Henry Silva (1928-2022)
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- Blue Bill
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Henry Silva (1928-2022)
Henry Silva
Acteur né le 15 sep 1928 à Brooklyn , NY
son épouse : Ruth Earl ( marié sep-1966 , div .nov-1987, deux enfants)
deux garçons , Michael et Scott .
Ce "second couteau" à la mine patibulaire , a joué dans quelques westerns
en 1952 dans "Viva Zapata !
1957 " L'Homme de l'Arizona"
1958 "Bravados"
1958 "L'étoile Brisée"
1958 " le tresor du pendu"
1967 "The Hills Run Red"(Un Fiume di dollari)
de Carlo Lizzani , avec Thomas Hunter , Dan Duryea ...
(la liste est à completer)
Un Fiume Di Dollari
Dans cette video on apperçoit aussi Dan Duryea.
[youtube]<object width="480" height="385"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/rWbqQg6cn-w&hl ... ram><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/rWbqQg6cn-w&hl=fr_FR&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>[/youtube]
Acteur né le 15 sep 1928 à Brooklyn , NY
son épouse : Ruth Earl ( marié sep-1966 , div .nov-1987, deux enfants)
deux garçons , Michael et Scott .
Ce "second couteau" à la mine patibulaire , a joué dans quelques westerns
en 1952 dans "Viva Zapata !
1957 " L'Homme de l'Arizona"
1958 "Bravados"
1958 "L'étoile Brisée"
1958 " le tresor du pendu"
1967 "The Hills Run Red"(Un Fiume di dollari)
de Carlo Lizzani , avec Thomas Hunter , Dan Duryea ...
(la liste est à completer)
Un Fiume Di Dollari
Dans cette video on apperçoit aussi Dan Duryea.
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- U.S. Marshal Cahill
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Re: Henry Silva
tiens, bizarre que nous ne l'avions pas encore dans nos bios...
sa fiche Imdb : http://www.imdb.com/name/nm0798328/
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Re: Henry Silva
dans "Apache Vengeance ou The Desperadoes ou Five Savage Men ou The animals " (1971)
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Henry SILVA (1926-2022)
De descendance Portoricaine ou sicilo-espagnole (selon IMDB), Henry SILVA pouvait témoigner que les 3000 miles qui séparent Brooklyn, New York (où il naquit le 15 septembre 1928) d’Hollywood, Californie, étaient remplis de peines de cœur, de privations et de dur labeur.
Son père, un membre de la marine marchande, le quitta, ainsi que sa mère, avant son premier anniversaire, le laissant sans aucun des conforts de la vie. Sachant qu’il voulait quelque chose de mieux, il quitta le lycée Haaren après une année, à l’âge de 13 ans, gagnant sa vie comme laveur de vaisselle, serveur et éventuellement docker sur le front de mer de New York, et tout cela pour payer ses cours d’art dramatique.
Son acceptation (parmi les 5 candidats retenus sur 2500 participants) dans le prestigieux Actors Studio où il participa aux cours de Lee Strasberg, fut le tournant de sa vie. Henry Silva travailla dans des troupes estivales à Westport au New Hampshire Theatre In the Round. Il fut marié durant cette période à Mary Ramus mais ils divorcèrent en 1955. Son rôle-clé du revendeur de drogue “Mother” dans “A Hatful of Rain” à Broadway l’amena à Hollywood pour l’adaptation cinématographique.
Ses joues creuses et son regard menaçant amenèrent rapidement ce grand gaillard d’1m88 à des rôles de durs dans le western comme l’excellent film de Budd Boetticher, “L’Homme de l’Arizona” avec Randolph Scott, “Le Trésor du Pendu”, “Les Bravados”, “L’Etoile Brisée”, “Violence au Kansas”, “Les 3 Sergents” et les téléfilms et séries “Hotel de Paree”, “Stagecoach West”, “La Grande Caravane” et “Stoney Burke”. Le tournage de ses westerns était entrecoupé par des rôles de sadiques dans “Les Incorruptibles”, “Alfred Hitchcock présente” et autres.
Après des superbes performances dans “Un Crime dans la Tête” (1962) et “La Revanche du Sicilien” (1963), un producteur italien lui offrit le rôle qu’il ne pouvait pas refuser—d’être enfin pour une fois la vedette. Déménageant outremer avec sa famille, “Du Sang dans la Montagne”—“The Hills Run Red”, un western spaghetti de 1966 —en fit une matière première de premier choix pour le box-office. De parler couramment l’italien et l’espagnol lui facilita la tâche pour s’établir comme une star du cinéma européen.
Toutes les années qui suivirent il travailla des deux côtés de l’océan, continuant à faire le mal dans des TV westerns comme “Daniel Boone”, “Laredo”, “Cimarron Strip” et “Le grand Chaparral”.
Henry Silva se remaria le 4 septembre 1966 à Ruth Earl, mais ils se séparèrent en novembre 1987. De cette union sont nés deux fils, Michael et Scott. Jogger confirmé, il fit pendant de longues années quotidiennement ses 5 miles pour rester en forme.
Henry Silva est décédé le 14 septembre 2022, la veille de son 96ème anniversaire à la Motion Picture & Television Fund Home de Los Angeles.
Sa contribution au western est la suivante :
Viva Zapata d’Elia Kazan (1952), Hernandez, un paysan
L’Homme de l’Arizona de Budd Boetticher (1957), Chink
Le Trésor du Pendu de John Sturges (1958), Rennie
Les Bravados d’Henry King (1958), Lujan
L’Etoile Brisée de Jesse Hibbs (1958), Sam Teeler
Violence au Kansas de Melvin Frank (1959), Lordan
Hotel de Paree, un épisode, Start Thorne dans “Sundance and the Delayed Gun” (1960)
Stagecoach West, un épisode, Mel Harney dans “The Raider” (1961)
Les Trois Sergents de John Sturges (1962), Mountain Hawk
Stoney Burke, un épisode, Matt Elder dans “The Weapons Man” (1963)
La Grande Caravane, trois épisodes, John Turnbull dans « The John Turnbull Story » (1962), Ram Singh dans “The Robert Harrison Clarke Story” (1963) et Doc Holliday dans “The Silver Lady” (1965)
Daniel Boone, un épisode, Zapotec dans “The Mound Builders » (1965)
Les Fusils du Far-West de David Lowell Rich (1966), Crazy Knife
Du Sang dans la Montagne de Carlo Lizzani (1966), Garcia Mendez
Laredo, un épisode, Général Shen Ti dans « The Bitter Yen of General Ti » (1967)
Cimarron, un épisode, Ace Coffin dans “Journey to a Hanging » (1967)
Chaparral, un épisode, Santos Castaneda dans « The Terrorist » (1967)
Man and Boy de E.W. Swackhamer (1971), Caine
Black Noon, TV film de Bernard L. Kowalski (1971), Moon
Zanna Bianca alla riscossa de Tonino Ricci (1974), M. Nelson
Cane Arrabiato de Fabrizio de Angelis (1984), le patron de la prison
Lust in the Dust de Paul Bartel (1985), Bernardo
Son père, un membre de la marine marchande, le quitta, ainsi que sa mère, avant son premier anniversaire, le laissant sans aucun des conforts de la vie. Sachant qu’il voulait quelque chose de mieux, il quitta le lycée Haaren après une année, à l’âge de 13 ans, gagnant sa vie comme laveur de vaisselle, serveur et éventuellement docker sur le front de mer de New York, et tout cela pour payer ses cours d’art dramatique.
Son acceptation (parmi les 5 candidats retenus sur 2500 participants) dans le prestigieux Actors Studio où il participa aux cours de Lee Strasberg, fut le tournant de sa vie. Henry Silva travailla dans des troupes estivales à Westport au New Hampshire Theatre In the Round. Il fut marié durant cette période à Mary Ramus mais ils divorcèrent en 1955. Son rôle-clé du revendeur de drogue “Mother” dans “A Hatful of Rain” à Broadway l’amena à Hollywood pour l’adaptation cinématographique.
Ses joues creuses et son regard menaçant amenèrent rapidement ce grand gaillard d’1m88 à des rôles de durs dans le western comme l’excellent film de Budd Boetticher, “L’Homme de l’Arizona” avec Randolph Scott, “Le Trésor du Pendu”, “Les Bravados”, “L’Etoile Brisée”, “Violence au Kansas”, “Les 3 Sergents” et les téléfilms et séries “Hotel de Paree”, “Stagecoach West”, “La Grande Caravane” et “Stoney Burke”. Le tournage de ses westerns était entrecoupé par des rôles de sadiques dans “Les Incorruptibles”, “Alfred Hitchcock présente” et autres.
Après des superbes performances dans “Un Crime dans la Tête” (1962) et “La Revanche du Sicilien” (1963), un producteur italien lui offrit le rôle qu’il ne pouvait pas refuser—d’être enfin pour une fois la vedette. Déménageant outremer avec sa famille, “Du Sang dans la Montagne”—“The Hills Run Red”, un western spaghetti de 1966 —en fit une matière première de premier choix pour le box-office. De parler couramment l’italien et l’espagnol lui facilita la tâche pour s’établir comme une star du cinéma européen.
Toutes les années qui suivirent il travailla des deux côtés de l’océan, continuant à faire le mal dans des TV westerns comme “Daniel Boone”, “Laredo”, “Cimarron Strip” et “Le grand Chaparral”.
Henry Silva se remaria le 4 septembre 1966 à Ruth Earl, mais ils se séparèrent en novembre 1987. De cette union sont nés deux fils, Michael et Scott. Jogger confirmé, il fit pendant de longues années quotidiennement ses 5 miles pour rester en forme.
Henry Silva est décédé le 14 septembre 2022, la veille de son 96ème anniversaire à la Motion Picture & Television Fund Home de Los Angeles.
Sa contribution au western est la suivante :
Viva Zapata d’Elia Kazan (1952), Hernandez, un paysan
L’Homme de l’Arizona de Budd Boetticher (1957), Chink
Le Trésor du Pendu de John Sturges (1958), Rennie
Les Bravados d’Henry King (1958), Lujan
L’Etoile Brisée de Jesse Hibbs (1958), Sam Teeler
Violence au Kansas de Melvin Frank (1959), Lordan
Hotel de Paree, un épisode, Start Thorne dans “Sundance and the Delayed Gun” (1960)
Stagecoach West, un épisode, Mel Harney dans “The Raider” (1961)
Les Trois Sergents de John Sturges (1962), Mountain Hawk
Stoney Burke, un épisode, Matt Elder dans “The Weapons Man” (1963)
La Grande Caravane, trois épisodes, John Turnbull dans « The John Turnbull Story » (1962), Ram Singh dans “The Robert Harrison Clarke Story” (1963) et Doc Holliday dans “The Silver Lady” (1965)
Daniel Boone, un épisode, Zapotec dans “The Mound Builders » (1965)
Les Fusils du Far-West de David Lowell Rich (1966), Crazy Knife
Du Sang dans la Montagne de Carlo Lizzani (1966), Garcia Mendez
Laredo, un épisode, Général Shen Ti dans « The Bitter Yen of General Ti » (1967)
Cimarron, un épisode, Ace Coffin dans “Journey to a Hanging » (1967)
Chaparral, un épisode, Santos Castaneda dans « The Terrorist » (1967)
Man and Boy de E.W. Swackhamer (1971), Caine
Black Noon, TV film de Bernard L. Kowalski (1971), Moon
Zanna Bianca alla riscossa de Tonino Ricci (1974), M. Nelson
Cane Arrabiato de Fabrizio de Angelis (1984), le patron de la prison
Lust in the Dust de Paul Bartel (1985), Bernardo
Modifié en dernier par DEMERVAL le 17 sept. 2022 8:48, modifié 4 fois.
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- Rancher
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- Contact :
Re: Henry Silva
Merçi Demerval pour cette bio, il le méritait bien, je ne connaissait pas son enfance malheureuse, quand a moi je l 'ai toujours beaucoup apprécié, il a une gueule à faire peur ,c 'est bien vrai, et pour en revenir aux langues, je pense qu' il parle aussi le français, ayant tourner plusieurs films en france, il ne me semble pas qu' il ai été doublé avec son accent américain et bien je réétere mes voeux d' anniversaire à ce grand homme pour ces 85 ans ce jour. René
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- Rancher
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- Enregistré le : 08 déc. 2009 5:45
- Localisation : Nice et St Laurent du Var, Alpes Maritimes
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Re: Henry Silva
Merçi Cyrus pour ces dernieres photos de notre grand Henry Silva et oui l 'age l 'a rattrapé, il a maintenant 85 ans et demi, ne pas oublié ces débuts,tout d 'abord à la télévision américaine le 17 octobre 1950, puis pour la plupart de ces tres anciens films depuis 1951, il est pratiquement l 'unique star survivante, je lui souhaite un bon rétablissement et une bonne continuation. R
Il féte ces 86 ans ce jour. R
Il féte ces 86 ans ce jour. R
- U.S. Marshal Cahill
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Re: Henry Silva
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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- major dundee
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- Localisation : depts 13 et 05
Re: Henry Silva
Vraiment une "sale" gueule...mais une gueule de cinéma ; à chaque fois que j'ai pu le voir dans un film, il s'en très sort bien.
Dans "Le trésor du pendu", il est l'élément le plus impulsif de la bande de truands, il surprend dans "Les Bravados", et dans "L'homme de l'Arizona", on remarque également sa prestation...
A noter aussi sa présence en face de J.P.Belmondo dans "Le marginal".
Dans "Le trésor du pendu", il est l'élément le plus impulsif de la bande de truands, il surprend dans "Les Bravados", et dans "L'homme de l'Arizona", on remarque également sa prestation...
A noter aussi sa présence en face de J.P.Belmondo dans "Le marginal".
- LordDécadent
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