Frank Gruber, grand bonhomme des pulps, auteur d'ailleurs d'un livre de souvenirs sur le sujet (Pulp Jungle, traduit chez Encrage)...
A mon avis, ce classement en sept catégories s'applique avant tout aux récits publiés dans lesdits pulps et, par la suite, dans les paperbacks qui fleurirent durant les années 50.
En cherchant bien, on peut sûrement prendre le bonhomme en défaut, mais il s'est montré rusé : son thème de l'outlaw, par exemple, fait le lien avec la guerre de Sécession (traduit par guerre civile, un blâme au traducteur

).
Par ailleurs, les oeuvres les plus intéressantes sont celles qui arrivent à marier plusieurs de ces sujets (où exactement range-t-il "La Chevauchée fantastique", pour ne citer qu'un seul classique ? me semble qu'il va dans pas mal de cases...).
Quant à son rejet du freudisme... euh... "Winchester 73", avec la fétichisation du fusil, on est pas en plein dedans, là, docteur ?
B.