Lone Ranger : Naissance d'un héros - The Lone Ranger - 2012 - Gore Verbinski
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- patgard
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Re: Lone Ranger : Naissance d'un héros - The Lone Ranger - 2012 - Gore Verbinski
Merci beaucoup pour ces précisions - C'est vrai que mon anglais a pris beaucoup de distance avec moi depuis les années collège mais bon je vais voir - Peut-être que....
- COWBOY PAT-EL ZORRO
- Texas ranger
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Re: Lone Ranger : Naissance d'un héros - The Lone Ranger - 2012 - Gore Verbinski
Bonjour. Sinon, en attendant en français... Mais c'est pas western (mais bien et remet les AVENGERS au piquet ! )
MASKS publié en 2012 aux USA et 2013-14 chez PANIN COMICS. NEW YORK 1927 un syndicat criminel appelé le Parti de la Justice s'empare du pouvoir et des "superhéros" forment une nouvelle équipe. (THE SHADOW, le FRELON VERT et KATO, l'ARAIGNEE NOIRE, la CHAUVE SOURIS et donc... ZORRO, Rafael VEGA dernier descendant de Diego).
MASKS publié en 2012 aux USA et 2013-14 chez PANIN COMICS. NEW YORK 1927 un syndicat criminel appelé le Parti de la Justice s'empare du pouvoir et des "superhéros" forment une nouvelle équipe. (THE SHADOW, le FRELON VERT et KATO, l'ARAIGNEE NOIRE, la CHAUVE SOURIS et donc... ZORRO, Rafael VEGA dernier descendant de Diego).
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- Guerrier indien
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Re: Lone Ranger : Naissance d'un héros - The Lone Ranger - 2012 - Gore Verbinski
Critique refaite et plus détaillée :
Je suis ne suis pas étonné que ce film ait été un échec commercial. Il ne le démérite pas du tout. Déjà, l'interprétation est à déplorer : Johnny Depp est peu crédible, Armie Hammer littéralement fadasse, sans charisme. Helena Bonham Carter sous employée (elle est sur toutes les affiches alors qu'elle ne fait que deux ou trois apparitions dans le film, on est donc sûre qu'on ne l'a mise ici que pour mieux vendre le film). Les scénaristes se sont cru malins de faire alterner le film entre comédie d'opérette et drame pur et dur, mais ce choix de ton ne fait que de le rendre encore plus bancal. Les méchants sont plus ringards qu'effrayants (un affreux bandit cannibale oh lalala mon dieu, je suis impressionné !) et surtout trop caricaturaux. D'ailleurs, on peut dire que Disney n'a plus de raison à démarrer ses films avec le joli château féerique de Disneyland. La firme ne peut résister à l'envie de repousser la violence dans son milieu jusque là considérer comme familial : ils nous montrent moins que rien un méchant qui se contente d'arracher et de manger le coeur de ses victimes (violence purement gratuite). Lone Ranger fait également partie de ces films on ne peut plus hypocrites : très réaliste dans ses costumes et décors, mais totalement incohérent dans ses rebondissements et son intrigue. Notons aussi que le film, surfant sur la vague de films à la durée trop poussée comme Django Unchained, s'étire en longueur et devient plus long que nécessaire sans parler de sous-intrigues plutôt inutiles et d'éléments grotesques genre les lapins carnivores ou le cheval blanc qui arrive pile au bon moment. Les effets spéciaux sont évidemment bien faits, mais alors le reste... une calamité. Ils ne parviennent pas à nous enlever l'idée d'avoir affaire à un sous-western et à une simple reprise de Pirates des Caraïbes sur fond de western. Tout est purement à but commercial et la scène finale est vraiment ridicule, invraisemblable, manque total de réflexion de la part des auteurs... Je parie que de grands créateurs de western comme Anthony Mann, John Ford, Delmer Daves et même Sergio Leone se sont retournés dans leur tombe à la vue de ce désastre. Il serait temps que Disney revienne à une forme de divertissement moins survolté et cabossé.
Je suis ne suis pas étonné que ce film ait été un échec commercial. Il ne le démérite pas du tout. Déjà, l'interprétation est à déplorer : Johnny Depp est peu crédible, Armie Hammer littéralement fadasse, sans charisme. Helena Bonham Carter sous employée (elle est sur toutes les affiches alors qu'elle ne fait que deux ou trois apparitions dans le film, on est donc sûre qu'on ne l'a mise ici que pour mieux vendre le film). Les scénaristes se sont cru malins de faire alterner le film entre comédie d'opérette et drame pur et dur, mais ce choix de ton ne fait que de le rendre encore plus bancal. Les méchants sont plus ringards qu'effrayants (un affreux bandit cannibale oh lalala mon dieu, je suis impressionné !) et surtout trop caricaturaux. D'ailleurs, on peut dire que Disney n'a plus de raison à démarrer ses films avec le joli château féerique de Disneyland. La firme ne peut résister à l'envie de repousser la violence dans son milieu jusque là considérer comme familial : ils nous montrent moins que rien un méchant qui se contente d'arracher et de manger le coeur de ses victimes (violence purement gratuite). Lone Ranger fait également partie de ces films on ne peut plus hypocrites : très réaliste dans ses costumes et décors, mais totalement incohérent dans ses rebondissements et son intrigue. Notons aussi que le film, surfant sur la vague de films à la durée trop poussée comme Django Unchained, s'étire en longueur et devient plus long que nécessaire sans parler de sous-intrigues plutôt inutiles et d'éléments grotesques genre les lapins carnivores ou le cheval blanc qui arrive pile au bon moment. Les effets spéciaux sont évidemment bien faits, mais alors le reste... une calamité. Ils ne parviennent pas à nous enlever l'idée d'avoir affaire à un sous-western et à une simple reprise de Pirates des Caraïbes sur fond de western. Tout est purement à but commercial et la scène finale est vraiment ridicule, invraisemblable, manque total de réflexion de la part des auteurs... Je parie que de grands créateurs de western comme Anthony Mann, John Ford, Delmer Daves et même Sergio Leone se sont retournés dans leur tombe à la vue de ce désastre. Il serait temps que Disney revienne à une forme de divertissement moins survolté et cabossé.
"Quand on tire on raconte pas sa vie"