Chief YOWLACHIE (1891-1966)
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Chief YOWLACHIE (1891-1966)
Après Chief Thundercloud, voici Chief Yowlachie (sources variées)
Chief YOWLACHIE est né Daniel Simmons le 15 août 1891 àYakima, Etat de Washington.
Membre de la tribu Yakima, il commença sa carrière dans le show-business comme chanteur d’opéra et il passa plusieurs années dans cette profession. Dans les années 1920, il bascula vers le cinéma, et pendant les 25 années suivantes, il incarna toutes sortes de rôles, de l’Apache déchainé à l’ennemi juré à l’allure plutôt comique. Un visage large et rond, sa voix distinctive au timbre caverneux, le faisait ressembler à Bluto, l’ennemi de Popeye dans les dessins animés des années 1930. Il était donc immédiatement reconnaissable et il eut la chance de ne pas sembler vieillir durant sa carrière, cette particularité étant surement due au fait qu’il avait toujours semblé plus jeune qu’il n’était réellement. Il était donc très difficile de lui donner un âge.
En dehors de ses rôles sérieux, il fit quelques apparitions plus légères dans plusieurs films dont La rivière rouge (1948), où il échangeait quelques plaisanteries avec le vétéran Walter Brennan.
Il fit de nombreuses apparitions dans des séries télévisées dont : "War Horse", un épisode de The Lone Ranger et "Rope of Lies", un épisode de Le Virginien. Il apparut aussi à deux reprises dans The Range Rider, avec en vedette Jock Mahoney et Dick Jones.
Il incarna enfin Geronimo dans la série TV des années 1950, Histoires du Siècle Dernier aux côtés de Jim Davis dans le rôle d’un détective d’une compagnie de chemin de fer.
Chief Yowlachie décéda à Los Angeles le 7 mars 1966.
Parmi les westerns auxquels il participa, citons :
Le Dernier Bastion de Lewis R. Foster (1951), rôle de Cochise
El Paso, Ville sans Loi de Lewis R. Foster (1949), rôle de Pete le Païute
L’Etoile du Destin de Vincent Sherman (1952) , rôle de Mangus Colorado, le chef indien
Le Géant du Grand Nord de Gordon Douglas (1959), rôle de l’Homme Médecine
Le Passage du Canyon de Jacques Tourneur (1946), rôle de l’indien porte-parole
La Rivière Rouge d’Howard Hawks (1948), rôle de Quo
Le Sentier de l’Enfer de Byron Haskin (1951), rôle du Chef
Les Tuniques Ecarlates de Cecil B. De Mille (1940), rôle d’un indien
La Ville Abandonnée de William A. Wellman (1948), rôle de Colorado
Winchester 73 d’Anthony Mann (1950), rôle de l’indien au concours de tir
Chief YOWLACHIE est né Daniel Simmons le 15 août 1891 àYakima, Etat de Washington.
Membre de la tribu Yakima, il commença sa carrière dans le show-business comme chanteur d’opéra et il passa plusieurs années dans cette profession. Dans les années 1920, il bascula vers le cinéma, et pendant les 25 années suivantes, il incarna toutes sortes de rôles, de l’Apache déchainé à l’ennemi juré à l’allure plutôt comique. Un visage large et rond, sa voix distinctive au timbre caverneux, le faisait ressembler à Bluto, l’ennemi de Popeye dans les dessins animés des années 1930. Il était donc immédiatement reconnaissable et il eut la chance de ne pas sembler vieillir durant sa carrière, cette particularité étant surement due au fait qu’il avait toujours semblé plus jeune qu’il n’était réellement. Il était donc très difficile de lui donner un âge.
En dehors de ses rôles sérieux, il fit quelques apparitions plus légères dans plusieurs films dont La rivière rouge (1948), où il échangeait quelques plaisanteries avec le vétéran Walter Brennan.
Il fit de nombreuses apparitions dans des séries télévisées dont : "War Horse", un épisode de The Lone Ranger et "Rope of Lies", un épisode de Le Virginien. Il apparut aussi à deux reprises dans The Range Rider, avec en vedette Jock Mahoney et Dick Jones.
Il incarna enfin Geronimo dans la série TV des années 1950, Histoires du Siècle Dernier aux côtés de Jim Davis dans le rôle d’un détective d’une compagnie de chemin de fer.
Chief Yowlachie décéda à Los Angeles le 7 mars 1966.
Parmi les westerns auxquels il participa, citons :
Le Dernier Bastion de Lewis R. Foster (1951), rôle de Cochise
El Paso, Ville sans Loi de Lewis R. Foster (1949), rôle de Pete le Païute
L’Etoile du Destin de Vincent Sherman (1952) , rôle de Mangus Colorado, le chef indien
Le Géant du Grand Nord de Gordon Douglas (1959), rôle de l’Homme Médecine
Le Passage du Canyon de Jacques Tourneur (1946), rôle de l’indien porte-parole
La Rivière Rouge d’Howard Hawks (1948), rôle de Quo
Le Sentier de l’Enfer de Byron Haskin (1951), rôle du Chef
Les Tuniques Ecarlates de Cecil B. De Mille (1940), rôle d’un indien
La Ville Abandonnée de William A. Wellman (1948), rôle de Colorado
Winchester 73 d’Anthony Mann (1950), rôle de l’indien au concours de tir
Modifié en dernier par DEMERVAL le 18 oct. 2020 11:03, modifié 3 fois.
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Re: Chief Yowlachie (1891-1966)
avec Buffalo Bill dans Tomahawk Territory, 1952
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Re: Chief Yowlachie (1891-1966)
Chief Yowlachie - Gunfighters of the Northwest (1954) - Metek09-Artwork-Production (2020)
metek a écrit : Chief Yowlachie, Jane Russell - The Paleface (1948) - Metek09-Artwork-Production (2020)
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
"El Paso" en 1948.
"Tulsa" en 1948.
"A Ticket to Tomahawk/Le Petit Train du Far West" en 1949.
"Winchester 73" en 1950.
"The Painted Hills" en 1950.
"The Pathfinder/Le Trappeur des Grands Lacs" en 1952.
Avec George J. Lewis dans "Death Valley Days: Sequoia" en 1954.
"The Buccaneer/Les Boucaniers" en 1958.
Avec Felix Locher et William Riggs dans "Wagon Train: The Vincent Eaglewood Story" en 1959.
"Frontier Circus: Coals of Fire" en 1961.
"The Virginian: Rope of Lies" en 1964.
Modifié en dernier par LordDécadent le 16 avr. 2021 21:09, modifié 1 fois.
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
Une jolie brochette ! une légère erreur d'attribution de titre : la première de cette salve est extraite de "El Paso" et non de "The Pale Face". ('Il' l'aurait fait exprès pour me faire sortir du bois que ça ne m'étonnerait pas ...)
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
Bonne idée!
Je vais faire passer mes boulettes pour des tests de vigilance.
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
"Canyon Passage/Le passage du canyon" en 1946
Face à Andy Devine
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
"North West Mounted Police/Les tuniques écarlates" en 1940
A gauche
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
Deux captures extraites de "King of the Stallions", où l'on voit Chief Yowlachie avec du vent dans les plumes ...
Et puisque nous avons un peu parlé de BD aujourd'hui, l'occasion pour moi de répéter que je ne me rappelle avoir vu ce changement de direction de plumes d'une coiffe par rapport au vent que chez Frank Sels ... et du coup, peut-être chez son fils aussi, ERSEL ... D'autres ? Giraud, Jijé ? pas sûr ... Jijé, peut-être ... une impression, à vérifier ... Fallait y penser ... et avoir vu "Tomahawk", donc ...
Et puisque nous avons un peu parlé de BD aujourd'hui, l'occasion pour moi de répéter que je ne me rappelle avoir vu ce changement de direction de plumes d'une coiffe par rapport au vent que chez Frank Sels ... et du coup, peut-être chez son fils aussi, ERSEL ... D'autres ? Giraud, Jijé ? pas sûr ... Jijé, peut-être ... une impression, à vérifier ... Fallait y penser ... et avoir vu "Tomahawk", donc ...
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- LordDécadent
- Rancher
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
S. McQueen, Les Sept Mercenaires
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Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté
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- Moi ? Personne...
- Marshall
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- Localisation : Sad Hill,mais pas enterré !
Re: Chief YOWLACHIE (1891-1966)
Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre comme ça tu peux continuer à être toi-même. C'est à dire Personne