John Qualen (1899–1987)

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1 acteur ou réalisateur par topic
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james
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John Qualen (1899–1987)

Message par james »

Cet acteur d'origine norvegienne est né au canada et fera ses debuts a l'ecran sous la direction de king vidor dans scène de la rue 1931 avant que le maitre ne le remarque et le prenne sous son aile et lui donnera un role dans son film arrowsmith 1932.

Ce que beaucoup de gens savent pas c'est que john qualen sera un membre a part entière de la famille du maitre ford et pendant de longues années, ses compositions au cinéma furent dans tous les genres:aventure,polar,guerre et western.
Son role de composition le plus grand sera dans un film du maitre les raisins de la colère où il éclatera littéralement,mais ce ne sera que de
courte durée puisque john qualen sera par après réduit à des seconds rôles dans divers films.

Dans le western il sera a l'aise chez de bons realisateurs : Douglas, Ford, Hathaway, Nielson et ses prestations seront des plus remarquables car le western avait besoin de tels acteurs.

Pour mieux le connaitre voici sa filmographie western:

:arrow: Firecreek (les 5 hors-la-loi)1968
:arrow: Adventures of Bullwhip Griffin (l'honorable griffin)1967
:arrow: Big Hand for the Little Lady('gros coup a dodge city)1966
:arrow: Sons of Katie Elder(les 4 fils de katie elder)1965
:arrow: Cheyenne Autumn (les cheyennes)1964
:arrow: Man Who Shot Liberty Valance(l'homme qui tua liberty valence)1962
:arrow: Two Rode Together (les deux cavaliers)1961
:arrow: North to Alaska (le grand sam)1960
:arrow: Hell Bent for Leather (le diable dans la peau)1960
:arrow: Big Land(les loups dans la valleé)1957
:arrow: Johnny Concho ..1956
:arrow: Searchers (la prisionnère du desert)1956
:arrow: At Gunpoint (le doigt sur la gachette)1955
:arrow: passion(tornade)1954
:arrow: Ambush at Tomahawk Gap..1953
:arrow: Belle Le Grand..1951
:arrow: Stand Up and Fight (trafic d'hommes)1939
:arrow: Texans..1938
:arrow: Bad Man of Brimstone..1937

vala,james :wink:
je propose et recherche tous westerns américains.
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(copyrigth by james)
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Cole Armin
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Re: John qualen.

Message par Cole Armin »

Oui c'est un second rôle que j'avais remarqué dans La prisonnière du désert. Dans Les raisins de la colère, il est excellent, il est vrai.
Il tourna une comédie avec Howard Hawks, La dame du vendredi, notamment.

Merci pour le topic james. Comme ça j'en sais un peu plus sur lui.
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Walter Brennan dans La Rivière rouge

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james
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Re: John qualen.

Message par james »

Avec plaisir, cela est toujours agreable de parler de ceux qui ont participé de près ou de loin au western je ne cesserai jamais de me répéter :D
je propose et recherche tous westerns américains.
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LordDécadent
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Re: John Qualen

Message par LordDécadent »

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"The Shepherd of the Hills/Prisonnier de la Haine" en 1940.

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"Ambush at Tomahawk Gap/Les Forbans du Désert" en 1952.

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"Bonanza:Springtime" en 1961.
DEMERVAL
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Re: John QUALEN (1899–1987)

Message par DEMERVAL »

John QUALEN naquit Johan Mandt Kvalen le 8 décembre 1899 à Vancouver, Colombie Britannique, d’immigrants Norvégiens ; son père était un prêtre Luthérien et changea le nom de famille de "Kvalen" en "Qualen"[ – bien que quelques sources avancent le nom d’Oleson et plus tard Oleson Kvalen. Le ministère de son père nécessitait beaucoup de déménagements et John avait 20 ans quand il décrocha son baccalauréat au lycée d’Elgin (Illinois) en 1920. Pendant quatre années, John Qualen fréquenta l’Université de Toronto, qu’il quitta pour rejoindre une troupe itinérante basée à Toronto comme acteur.
Dans une interview au Milwaukee Journal, il dit qu’il avait besoin de commencer à travailler, ce qu’il fit au sein du Chautauqua Circuit. Il enfonça les piquets des tentes installées pour les représentations jusque lors d’une soirée à Ripon, Wisconsin, le principal conférencier fasse défaut. John Qualen remplaça l’absent après avoir montré au manager une médaille qu’il avait remporté pour l’art oratoire alors qu’il était lycéen. Peu de temps après cela, il forma sa propre troupe, The Qualen Concert Company. En conclusion d’une tournée suivant son mariage, John Qualen et son épouse, Pearle, créèrent la compagnie pour produire des pièces. Parmi les étapes de la tournée de la troupe figurèrent des villes comme Boston, Chicago et la Nouvelle-Orleans. Les revenus des Qualens était si bas qu’il vendit des ustensiles de cuisine à New York pour arrondir les fins de mois. Utilisant une charrette à main pour convoyer la marchandise, il gagna plus d’argent de ses ventes que de son métier d’acteur.
Atteignant finalement Broadway, il eut son heure de gloire dans le rôle du concierge Suédois dans la pièce d’Elmer Rice, Street Scene. Sa carrière cinématographique débuta quand il reprit le rôle de ce concierge dans la version cinématographique. Il poursuivit avec une apparition dans le film de John Ford, Arrowsmith (1931), qui marqua le début d’une coopération de plus de 35 ans avec le réalisateur au sein de sa "stock company", avec des rôles secondaires dans La prisonnière du désert (1956), Les deux cavaliers (1961), L’homme qui tua Liberty Valance (1962) et Les Cheyennes (1964).
Etant apparu dans bien plus qu’une centaine de films et à la télévision jusque dans les années 1970, John Qualen interpréta nombre de ses rôles avec divers accents, habituellement Scandinaves, souvent dans l’intention d’introduire un effet comique. Trois de ses rôles les plus mémorables montrèrent sa versatilité. John Qualen adopta un dialecte du Middle West pour le rôle de Muley, qui racontait la destruction de sa ferme par la banque dans Les raisins de la colère (1940), dans une performance si puissante qu’elle fit apparemment fondre John Ford en larmes ; dans le rôle du tueur perturbé, Earl Williams, dans la comédie classique d’Howard Hawks, La dame du vendredi (1940). Dans le rôle de Berger, le vendeur de bijoux membre de la Résistance Norvégienne dans le film de Michael Curtiz, Casablanca (1942), il utilisait un léger accent Scandinave mais usait d’un accent Méditerranéen plus prononcé dans le rôle de Locota, le pêcheur sur le chemin du retour dans le film de William Wellman, Ecrit dans le ciel (1954).
John Qualen était aussi un flûtiste qui avait commencé à jouer à l’âge de 8 ans. Il paracheva son éducation musicale à l’Université de Toronto et se produisit ensuite dans quelques orchestres professionnels dont le Hollywood Bowl Orchestra.
John Qualen fut le trésorier de l’Authors Club et l’historien des Masquers, le groupe social pour les acteurs d’Hollywood.
En 1924, John Qualen épousa Pearle Larson, qu’il avait connue au lycée. Elle le rejoignit dans la troupe itinérante basée à Toronto quand il quitta l’université, devenant par la même occasion de la maîtresse en costume de la troupe.
John Qualen décéda le 12 septembre 1987 d’une insuffisance cardiaque à Torrance, Californie, à 87 ans.

Sa contribution au western fut la suivante :

Arizona Bill de J. Walter Ruben (1937), Loco
La ruée sauvage de James P. Hogan (1938), Swede
The Shepherd of the Hills d’Henry Hathaway (1941), Coot Royal
La belle du Montana d’Allan Dwan (1951), Corky McGee
Les forbans du désert de Fred F. Sears (1953), Jonas P. Travis
Tornade d’Allan Dwan (1954), Gaspar Melo
Le doigt sur la gâchette d’Alfred L. Werker (1955), Livingstone
La prisonnière du désert de John Ford (1956), Lars Jorgensen
Johnny Concho de Don McGuire » (1956), Jake
Les loups dans la vallée de Gordon Douglas (1957), Sven Johnson
Cheyenne, un épisode, Charley Dolan dans « Deadline » (1957)
Yancy Derringer, le capitaine Sven Larsen dans deux épisodes :
- Gallatin Street (1958)
- Old Dixie (1958)
The Californians, deux épisodes :
- J. Jimmerson Jones dans « J. JImmerson Jones, Inc » (1958)
- Vinegar Pete Jones dans « Stampede at Misery Flats » (1959)
Bronco, un épisode, M. Colby dans « The Burning Springs » (1959)
The Alaskans, un épisode, Jack Despain dans « Starvation Stampede » (1959)
Le diable dans la peau de George Sherman (1960), Old Ben
Overland Trail, un épisode, le juge dans « Lawyer in Petticoats » (1960)
Sugarfoot, un épisode, Jens Jensen dans « Funeral at Forty Mile » (1960)
Tate, un épisode, Sam dans « Before Sunup » (1960)
Le grand Sam d’Henry Hathaway (1960), le juge
Klondike, un épisode, Larsen dans « Queen of the Klondike » (1961)
Outlaws, un épisode, M. Fremont dans « Assassin » (1961)
Les deux cavaliers de John Ford (1961), Ole Knudsen
Bonanza, un épisode, Parley dans « Springtime » (1961)
Maverick, deux épisodes :
- Leland Mills dans « The Lonesome Reunion » (1958)
- Henry Albright dans « The Golden Fleecing » (1961)
L’homme qui tua Liberty Valance de John Ford (1962), Peter Ericson
Lawman, trois épisodes :
- Doc Shannon dans « Old Stefano » (1960)
- Doc Shea dans « Blind Hate » (1961)
- Doc Shay dans « Explosion » (1962)
Laramie, un épisode, Mr. Elbee dans « Shadow of the Past » (1962)
Les aventuriers du Far-West, un épisode, Joe Gray dans « Pioneer Doctor » (1963)
La route des rodéos, un épisode, Docteur Henry Demeter dans « Whose Hand at My Throat ? » (1963)
Le Virginien, un épisode, Gosta Swenson dans « A Bride for Lars » (1964)
Les Cheyennes de John Ford (1964), Svenson
Les quatre fils de Katie Elder d’Henry Hathaway (1965), Charlie Biller
Gros coup à Dodge City de Fielder Cook (1966), Jesse Buford
Shane, un épisode, le vieil homme dans « The Hant » (1966)
L’honorable Griffin de James Neilson (1967), le barbier
Les cinq hors-la-loi de Vincent McEveety (1968), Hall
limpyChris
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par limpyChris »

Ain't none of our stock company members ever been talked about without a few stills from Pappy's ...

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L'incontournable "Ethan, this country ..."
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Pas un western, mais un Ford quand même (avec Joe Sawyer) :
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et pas réussi à capturer une de Monsieur Knudsen, dans "Two Rode ... / Les deux cavaliers", mais je ne me fais pas trop de soucis là-dessus ...
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.

- You've seen too many westerns, old man.
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par Sitting Bull »

Can you write in french, please ? (*)
I'm forced to translate with Google ! :lol:

(*) comme précisé dans le règlement. :wink:
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par Sitting Bull »

limpyChris a écrit : .......
et pas réussi à capturer une de Monsieur Knudsen, dans "Two Rode ... / Les deux cavaliers", mais je ne me fais pas trop de soucis là-dessus ...
Ne serait-ce point ?
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par yves 120 »

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Dans " The Big Land " ( Les Loups dans la Vallée )
" Qu' est - ce qu 'un revolver ? Ni pire ni mieux qu 'un autre outil , une hache , une pelle ou une pioche .
Qu 'il en sorte du bien ou du mal dépend de qui s'en sert . " SHANE
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par JoDel »

Sitting Bull a écrit :
limpyChris a écrit : .......
et pas réussi à capturer une de Monsieur Knudsen, dans "Two Rode ... / Les deux cavaliers", mais je ne me fais pas trop de soucis là-dessus ...
Ne serait-ce point ?
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Si je ne dis pas de bêtises lui c est Cliff Lyons.
M.... j étais persuadé d avoir mis mes captures et un mot sur John Qualen. Alzeimer me guette !
Tiens ben tant que je suis là, il y a un interview telephonique de lui dans le livre Characters dont j ai déjà parlé sur un fil (C. McGraw je crois).
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté

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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par Sitting Bull »

JoDel a écrit :
Si je ne dis pas de bêtises lui c est Cliff Lyons.
Exact ! :oops:
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limpyChris
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par limpyChris »

Hihi, Yves ! :wink:

Au Grand Chef : Vos désirs sont des ordres (en Français dans le texte) :wink: itou (je traduis pour d'éventuels jeunes passant par là : itou = aussi, également)
La phrase incriminée est une référence directe à une phrase des "Raisins de la colère" ('ain't none of our folks ever been buried without a few words" -Tom Joad/Henry Fonda, à l'enterrement à la sauvette de son grand-père en bord de route- ... mais dont je n'ai pas retenu l'équivalent français ... Quelque chose comme : 'Personne de chez nous a jamais été enterré sans (qu'on dise) quelques mots." ... or, comme John Qualen y jouait le rôle de 'Muley' ... Alors disons : "Y a personne de la 'Compagnie de base, de fonds, des acteurs de J. F.' dont on a causé qui aurait pas droit à des photos extraites de films de Ford".
Comme on dit en Angais : "Voilàà !" :wink:

John Qualen, qui jouait tantôt avec et de son accent scandinave, et tantôt sans, jouait modestement, comme les autres membres du 'groupe' Ford sa petite musique qui concourait à tisser la tapisserie américano-humaine du vieux hard-nosed s.o.b. ... euh, du vieux dur à cuire. (Oui, bon, je sais, si on y réfléchit un peu, une musique qui tisse une tapisserie ... pas filée, la métaphore ... mais quand Pénélope tissait, elle aimait bien que Télémaque lui joue "les enfants du Pirée" -y a même pas un 'y' dans Pirée ... :roll: sur son aulos. Je me rattrape aux filets, du port, et du coup, là y a un début de métaphore filée ... je ... :arrow: Bon, OK)

Ah, BTW/à propos ... ce n'est pas John Q. sur la capture de "Two Rode ..." (aucun des deux ... mais ce sont aussi des membres de la 'John Ford Stock Company') - Jeanette Nolan et Cliff Lyons.

Ah, JoDel l'a déjà signalé ... Ah ben, du coup, le Grand Chef a reposté aussi ...
MERCI quand même, Grand Chef, pour ta sagacité, ta vigilance et ton habituelle serviabilité.
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par JoDel »

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"The searchers/La prisonnière du désert" en 1956

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"The man who shot Liberty Valance/L'homme qui tua Liberty Valance" en 1962

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"The sons of Katie Elder/Les quatre fils de Katie Elder" en 1965

Voilà le tort est réparé !!! Et j ai les raisins de la colère dans mon cycle Ford du mois de mars!
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté

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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par limpyChris »

Next time, someone add Mr Knudsen, by golly !! La prochaine fois, que quelqu'un ajoute M. Knudsen, bon sang ! (Réf. à "La prisonnière du désert", ligne de Lars Jorgensen : "Next time, I raise pigs, by golly !" -la prochaine fois, j'élèverai des porcs, bon sang !- )
(Plus pour 'by golly' que pour 'râler', bien que ce soit mon rôle itou. (ça, c'est pour imprégner))
:wink: :beer1:
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Re: John Qualen (1899–1987)

Message par JoDel »

Chef oui Chef! Ce sera fait au cycle Ford suivant! Je veux capturer Ken Curtis, et donc je ferais He too ! (Ah vous voyez j avais compris !!!).
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté

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