The Loner - 1965-1966
The Loner - 1965-1966
the loner, serie de 1965 -1966
avec lyold bridges
filmée au iverson ranch, chatsworth , los angeles californie
voici les liens: http://www.westernclippings.com/remembe ... mber.shtml
http://www.youtube.com/watch?v=9L1DeOKAaEg
avec lyold bridges
filmée au iverson ranch, chatsworth , los angeles californie
voici les liens: http://www.westernclippings.com/remembe ... mber.shtml
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Re: the loner
26 épisodes NB de 30 mn avec LLOYD BRIDGES
Jack Lord a joué dans l'épisode 2: The Vespers, Leslie Nielsen dans le 4e: The Kingdom of McComb, Jeff Bridges dans le 15e: The Ordeal of Bud Windom, Dan Duryea dans le 18: A Little Stroll to the End of the Line.
Jack Lord a joué dans l'épisode 2: The Vespers, Leslie Nielsen dans le 4e: The Kingdom of McComb, Jeff Bridges dans le 15e: The Ordeal of Bud Windom, Dan Duryea dans le 18: A Little Stroll to the End of the Line.
CAHILL, UNITED STATES MARSHAL
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Re: The Loner - 1965-1966
Une série créée par Rod Serling (créateur de la 4ème dimension)
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Re: The Loner - 1965-1966
“Suite à la sanglante Guerre Civile, des milliers d’hommes sans racine, anxieux prirent le chemin de l’Ouest. William Coulton était l’un de ceux-là. Comme les autres, il portait une couverture roulée, un révolver et la foi en un nouveau chapitre de l’histoire américaine, l’ouverture vers l’ouest.” Ce prologue vocal, visible au début de chaque épisode de “The Loner”, Lloyd Bridges (en Coulton) sur un magnifique étalon noir et le thème musical émouvant de Jerry Goldsmith interprété par Lionel Newman, établirent la sombre tonalité de cette série de 30 minutes remarquablement écrites.
Créée par Serling, peu de temps après la suppression en 1964 de sa série récompensée, “La quatrième dimension”, William Coulton en tant que “The Loner” retraçait les aventures d’un ex capitaine de la Cavalerie de l’Union, fatigué par la guerre et introspectif qui voyageait dans l’Ouest “pour oublier la fumée des gueules de canon.” Avec un focus sur la personnification et la philosophie, la série était un western d’un anticonformiste encore jamais vu.
En revisitant des thèmes récurrents de ses anciens écrits (les horreurs de la guerre, la religion, les règles morales, la bigoterie, la pression du commandement et la responsabilité), Serling présenta le concept au producteur William Dozier, qui choisit Lloyd Bridges pour en être la vedette. CBS achetait toutes sortes de séries fourre-tout mais typiques, sans pilote, rien que le renommée de Serling/Dozier/Bridges.
“Rod Serling fut la principale raison (j’avais décidé de m’atteler à une nouvelle série),” dit à la presse, Lloyd Bridges, l’ex star de ‘Sea Hunt’. “Avec lui fournissant 75% des scripts et Bill Dozier la production, je savais que j’étais dans une série de qualité.”
Alors que Coulton vagabondait dans l’Ouest, afin de donner un sens à sa vie, il rencontrait des personnages (bien développés), qu’ils soient honnêtes ou malhonnêtes, qui l’aidaient à se comprendre. Serling fit en sorte que dans chaque épisode de la série, Coulton soit confronté à des problèmes ethniques aussi pertinents en 1965 qu’un siècle auparavant.
“The Loner” débuta le 18 septembre 1965 (à 21h30) dans le très convoité créneau horaire précédant “Gunsmoke”, mais tout n’allait pas pour le mieux en coulisses. Michael Dann, le vice-président de la programmation de CBS, n’apprécia pas ce qu’il vit. Ce n’est pas dur de comprendre la consternation de Michael Dann, qui, habitué aux méthodes des westerns traditionnels, était là en présence d’une série avec un personnage en carton qu’il fallait découvrir. Le sujet de discorde de Dann était le manque d’action de la série. Serling argumenta que la tension émotionnelle était comme une violence physique. “Je la qualifierai de série d’action pour adultes,” Lloyd Bridges motiva, “parce que les personnages sont tellement bien dessinés. Serling peut créer des personnages crédibles. Et je ne pense pas que le personnage que j’incarne est une fois de plus un gars qui cherche son identité. C’est bien plus profond que cela.” Les critiques acclamèrent “The Loner” pour “son discret format introspectif,” et alors que les taux d’audience demeurèrent constants, la série eut de la peine à trouver son public qui apparemment était d’accord avec Dann et voulait de l’action avec des bons et des méchants gars. La série de qualité ne dura que 26 épisodes jusqu’au 3 mars 1966.
Dans une interview de 1989 Lloyd Bridges dit à l’écrivain Bob Pontes, “J’avais un magnifique cheval Saddlebred. Il avait tous les talents, peut-être plus talentueux que le gars qui le chevauchait. Il me suivait partout, s’agenouillait sur ses pattes antérieures et me laissait monter sur son dos. Il avait une démarche fantastique…quatre ou cinq démarches différentes. ‘The Loner’ fut une série très inhabituelle mais elle ne dura qu’une année parce que les westerns étaient à la fin de leur période de grâce et je nae comprends pas pourquoi. J’étais fier de tous les westerns que j’avais fait et des histoires que j’ai fait avec Rod Serling.”
Produite pour la 20th Century Fox mais tournée à la MGM, parmi les réalisateurs de “The Loner” figurèrent Allan Miner (“Black Patch”, “La grande caravane”, “Bat Masterson”), Joe Pevney (“Plunderers”, “Night of the Grizzly”, “High Chaparral”), Alex March (“Hec Ramsey”, “Shane”, “Dangerous Days of Kiowa Jones”), Allen Reisner (“Le proscrit”, “Rawhide”, “Gunsmoke”), Norman Foster (“Zorro”, “Davy Crockett”, “Elfego Baca”, “Rachel and the Stranger”), Leon Benson (“Bonanza”, “Wild Wild West” and Bridges’ former “Sea Hunt” series), Tay Garnett (“Gunsmoke”, “Bonanza”, “Rawhide”, “Deputy”, “Laramie”), et même l’acteur devenu réalisateur Paul Henreid.
En tant que scénariste, Tony Albarella écrivit dans FILMFAX en décembre 2000, “Si ‘The Loner’ laisse derrière elle un quelconque souvenir, ce sera la mémoire d’une série qui mettait en scène un héros complètement improbable. Dans le genre fusil avec de la formule et de la prévisibilité, elle transforma momentanément une caricature de cowboy en un être humain, bien-pensant et capable de sentiments. Pour cette seule raison, la série mérite une certaine dose de reconnaissance et de respect.”
Créée par Serling, peu de temps après la suppression en 1964 de sa série récompensée, “La quatrième dimension”, William Coulton en tant que “The Loner” retraçait les aventures d’un ex capitaine de la Cavalerie de l’Union, fatigué par la guerre et introspectif qui voyageait dans l’Ouest “pour oublier la fumée des gueules de canon.” Avec un focus sur la personnification et la philosophie, la série était un western d’un anticonformiste encore jamais vu.
En revisitant des thèmes récurrents de ses anciens écrits (les horreurs de la guerre, la religion, les règles morales, la bigoterie, la pression du commandement et la responsabilité), Serling présenta le concept au producteur William Dozier, qui choisit Lloyd Bridges pour en être la vedette. CBS achetait toutes sortes de séries fourre-tout mais typiques, sans pilote, rien que le renommée de Serling/Dozier/Bridges.
“Rod Serling fut la principale raison (j’avais décidé de m’atteler à une nouvelle série),” dit à la presse, Lloyd Bridges, l’ex star de ‘Sea Hunt’. “Avec lui fournissant 75% des scripts et Bill Dozier la production, je savais que j’étais dans une série de qualité.”
Alors que Coulton vagabondait dans l’Ouest, afin de donner un sens à sa vie, il rencontrait des personnages (bien développés), qu’ils soient honnêtes ou malhonnêtes, qui l’aidaient à se comprendre. Serling fit en sorte que dans chaque épisode de la série, Coulton soit confronté à des problèmes ethniques aussi pertinents en 1965 qu’un siècle auparavant.
“The Loner” débuta le 18 septembre 1965 (à 21h30) dans le très convoité créneau horaire précédant “Gunsmoke”, mais tout n’allait pas pour le mieux en coulisses. Michael Dann, le vice-président de la programmation de CBS, n’apprécia pas ce qu’il vit. Ce n’est pas dur de comprendre la consternation de Michael Dann, qui, habitué aux méthodes des westerns traditionnels, était là en présence d’une série avec un personnage en carton qu’il fallait découvrir. Le sujet de discorde de Dann était le manque d’action de la série. Serling argumenta que la tension émotionnelle était comme une violence physique. “Je la qualifierai de série d’action pour adultes,” Lloyd Bridges motiva, “parce que les personnages sont tellement bien dessinés. Serling peut créer des personnages crédibles. Et je ne pense pas que le personnage que j’incarne est une fois de plus un gars qui cherche son identité. C’est bien plus profond que cela.” Les critiques acclamèrent “The Loner” pour “son discret format introspectif,” et alors que les taux d’audience demeurèrent constants, la série eut de la peine à trouver son public qui apparemment était d’accord avec Dann et voulait de l’action avec des bons et des méchants gars. La série de qualité ne dura que 26 épisodes jusqu’au 3 mars 1966.
Dans une interview de 1989 Lloyd Bridges dit à l’écrivain Bob Pontes, “J’avais un magnifique cheval Saddlebred. Il avait tous les talents, peut-être plus talentueux que le gars qui le chevauchait. Il me suivait partout, s’agenouillait sur ses pattes antérieures et me laissait monter sur son dos. Il avait une démarche fantastique…quatre ou cinq démarches différentes. ‘The Loner’ fut une série très inhabituelle mais elle ne dura qu’une année parce que les westerns étaient à la fin de leur période de grâce et je nae comprends pas pourquoi. J’étais fier de tous les westerns que j’avais fait et des histoires que j’ai fait avec Rod Serling.”
Produite pour la 20th Century Fox mais tournée à la MGM, parmi les réalisateurs de “The Loner” figurèrent Allan Miner (“Black Patch”, “La grande caravane”, “Bat Masterson”), Joe Pevney (“Plunderers”, “Night of the Grizzly”, “High Chaparral”), Alex March (“Hec Ramsey”, “Shane”, “Dangerous Days of Kiowa Jones”), Allen Reisner (“Le proscrit”, “Rawhide”, “Gunsmoke”), Norman Foster (“Zorro”, “Davy Crockett”, “Elfego Baca”, “Rachel and the Stranger”), Leon Benson (“Bonanza”, “Wild Wild West” and Bridges’ former “Sea Hunt” series), Tay Garnett (“Gunsmoke”, “Bonanza”, “Rawhide”, “Deputy”, “Laramie”), et même l’acteur devenu réalisateur Paul Henreid.
En tant que scénariste, Tony Albarella écrivit dans FILMFAX en décembre 2000, “Si ‘The Loner’ laisse derrière elle un quelconque souvenir, ce sera la mémoire d’une série qui mettait en scène un héros complètement improbable. Dans le genre fusil avec de la formule et de la prévisibilité, elle transforma momentanément une caricature de cowboy en un être humain, bien-pensant et capable de sentiments. Pour cette seule raison, la série mérite une certaine dose de reconnaissance et de respect.”
Westward, the Shoemaker- 1965 - Joseph Pevney
Dans cet épisode, le onzième de la saison, William Colton vient en aide à un réfugié Lutuanien, dont la famille a été massacrée par les Cosaques, et venu à pied dans l'Ouest pour y monter une cordonnerie. Il le prend en selle jusqu'à une ville proche de Fort Kearney où notre héros doit faire étape et laisse son passager se débrouiller. Après un refus de jouer au poker au saloon du coin avec un client douteux, William Colton se rend à son hôtel...
Dans cette histoire relaivement simple, Llyod Bridges compose un personnage chaleureux et bienveillant, peu fréquent dans le genre. Pas de coups de feu, et une conclusion très optimiste et favorable à l'immigration, une autre époque...
Errare humanum est...
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Re: The Loner - 1965-1966
Musique composée par Jerry Goldsmith
"Créer une œuvre, même imparfaite, demandera toujours plus de talent et d'effort que de la critiquer."