrée en ville des cinq hors-la-loi.
Drew (James Best) et Earl (Gary Lockwood) se bagarrent et manifestement ce n'est pa la première fois... A cet instant, c'est clairement Earl qui a pris le dessus et il est tout simplement en train de noyer son petit copain dans l'abreuvoir du village !
Pas pour autant que ça a l'air d'inquiéter qui que ce soit des trois autres notez bien, en bon chef Larkin surveille l'horizon quant aux deux sbires ils regardent la scène les bras croisés voire ballants...
Très joli choix de réalisation qui suggère le côté sombre et inquiétant des cinq nouveaux-venus.
Earl ne démentira rien à cette première impression, il sera tout au long du film particulièrement effrayant.
Yo.
Voici un résumé de cette courte séquence. Bob Larkin (Henry Fonda), de dos interrompt sa marche, même si l'on ne voit pas son visage, on comprend tout de suite que les menaces du shérif Johnny Cobb l'ont agacé :
La preuve : et poum !
Et pour conclure, un petit mot presque attentionné. Comme s'il venait de lui sauver la vie !
En un instant, blessé qu'il était, Larkin reprend la tête de sa bande de crapules, leur positionnement à l'arrière plan et moins éclairé en souligne bien l'idée.
Tout ceci est d'ailleurs bien mis en valeur par le travail de cadrage qui valorisera la fusillade finale en mettant bien à profit les modestes décors que propose la ville de Firecreek.
James Stewart quant à lui est très bien, nettement mis en avant en revanche et très à l'aise dans l'exercice. Il est particulièrement touchant dans les différents rôles qui sont confiés à son personnage.
Pour finir, un mot sur les personnages féminins. Bien écrits et magnifiquement représentés, les deux belles Leah (Brooke Bundy) et Meli (BarBara Luna), ces deux femmes seront tour à tour convoitées, menacées elles fuiront puis se rebelleront, bref, deux très beaux personnages.
Au final, un western d'un réalisateur que je ne connaissais pas mais qui trouve une place honorable dans ma westernothèque.
Une scène hallucinante, peu après l'entrée en ville des cinq hors-la-loi.
Drew (James Best) et Earl (Gary Lockwood) se bagarrent et manifestement ce n'est pa la première fois... A cet instant, c'est clairement Earl qui a pris le dessus et il est tout simplement en train de noyer son petit copain dans l'abreuvoir du village !
Pas pour autant que ça a l'air d'inquiéter qui que ce soit des trois autres notez bien, en bon chef Larkin surveille l'horizon quant aux deux sbires ils regardent la scène les bras croisés voire ballants...
Très joli choix de réalisation qui suggère le côté sombre et inquiétant des cinq nouveaux-venus.
Earl ne démentira rien à cette première impression, il sera tout au long du film particulièrement effrayant.
Yo.
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Re: Les Cinq Hors-la-loi - Firecreek - 1967 - Vincent McEveety
Tout a été dit ou presque dans les pages précédentes, dont le copier coller sur le personnage de Fonda ici et dans Il était une Fois dans l'Ouest. Surtout quand il meurt.
La Spa devrait déposer plainte pour le traitement infligé aux chevaux dont l'abreuvoir est souillé dans la scène mise en exergue par YO.
Sur la scène de mort de Jack Elam avec du vent, il manque le tumbleweed traditionnel.
On a droit au fameux bon vieux plancher qui craque au bon moment...
Et on a le coup final de la blonde comme dans Le train sifflera trois fois. Faut toujours se méfier des blondes.
Stewart est sauvé encore une fois comme dans La blonde qui tua Liberty Valance. Il est payé cher pour ça l'anti héros?
La Spa devrait déposer plainte pour le traitement infligé aux chevaux dont l'abreuvoir est souillé dans la scène mise en exergue par YO.
Sur la scène de mort de Jack Elam avec du vent, il manque le tumbleweed traditionnel.
On a droit au fameux bon vieux plancher qui craque au bon moment...
Et on a le coup final de la blonde comme dans Le train sifflera trois fois. Faut toujours se méfier des blondes.
Stewart est sauvé encore une fois comme dans La blonde qui tua Liberty Valance. Il est payé cher pour ça l'anti héros?