Oui ; elle avait un jeu très moderne, je trouve.chip a écrit :Agréable marivaudage signé Ernst Lubitsch qui reprit la direction du film après un désaccord avec George Cukor. Si le couple Chevalier-Mac Donald fonctionne bien, la révélation du film est l'espiègle et sensuelle Genevieve Tobin, une sorte de Gloria Grahame avant l'heure qui vole toute les scènes où elle apparait.
Je viens justement de revoir chez le même éditeur (Bac Films), une autre comédie, encore plus célèbre : L'extravagant M. Ruggles ; dans lequel une autre actrice secondaire vole aussi les scènes où elle est présente, c'est Leila Hyams, magnifique blonde piquante dont le jeu est aussi assez moderne.
Pareil. revu pour la x ème fois.Sitting Bull a écrit :Hier soir, je me suis "re-offert" Le cave se rebiffe, avec l'immense Jean Gabin.
Parce que j'aime autant vous dire que pour moi Monsieur Éric avec ses costards tissés en Écosse à Roubaix, ses boutons de manchettes en simili et ses pompes à l'italienne fabriquées à Grenoble, et ben c'est rien qu'un demi-sel. Et là, je parle juste question présentation. Parce que si je voulais me lancer dans la psychanalyse, j'ajouterais que c'est le roi des cons.
Parmi les autres inépuisables français : Un singe en hivert (la faute d'orthographe, c'est juste pour le chef ... En revanche, toutes les autres, c'est pas fait exprès )
Les inépuisables, ce sont évidemment ces films dont il est impossible de se lasser ; et il y en a un paquet avec Gabin.