Gary COOPER (1901-1961)
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Gary COOPER (1901-1961)
Après Joel McCrea, voici un sujet sur Gary Cooper!
Eh oui, il n'y en avait pas encore sur cet immense acteur(il y a bien un Top Gary Cooper quand même ). cool
Eh oui, il n'y en avait pas encore sur cet immense acteur(il y a bien un Top Gary Cooper quand même ). cool
- Cole Armin
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Un géant du cinéma.
Il faut absolument que je me procure le coffret DVD Warner récemment sorti.
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"Attends d'être aussi vieux que moi pour parler comme moi"
Walter Brennan dans La Rivière rouge
Discutez cinéma!
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Un très grand cow-boy ce Gary Cooper
Dans le livre anglais d'Homer Dickens, Gary Cooper est décrit comme suit : De tous les acteurs de cinéma, nul, mieux que Gary Cooper, n'incarne l'homme américain; son image, sur l'écran, est celle de l'Américain type, cele d'un homme grand, au physique agréable, affable, discret, honnête, franc qui sait faire face quelles que soient les circonstances et les situations. Cooper était l'idole des hommes comme des femmes; les enfants, eux, voyaient en lui un héros. Danstout ce qu'il faisait on retrouve son apport personnel, et il restait lui-même quel que fût son ou sa partenaire.
Dans la majorité de cas, c'était une réussite. Pour certains, Cooper est le plus grand acteurs "nés" de cinéma, pour d'autres c'est simplement "une personnalité doublée d'une vedette".
De 1935 à 1945, période qui coïncide avec l'apogé de sa carrière, Cooper a démontré, même à ses détracteurs, qu'il était un acteur sensible et profond. Peu bavard, il était le premier à rire de la réputation "d'homme qui parle peu" qu'on lui faisait. Sa timidité à l'égard des tiers explique cette réserve, mais les amis intimes de Gary Cooper: Ernest Hemingway et James Stewart, pour ne nommé que ceux là, savent, eux, ce qu'il en est.
En 1951, de retour sous la bannière de la Warner Bros, Cooper se commit dans le film : Distant Drums (Les aventures du capitaine Wyatt), désastreuse aventure qui reposait entièrement sur les épaules de Cooper. Son nom était une valeur sûre mais il ne suffit pas à sauver un scénario indigent (Niven Busch et Martin Rackin) et une mise en scène bâclé (Raoul Walsh).
C'est alors que Cooper prit une décision capitale: il accepta de réduire ses cachets en échange d'une participation aux bénifices. Ainsi, après bien sûr le refus de Gregory Peck à personnifier le rôle de Will Kane, Stanley Kramer put tourner un western : High Noon (Le train sifflera trois fois) pour la somme relativement modique de 750,000 dollars. Ce fut le début de l'intéressement des vedettes à la commercialisation et à l'exploitation des films auxquels ils participaient; par la suite, Cooper obtint d'être intéressé aux bénifices sans subir de réduction du montant des cachets. Son prestige auprès des magnats du cinéma était tel qu'il put se le permettre.
Dans "Le train sifflera trois fois", Cooper se surpassa dans l'interprétation de Will Kane aux prises avec quatre tueurs au moment où les habitants lâches se détournent de lui. La mise en scène de Fred Zinnemann, la partition musicale de Dimitri Tiomkin et le montage d'Elmo William fournirent la preuve qu'il est possible de renouveler un genre même éculé et que le film est bien la manifestation artistique la plus dynamique des temps modernes. "Le train sifflera trois fois" valut un second Oscar à Gary Cooper.
Le 13 mai 1961, Gary Cooper s'étaignit six jours avant son soixantième anniversaire.
On ne saurait mieux le décrire qu'à travers ses propres paroles:"Voilà comment je voyais les choses. Pour que les gens vous trouvent sympathique (en tant qu'artiste, cela va sans dire) cherchez à deviner quel est leur idéal. Pas de beau chevalier montant un cheval blanc mais un type qui corresponde à l'image qu'on se fait du brave homme."
Dans la majorité de cas, c'était une réussite. Pour certains, Cooper est le plus grand acteurs "nés" de cinéma, pour d'autres c'est simplement "une personnalité doublée d'une vedette".
De 1935 à 1945, période qui coïncide avec l'apogé de sa carrière, Cooper a démontré, même à ses détracteurs, qu'il était un acteur sensible et profond. Peu bavard, il était le premier à rire de la réputation "d'homme qui parle peu" qu'on lui faisait. Sa timidité à l'égard des tiers explique cette réserve, mais les amis intimes de Gary Cooper: Ernest Hemingway et James Stewart, pour ne nommé que ceux là, savent, eux, ce qu'il en est.
En 1951, de retour sous la bannière de la Warner Bros, Cooper se commit dans le film : Distant Drums (Les aventures du capitaine Wyatt), désastreuse aventure qui reposait entièrement sur les épaules de Cooper. Son nom était une valeur sûre mais il ne suffit pas à sauver un scénario indigent (Niven Busch et Martin Rackin) et une mise en scène bâclé (Raoul Walsh).
C'est alors que Cooper prit une décision capitale: il accepta de réduire ses cachets en échange d'une participation aux bénifices. Ainsi, après bien sûr le refus de Gregory Peck à personnifier le rôle de Will Kane, Stanley Kramer put tourner un western : High Noon (Le train sifflera trois fois) pour la somme relativement modique de 750,000 dollars. Ce fut le début de l'intéressement des vedettes à la commercialisation et à l'exploitation des films auxquels ils participaient; par la suite, Cooper obtint d'être intéressé aux bénifices sans subir de réduction du montant des cachets. Son prestige auprès des magnats du cinéma était tel qu'il put se le permettre.
Dans "Le train sifflera trois fois", Cooper se surpassa dans l'interprétation de Will Kane aux prises avec quatre tueurs au moment où les habitants lâches se détournent de lui. La mise en scène de Fred Zinnemann, la partition musicale de Dimitri Tiomkin et le montage d'Elmo William fournirent la preuve qu'il est possible de renouveler un genre même éculé et que le film est bien la manifestation artistique la plus dynamique des temps modernes. "Le train sifflera trois fois" valut un second Oscar à Gary Cooper.
Le 13 mai 1961, Gary Cooper s'étaignit six jours avant son soixantième anniversaire.
On ne saurait mieux le décrire qu'à travers ses propres paroles:"Voilà comment je voyais les choses. Pour que les gens vous trouvent sympathique (en tant qu'artiste, cela va sans dire) cherchez à deviner quel est leur idéal. Pas de beau chevalier montant un cheval blanc mais un type qui corresponde à l'image qu'on se fait du brave homme."
Re: Un très grand cow-boy ce Gary Cooper
Pourtant il y a beaucoup de fans de ce film, dont moi! C'est intéréssant de savoir que ce film n'a pas marché aux Etats-Unis.Daniel a écrit : En 1951, de retour sous la bannière de la Warner Bros, Cooper se commit dans le film : Distant Drums (Les aventures du capitaine Wyatt), désastreuse aventure qui reposait entièrement sur les épaules de Cooper. Son nom était une valeur sûre mais il ne suffit pas à sauver un scénario indigent (Niven Busch et Martin Rackin) et une mise en scène bâclé (Raoul Walsh).
Raoul Walsh ne fesant que transposer dans les everglades son scénario d'Aventures en Birmanie avec Errol Flynn.
au sujet du film Distant Drums (Les aventures du capitaine Wyatts)
Distant Drums... le synopsis: Lhistoire est celle des obscurs combattants qui firent pencher la balance lors de la guerre menée contre les Seminoles, habitants des terres marécageuses de la Floride. Un détachement commandé par le capitaine Quincy Wyatts, découvre, dans les marais, une jeune captive d'une grande beauté; avec sa servante, elle accompagne les combattans et les guides durant l'opération entreprise contre les Indiens.
Ce film d'aventures, en Technicolor, a été tourné dans les parcs des Everglades, à l'extrémité méridionale de la Floride. Il satisfait pleinement les amateurs de films d'action; la photographie et la ferme direction du metteur en scène Raoul Walsh méritent une mention spéciale. Moi aussi j'aime ce western.
Au fait, Personne , le film a bien cartonné aux guichets puisque le public américain adorait Gary Cooper. Mais une certaine presse aux États-Unis ont décidé de prendre en grippe ce long-métrage pour des raisons que j'ignore totalement.
Mais voici ce que les critiques de l'époque en disent : Gary Cooper fournit une interprétation moyenne dans un rôle qui lui offre peu de possibilités; les acteurs de complément qui lui servent de partenaires n'ont pas été choisis parmi les meilleurs et les bonnes séquences sont rares. La musique de Max Steiner souligne et soutient l'action et permet d'oublier l'invraisemblance de l'intrigue.
Dans le New York Times de l'époque, Bosley Crowther ne mâche pas ses mots : "Ne cherchez pas de nouveautés... Le réalisateur Raoul Walsh a dirigé ce film avec précision, comme il l'aurait fait dans des films tournés il y a vingt-cinq ans. Ce qui revient à dire que monsieur Cooper est égal à lui-même d'un bout à l'autre, que l'histoire est tantôt sérieuse, tantôt comique et que le rythme se maintient d'une manière conventionnelle et artificielle."
Comme tu peux le constater Personne, une certaine presse au pays de l'oncle Sam n'a pas été très tendre à l'endroit de Distant Drums au moment de sa sortie en salle.
Ce film d'aventures, en Technicolor, a été tourné dans les parcs des Everglades, à l'extrémité méridionale de la Floride. Il satisfait pleinement les amateurs de films d'action; la photographie et la ferme direction du metteur en scène Raoul Walsh méritent une mention spéciale. Moi aussi j'aime ce western.
Au fait, Personne , le film a bien cartonné aux guichets puisque le public américain adorait Gary Cooper. Mais une certaine presse aux États-Unis ont décidé de prendre en grippe ce long-métrage pour des raisons que j'ignore totalement.
Mais voici ce que les critiques de l'époque en disent : Gary Cooper fournit une interprétation moyenne dans un rôle qui lui offre peu de possibilités; les acteurs de complément qui lui servent de partenaires n'ont pas été choisis parmi les meilleurs et les bonnes séquences sont rares. La musique de Max Steiner souligne et soutient l'action et permet d'oublier l'invraisemblance de l'intrigue.
Dans le New York Times de l'époque, Bosley Crowther ne mâche pas ses mots : "Ne cherchez pas de nouveautés... Le réalisateur Raoul Walsh a dirigé ce film avec précision, comme il l'aurait fait dans des films tournés il y a vingt-cinq ans. Ce qui revient à dire que monsieur Cooper est égal à lui-même d'un bout à l'autre, que l'histoire est tantôt sérieuse, tantôt comique et que le rythme se maintient d'une manière conventionnelle et artificielle."
Comme tu peux le constater Personne, une certaine presse au pays de l'oncle Sam n'a pas été très tendre à l'endroit de Distant Drums au moment de sa sortie en salle.
- musselshell
- Castor éclopé
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On peut apporter une précision: si vous lisez les critiques américaines des années 50, elles sont plus que souvent lapidaires et superficielles à l'égard du western, et notablement en ce qui concerne de grands classiques du genre, pas forcément perçus comme de grands films...En fait, et il n'y a pas de mal à le dire, Walsh, Hawks, Mann, Daves, pour ne citer qu'eux...ont été véritablements "découverts" sur le plan de leur importance artistique par la critique française avec, par exemple (et pas le moindre), André Bazin...puis Positif et les Cahiers dans les années 60 (avant la période "marxo-obscure" de ces derniers)...
Pour en revenir à Distant Drums, c'est loin d'être bâclé! et ce n'est pas seulement réussi techniquement... cool
Pour en revenir à Distant Drums, c'est loin d'être bâclé! et ce n'est pas seulement réussi techniquement... cool
Distant Drums
Je suis bien d'accord avec toi musselshell que ce western n'est pas si mauvais que ça.
Mais tu sais, les critiques (ces fameux experts en cinoche) changent souvent d'avis avec le temps. Je vais te donner un exemple de ce que j'avance... Le plus grand film américain de tous les temps selon l'A.F.I. (American Films Institute) c'est Citizen Kane (1941).
Pourtant ce film reçu énormément de mauvaises critiques en son endroit. Lors de la remise des Oscars de 1942, c'est le film de John Ford, How Green Was My Valley (Qu'elle était verte ma vallée) qui remporta la prestigieuse statuette. Et bien, ce long-métrage de Ford ne figure même pas dans les 100 plus grands films de l'histoire.
Au fait, selon A.F.I., le plus grand western de tous les temps est Gone with de Wind (Autant en emporte le vent) avec sa 4e place au palmarès.
Donc, pour en revenir avec le western Dinstant Drums du réalisateur Raoul Walsh. Ce film de 1951 est très captivant et haut en couleur. Ce n'est peut-être pas le meilleur film de Gary Cooper mais ce n'est pas non plus son plus mauvais.
Au fait, saviez-vous que Gary Cooper s'exprimait très bien en français ?
Mais tu sais, les critiques (ces fameux experts en cinoche) changent souvent d'avis avec le temps. Je vais te donner un exemple de ce que j'avance... Le plus grand film américain de tous les temps selon l'A.F.I. (American Films Institute) c'est Citizen Kane (1941).
Pourtant ce film reçu énormément de mauvaises critiques en son endroit. Lors de la remise des Oscars de 1942, c'est le film de John Ford, How Green Was My Valley (Qu'elle était verte ma vallée) qui remporta la prestigieuse statuette. Et bien, ce long-métrage de Ford ne figure même pas dans les 100 plus grands films de l'histoire.
Au fait, selon A.F.I., le plus grand western de tous les temps est Gone with de Wind (Autant en emporte le vent) avec sa 4e place au palmarès.
Donc, pour en revenir avec le western Dinstant Drums du réalisateur Raoul Walsh. Ce film de 1951 est très captivant et haut en couleur. Ce n'est peut-être pas le meilleur film de Gary Cooper mais ce n'est pas non plus son plus mauvais.
Au fait, saviez-vous que Gary Cooper s'exprimait très bien en français ?
Re: Distant Drums
Je ne savais pas en ce qui me concerne!Daniel a écrit : Au fait, saviez-vous que Gary Cooper s'exprimait très bien en français ?
- Cole Armin
- Maire
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- Enregistré le : 26 févr. 2004 8:48
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Re: Distant Drums
Moi non plus
"Attends d'être aussi vieux que moi pour parler comme moi"
Walter Brennan dans La Rivière rouge
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Gary Cooper
Vous l'avez peut-être remarqué en voyant mon avatar, mais je suis un fan de Gary Cooper, que je considère comme le plus grand du cinéma américain. Autant dire le plus grand du cinéma tout court.
Cet authentique cow-boy du Montana (né en 1901, de son vrai nom Frank Cooper) est arrivé à Hollywood un peu par hasard en 1924 et s'est retrouvé devant les caméras sans véritable formation. Cela ne l'a pas empêché de jouer ensuite pour des réalisateurs aussi différents que Borzage, Hathaway, Lubitsch, Capra, Hawks, de Mille, Vidor, de Toth, Walsh, Wyler, Zinnemann, Aldrich, Mann, Daves. A chaque fois, il convainquit ces créateurs si exigeants. Vidor disait : "Il n'avait pas besoin de jouer. Il arrivait, il marchait devant la caméra, et le public était content".
Paradoxalement, Cooper a fait assez peu de westerns. Ce n'était pas de sa faute : il fit sa carrière à l'époque des "studios", ces entreprises toutes-puissantes qui décidaient de tout. Cooper étant une star, on le mettait à toutes les sauces, au nom de la rentabilité. Il est certain que sa filmographie ne reflète pas vraiment ce qu'il aurait voulu faire. D'ailleurs, son meilleur film, "Sergent York" (qui lui valut son premier oscar), n'était pas un western.
Ses westerns :
Le Virginien (1929)
L'attaque de la caravane (1932)
Une aventure de Buffalo Bill (1936)
Le cavalier du désert (1940)
Les tuniques écarlates (1941)
Les Conquérants du Nouveau Monde (1947)
Dallas, ville frontière (1950)
Les aventures du capitaine Wyatt (1951)
Le train sifflera trois fois (1952)
La mission du commandant Lex (1952)
Vera Cruz (1954)
Le jardin du Diable (1954)
La loi du Seigneur ( 1956)
L'homme de l'Ouest (1957)
La collines des potences (1959)
Gary Cooper est mort en 1961. Coïncidence ou fait significatif, c'est cette année-là que commença le déclin du western.
Cet authentique cow-boy du Montana (né en 1901, de son vrai nom Frank Cooper) est arrivé à Hollywood un peu par hasard en 1924 et s'est retrouvé devant les caméras sans véritable formation. Cela ne l'a pas empêché de jouer ensuite pour des réalisateurs aussi différents que Borzage, Hathaway, Lubitsch, Capra, Hawks, de Mille, Vidor, de Toth, Walsh, Wyler, Zinnemann, Aldrich, Mann, Daves. A chaque fois, il convainquit ces créateurs si exigeants. Vidor disait : "Il n'avait pas besoin de jouer. Il arrivait, il marchait devant la caméra, et le public était content".
Paradoxalement, Cooper a fait assez peu de westerns. Ce n'était pas de sa faute : il fit sa carrière à l'époque des "studios", ces entreprises toutes-puissantes qui décidaient de tout. Cooper étant une star, on le mettait à toutes les sauces, au nom de la rentabilité. Il est certain que sa filmographie ne reflète pas vraiment ce qu'il aurait voulu faire. D'ailleurs, son meilleur film, "Sergent York" (qui lui valut son premier oscar), n'était pas un western.
Ses westerns :
Le Virginien (1929)
L'attaque de la caravane (1932)
Une aventure de Buffalo Bill (1936)
Le cavalier du désert (1940)
Les tuniques écarlates (1941)
Les Conquérants du Nouveau Monde (1947)
Dallas, ville frontière (1950)
Les aventures du capitaine Wyatt (1951)
Le train sifflera trois fois (1952)
La mission du commandant Lex (1952)
Vera Cruz (1954)
Le jardin du Diable (1954)
La loi du Seigneur ( 1956)
L'homme de l'Ouest (1957)
La collines des potences (1959)
Gary Cooper est mort en 1961. Coïncidence ou fait significatif, c'est cette année-là que commença le déclin du western.
MANUEL
Bonjour Manuel,
Je partage cette admiration pour Gary Cooper.
On peut ajouter Le grand Bill (Along Came Jones, 1945) qui pour être une comédie, n'endemeure pas moins un western.
Un autre western de fantaisie si l'on veut mais quand même à noter : The Cowboy and the Lady (1938).
Fighting Caravans ,1931, truculent film de pionniers (on y voit Eugene palette plaisanter l'hypothèse d'un viol de sa voisine par les Indiens qui n'ont pas de goût pour les blondes det toute façon).
The Texan 1930 que je n'ai pas vu mais qui est explicitement un western.
Arizona Bound
Nevada
The Last Outlaw tous de 1927 (décidément ces raretés font envie)
Plus connu : La Conquête de Barbara Worth 1926
Avant cela il apparaît dans quelques westerns pour des rôles insignifiants sans être crédités au générique.
Bien à vous,
Charlie/Traherne.
Je partage cette admiration pour Gary Cooper.
On peut ajouter Le grand Bill (Along Came Jones, 1945) qui pour être une comédie, n'endemeure pas moins un western.
Un autre western de fantaisie si l'on veut mais quand même à noter : The Cowboy and the Lady (1938).
Fighting Caravans ,1931, truculent film de pionniers (on y voit Eugene palette plaisanter l'hypothèse d'un viol de sa voisine par les Indiens qui n'ont pas de goût pour les blondes det toute façon).
The Texan 1930 que je n'ai pas vu mais qui est explicitement un western.
Arizona Bound
Nevada
The Last Outlaw tous de 1927 (décidément ces raretés font envie)
Plus connu : La Conquête de Barbara Worth 1926
Avant cela il apparaît dans quelques westerns pour des rôles insignifiants sans être crédités au générique.
Bien à vous,
Charlie/Traherne.
Bonjour
Aficionado aussi (entre autres)...
Pour saisir tout le jeu de Cooper je retiens 3 films pour ma part, les 2 Capra bien sûr :
L'extravagant M. Deeds et L'Homme de la rue
et Le Rebelle de Vidor
sinon dans les westerns pour ne pas faire de hors sujet j'ai adoré : "Les Tuniques écarlates" (film mineur parait-il!) et "Les Conquérants d'un nouveau monde", et curieusement n'ai pas accroché "Au train sifflera 3 fois" que j'ai trouvé long, certainement l'effet pendule et ennuyeux.
Aficionado aussi (entre autres)...
Pour saisir tout le jeu de Cooper je retiens 3 films pour ma part, les 2 Capra bien sûr :
L'extravagant M. Deeds et L'Homme de la rue
et Le Rebelle de Vidor
sinon dans les westerns pour ne pas faire de hors sujet j'ai adoré : "Les Tuniques écarlates" (film mineur parait-il!) et "Les Conquérants d'un nouveau monde", et curieusement n'ai pas accroché "Au train sifflera 3 fois" que j'ai trouvé long, certainement l'effet pendule et ennuyeux.
En cas de guerre nucléaire, l'électromagnétisme produit par les bombes thermonucléaires pourrait-il endommager mes Dvd ?