Stewart GRANGER (1913-1993)

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U.S. Marshal Cahill
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Stewart GRANGER (1913-1993)

Message par U.S. Marshal Cahill »

Stewart Granger, même s'il n'a pas tourné beaucoup de westerns, mérite néanmoins une bio dans notre site :
on l'a vu en cow-boy dans les Winnetou (Parmi les vautours (Unter Geiern) 1964 ou L'Appât de l'or noir (Der Ölprinz) 1965) et dans les westerns suivants : Au pays de la peur (The Wild North / The Big North) 1952, La dernière chasse (The Last Hunt) 1956, Terreur dans la vallée (Gun Glory) 1957 et Le Grand Sam - A nous la bagarre (North To Alaska) 1960 (aux cotés du Duke).
Il est vrai qu'on l'aura surtout vu dans les films d'aventures (notamment de safari). icongc1

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Stewart Granger était un acteur britannique naturalisé américain, né le 6 mai 1913 à Londres et décédé d'un cancer le 16 août 1993 à Santa Monica (Californie).

Filmographie : il a joué dans 74 films dont :

1943 : L'Homme en gris (The Man in grey), de Leslie Arliss
1944 : L'Homme fatal (Fanny by gaslight), d'Anthony Asquith
1945 : César et Cléopatre (Caesar and Cleopatra), de Gabriel Pascal
1948 : Blanche Fury, de Marc Allégret
1948 : Sarabande (Saraband for dead lovers), de Basil Dearden
1950 : Les Mines du roi Salomon (King Solomon's mines), de Compton Bennett
1952 : Le Prisonnier de Zenda (The Prisoner of Zenda), de Richard Thorpe
1952 : Scaramouche, de George Sidney
1953 : La Reine vierge (Young Bess), de George Sidney
1953 : La Perle noire (All the brothers were valiant), de Richard Thorpe
1953 : Salomé (Salome), de William Dieterle
1954 : Le Beau Brummel (Beau Brummell), de Curtis Bernhardt
1955 : La Croisée des destins (Bhowani Junction), de George Cukor
1955 : Les Contrebandiers de Moonfleet (Moonfleet), de Fritz Lang
1956 : La Dernière chasse (The Last hunt), de Richard Brooks
1957 : La Petite hutte (The Little Hut) de Mark Robson
1958 : Harry Black et le tigre (Harry Black and the tiger), de Hugo Fregonese
1960 : Le Grand Sam (North to Alaska), de Henry Hathaway
1961 : The Secret partner, de Basil Dearden
1962 : Sodome et Gomorrhe (film) (Sodom and Gomorrah), de Robert Aldrich
1962 : Le Jour le plus court (Il Giorno più corto), de Sergio Corbucci
1964 : L'Invasion secrète (The Secret invasion), de Roger Corman
1978 : Les Oies sauvages (The Wild Geese), de Andrew V. McLaglen

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Jicarilla
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Re: STEWART GRANGER

Message par Jicarilla »

:oops: :oops: Je le préfère dans les péplums et aventures. :oops: :oops:
Son physique dans les westerns ne passe pas le seul que je sauve' Au pays de la peur /The Wild North' :oops: :oops: un avis comme un autre :beer1:Image
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chip
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Re: STEWART GRANGER

Message par chip »

Pas d'accord, il est très bien dans ses westerns (the last hunt) , je ne parle de ses westerns choucroutes évidemment...
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Vin
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Re: STEWART GRANGER

Message par Vin »

Moi je l'aime bien, tous types de films confondus, acteur très élégant, un bon archétype du héros de film d'action (Les Mines du roi Salomon, Le Prisonnier de Zenda,pour ne citer que ceux-là), alors mon avis est partial. :sm32:
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Re: STEWART GRANGER

Message par Personne »

De son vrai nom James Stewart, il mesure 1,90m. Donc pas besoin de talonnettes pour lui.
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Vin
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Re: STEWART GRANGER

Message par Vin »

Contrairement à Alan Ladd :mrgreen:
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chip
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Re: STEWART GRANGER

Message par chip »

Parfait Granger dans "Scaramouche", son meilleur film.
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Vin
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Re: STEWART GRANGER

Message par Vin »

Assez d'accord avec celà,Scaramouche est d'ailleurs un des meilleurs films de cape et d'épée jamais réalisés.
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Blue Bill
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Re: STEWART GRANGER

Message par Blue Bill »

Stewart Granger -Winnetou

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Stewart Granger - Gun Glory

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~ Il y a trois moments dans la vie d'un homme où il peut hurler à la lune ,
quand il se marie , quand ses enfants viennent au monde ,
et quand il termine un travail qu'il a été assez fou d'entreprendre ~
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U.S. Marshal Cahill
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Re: STEWART GRANGER

Message par U.S. Marshal Cahill »

vous trouverez un maximum de photos de Stewart Granger dans les 3 Winnetous (Parmi les vautours + L'Appât de l'Or Noir + Frontière Ardente - Old Surehand) où il a joué par ici =>
http://forum.westernmovies.fr/viewtopic ... 117#p84602
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yves 120
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Re: STEWART GRANGER

Message par yves 120 »

audie murphy avait exactement la meme taille que monsieur alan ladd " bizarre là on dit rien " :mrgreen:
" Qu' est - ce qu 'un revolver ? Ni pire ni mieux qu 'un autre outil , une hache , une pelle ou une pioche .
Qu 'il en sorte du bien ou du mal dépend de qui s'en sert . " SHANE
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U.S. Marshal Cahill
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Re: STEWART GRANGER

Message par U.S. Marshal Cahill »

pas tout à fait...ce qui m'a donné l'idée de ceci => http://forum.westernmovies.fr/viewtopic ... 30#p107758


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STEWART GRANGER de DON SHIACH (2005) -320 pages
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DEMERVAL
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Re: Stewart Granger (1913–1993)

Message par DEMERVAL »

Stewart Granger naquit James Lablache Stewart à Old Brompton Road, à l’ouest de Londres, le 6 mai 1913. Il était le fils du major James Stewart, titulaire de l’OBE et de sa femme Frederica Eliza Lablache. Stewart Granger fit ses études à l’Epsom College et à la Webber Douglas Academy of Dramatic Art. Il était l’arrière-arrière petit fils du chanteur d’opéra Luigi Lablache et le petit-fils de l’acteur Luigi Lablache. Uand il devint acteur, on lui demanda de changer son nom afin qu’il n’y ait pas de confusion avec l’acteur américain James Stewart. (Granger était le nom de jeune fille de sa grand-mère écossaise.) En dehors de l’écran, ses collégues et amis continuèrent durant toute sa vie de l’appeler Jimmy, mais pour le public il était Stewart Granger.
En 1933, il fit ses débuts au cinéma comme figurant. C’est à cette époque qu’il rencontra Michael Wilding qui restera son ami intime jusqu’à sa mort en 1979. Suivirent des années sur les planches, initialement au Hull Repertory Theatre et, après une embrouille sur son salaire, au Birmingham Repertory Theatre. Là il rencontra Elspeth March, une des vedettes de la compagnie, qui devint sa première épouse.
A la déclaration de la seconde guerre mondiale, Stewart Granger s’engagea dans les Gordon Highlanders, puis fut transféré au 3ème régiment royal écossais dans le bataillon des Black Watch avec le grade de lieutenant. Mais Stewart Granger souffrait d’ulcères à l’estomac et il fut réformé en 1942.
Il décrocha son premier rôle en vedette dans le mélodrame qui se passait à l’époque des peintures de Gainsborough, L’Homme en Gris (1943), un film qui l’aida à devenir une grande star en Grande-Bretagne. Une suite de films populaires mais mal accueillis par les critiques suivit, dont The Magic Bow dans lequel il incarnait Niccolò Paganini et La Madonne aux deux visages (1945). A noter une exception dans cette série de films, Sarabande (1948), une production des studios d’Ealing. Le script avait été écrit par John Dighton et Alexander Mackendrick, qui devait plus tard réaliser Tueurs de Femmes (1955) et Le Grand Chantage. Stewart Granger y jouait l’intrus, le beau joueur qui était perçu comme “pas tout à fait l’homme ad hoc” par l’ordre établi, la cour hanovrienne où l’action était principalement située. Stewart Granger reconnut que c’était l’un des seuls films dont il était vraiment fier.
En 1949 Granger était censé gagner aux alentours de £30,000 par an.
Cette année-là, Stewart Granger tourna Adam et Evelyne, avec en vedette, Jean Simmons. L’histoire, au sujet d’une adolescente et d’un homme beaucoup plus âgé qui prenait graduellement conscience que la jeune fille n’était plus une enfant et était devenue une jeune femme avec des émotions et une sexualité plus matures, faisait manifestement un parallèle avec la vraie vie de Stewart et de Jean. Stewart Granger avait rencontré pour la première fois la très jeune Jean Simmons quand ils travaillaient tous deux dans César et Cléopâtre de Gabriel Pascal (1945). Trois ans plus tard, Jean Simmons s’était transformée d’une nouvelle venue prometteuse en star – et surtout en une jeune femme très attractive. Ils se marièrent l’année suivante au cours d’une cérémonie bizarre organisée par Howard Hughes – un de ses jets privés avait transporté le couple à Tucson, Arizona, où ils s’unirent, principalement parmi des étrangers, avec l’acteur Michael Wilding comme garçon d’honneur.
Après que l’adaptation au théâtre de la pièce de Léon Tolstoï, The Power of Darkness (une pièce qui devait lui servir de tremplin) eut été tiédement reçue lors de la première au Lyric Theatre de Londres le 25 avril 1949, la déception, amplifiée par le mécontentement envers la Rank Organisation, tournèrent ses pensées vers Hollywood.
Un de ses derniers rôle au théâtre eut lieu à Broadway dans The Circle de W. Somerset Maugham, face à Glynis Johns et Rex Harrison dans son dernier rôle. La première eut lieu à la Duke University pour une saison de 3 semaines, suivie de représentations à Baltimore et Boston avant d’ouvrir à Broadway le 14 novembre 1989.
En 1949, Stewart Granger opéra la transition ; la MGM recherchait quelqu’un pour interpréter le héros de H. Rider Haggard, Allan Quatermain dans une version cinématographique des Mines du Roi Salomon. Sur la base de l’immense succès du film sorti en 1950, la MGM lui offrit un contrat de 7 ans. Après deux rôles plus confidentiels dans Trois Troupiers et Miracle à Tunis, en 1952, il fut la vedette de Scaramouche dans le rôle d’Andre Moreau, le fils bâtard d’un noble français, un rôle interprété par Ramon Novarro dans la version de 1923 du roman de Rafael Sabatini. Peu après vint le remake du Prisonnier de Zenda (1952), pour lequel sa voix théâtrale, sa stature (1m91 ) et sa prestance firent merveille.
Dans Les Contrebandiers de Moonfleet (1955), Stewart Granger incarnait un aventurier, Jeremy Fox, dans le Dorset de 1757, un homme qui dirige, d’une main de fer, un gang de coupeurs de gorges jusqu’à ce qu’il soit ramolli par un jeune garçon de 10 ans qui l’adore et croit en la bonne part de Jeremy Fox. Le film était réalisé par Fritz Lang et produit par John Houseman, un ex associé d’Orson Welles. Des Pas dans le Brouillard fut le troisième et dernier film que Stewart Granger et Jean Simmons firent ensemble – Jean Simmons y incarnant une femme de chambre galloise qui trouvait que son aventurier d’employeur avait empoisonné sa riche épouse afin d’hériter de ses biens. La Croisée des Destins (1956), adapté d’un roman de John Masters, traitait de l’Inde au moment de la guerre d’indépendance. Ava Gardner incarnait une anglo-indienne (une métisse) coincée entre deux mondes, celui des anglais et celui des indiens, et Stewart Granger y était l’officier duquel (contrairement au roman) elle tombait finalement amoureuse. Ses films La Petite Hutte (1957), une timide comédie sexuelle et Terreur dans la Vallée (1957), un western dont le thème était la rédemption, furent tous deux des flops. Le Grand Sam avec John Wayne, un western avec de belles bagarres, fut son dernier film à Hollywood.
En Allemagne, Stewart Granger décrocha le rôle d’Old Surehand dans trois westerns adaptés de romans de l’auteur allemand Karl May, avec l’acteur français Pierre Brice (interprétant le chef indien de fiction Winnetou), dans Parmi les Vautours (1964), L’Appât de l’Or Noir (1965) et Old Surehand (1965). Il fut réuni de nouveau avec Pierre Brice et Lex Barker, également un des héros des films de Karl May , dans Le Carnaval des Barbouzes (1966). Dans la série de films allemands d’Edgar Wallace des années 1960, on put l’apercevoir dans Le Signe du Trigorne (1966). Il estima plus tard qu’il avait gagné plus d’1million et demi de dollars dans les années 1960 et avait tout dépensé.
Par la suite , il remplaça les acteurs Lee J. Cobb, Charles Bickford et John McIntire pour la neuvième saison de la série Le Virginien dans le rôle du nouveau propriétaire du ranch de Shiloh (1971).
Il apparut dans Les Oies Sauvages (1978)dans le rôle d’un banquier peu scrupuleux, qui louait les services d’une unité de mercenaires pour provoquer un coup d’Etat dans un pays africain. Son personnage passait ensuite un deal avec le gouvernement en place et trahissait les mercenaires.
Dans les années 1970, Stewart Granger se retira de l’industrie du film et alla vivre au sud de l’Espagne, où il investit dans l’immobilier. Il revint devant les caméras en 1981 avecla publication de son autobiographie, tout en clamant qu’il était blasé. Stewart Granger passa la dernière decennia de sa vie en apparaissant dans des shows télévisés et sur les planches. Il fut même la vedette d’un soap-opera allemand intitulé, Das Erbe der Guldenburgs (1987).
Stewart Granger fut marié à trois reprises :
• avec Elspeth March (1938–1948); deux enfants, Jamie et Lindsay
• Jean Simmons (1950–1960), une fille, Tracy
• Caroline LeCerf (1964–1969); uen fille, Samantha
Stewart Granger affirma dans son autobiographie que Deborah Kerr lui avait fait des avances à l’arrière de son véhicule à l’époque où ils tournaient César et Cléopâtre. Bien que marié alors à Elspeth March, il affirma qu’il avait quand même eu une relation avec Deborah Kerr. Deborah Kerr dénia cette allegation, tout en commentant, "Il aurait été bien chanceux."
En 1956, Stewart Granger se fit naturaliser américain.
Il décéda à Santa Monica, Californie le 16 août 1993, d’un cancer de la prostate à 80 ans.
En 1970, Stewart Granger dit que "Stewart Granger est une star de cinéma tout à fait efficiente, mais je ne pense pas qu’il soit vraiment un acteur."
Parmi les films que Stewart Granger déclina et qui furent donc faits avec d’autres acteurs figurent Ivanhoe (1951), Mogambo (1953), Le Voleur du Roi (1955) et L’Homme de l’Ouest (1958).
lerebelle
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Re: Stewart Granger (1913–1993)

Message par lerebelle »

Merçi Demerval pour cette tres belle bio. R :wink: :applaudis_6: :beer1:



Pour la taille, je l' ai toujours vu sur de tres anciennes revues de cinéma que j'ai la chance de posseder à 1m 87 soit six pieds et un pouce et demi, je sais IMDB sur ce sujet, n 'ai pas toujours crédible, comme par exemple Bud Spencer a 1 m 94, c 'est inexact .
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U.S. Marshal Cahill
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Re: Stewart Granger (1913–1993)

Message par U.S. Marshal Cahill »

Terreur dans la vallée - Gun Glory - 1957
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