THE ADVENTURES OF JIM BOWIE Une série
THE ADVENTURES OF JIM BOWIE Une série
THE ADVENTURES OF JIM BOWIE
Série des aventures de Jim Bowie qui a durée de 1956 à 1958 .
Elle se compose de 76 épisodes de 30 minutes.
Le titre à lui seul nous résume la série, nous sommes en Louisiane dans les années 1830 et le jeune Bowie court les aventures avec son célèbre Bowie knife afin de défendre la veuve et l’orphelin parmi les gens huppés de la Nouvelle Orléans !!!!!!....
Ne la chercher pas elle n’a pas été distribuée en France !!. encore une !!!....
Série des aventures de Jim Bowie qui a durée de 1956 à 1958 .
Elle se compose de 76 épisodes de 30 minutes.
Le titre à lui seul nous résume la série, nous sommes en Louisiane dans les années 1830 et le jeune Bowie court les aventures avec son célèbre Bowie knife afin de défendre la veuve et l’orphelin parmi les gens huppés de la Nouvelle Orléans !!!!!!....
Ne la chercher pas elle n’a pas été distribuée en France !!. encore une !!!....
PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
http://western-mood.blogspot.fr/
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Re: THE ADVENTURES OF JIM BOWIE Une série
que de souvenirs..........
Re: THE ADVENTURES OF JIM BOWIE Une série
Alors qu’un puissant Bowie knife siffle dans les airs, faisant un bruit sourd dans une porte d’entrée, Ken Darby et les King’s Men entonnent a capella—
“Jim Bowie, Jim Bowie
He was a bold adventurin’ man.
Jim Bowie, Jim Bowie
Battled for right with a powerful hand.
His blade was tempered and so was he
Indestructible steel was he.
Jim Bowie, Jim Bowie
He was a fighter, a fearless and mighty adventurin’ man.”
Replaçant son six-coups aux côtés de son Bowie knife, Scott Forbes dans la peau du natif de Louisiane, Jim Bowie, se tailla une belle place à la télévision pendant 76 épisodes (deux saisons) diffusés du 7 septembre 1956 au 28 mai 1958. Les épisodes de 30 minutes en noir et blanc de la série “Adventures of Jim Bowie”, basés vaguement sur les vrais exploits du frontalier James Bowie qui ont eu lieu dans les années 1830, furent diffusés les vendredis soirs sur ABC juste après “Rin Tin Tin”.
Le premier épisode, “Birth of the Blade”, relate les circonstances qui amenèrent Bowie à inventer son fameux coutelas (bien qu’il existe de nombreuses théories sur le pourquoi de la création dudit couteau et son concepteur).
La série, adapté du livre Tempered Blade de Monte Barrett, a pour toile de fond, la Nouvelle-Orléans franco-américaine ainsi que les régions inexplorées qui furent suivies par Bowie, un riche jeune planteur et aventurier, le long d’une piste qui fut réellement traversée par nombre de vraies personnalités comme son bon ami et naturaliste John James Audubon (Robert Cornthwaite), le célèbre pirate Jean Lafitte, le président Andrew Jackson, Deaf Smith, Johnny Appleseed, Jefferson Davis, Sam Houston et l’homme avec qui Bowie devait partager son destin à Alamo, Davy Crockett. Le frère de Jim, Rezin Bowie (Peter Hansen, 1921– ), sa mère (Minerva Urecal, 1894-1966) et le journaliste Justinian (Justy) Tebbs (William Schallert, 1922– ) furent des personnages récurrents de la série.
Dans le rôle d’Audubon dans trois épisodes, Robert Cornthwaite se rappelle, “J’ai été casté dans la série avant de connaître quoi que ce soit au sujet d’Audubon. J’ai cherché précipitamment à faire des recherches sur lui. Le réalisateur (Lewis Foster) était un brave gars, je me suis bien entendu avec lui, mais il y eut comme un problème dont je ne me rappelle pas et il fut remplacé et je pense que la série en pâtit. Pour moi, ce fut une belle expérience et j’ai été désolé de son remplacement. C’était facile de travailler avec Scott Forbes, un bon acteur. Il était sud-africain si je me rappelle. Vraiment génial. Bonnes manières. C’était un être rare; il était, j’ai senti, un homme cultivé. Il avait été éduqué comme acteur classique. Un homme vraiment élégant. Ils ne surent pas quoi faire avec lui (après cette série), il ne correspondait pas à la catégorie de personnages qu’ils désiraient employer. Audubon était un homme intéressant. J’ai lu quelques mots sur sa vie depuis lors. Il y a beaucoup de controverses au sujet de sa conversion à l’ornithologie. Il était certainement un personnage haut en couleurs. Foster fut le responsable de l’apport dans une série western de certains aspects unusuels. ”
Scott Forbes, 1m88 sous la toise, dont l’expression favorite dans la série était “Dog my cats!” (intraductible en français), naquit à Le Cap, République Sud Africaine, où il passa ses premières années avant de déménager avec sa mère et son docteur de père (qui était aussi un portraitiste reconnu) tout d’abord à Easton, Pennsylvanie, puis à New York et finalement à Londres. Quand la seconde guerre mondiale éclata, Scott s’engagea dans la RAF où il décida de devenir acteur après s’être produit dans les camps militaires. Après la guerre et quelques pièces en Angleterre, il se rendit aux Etats-Unis où, en 1954, il rencontra et épousa Jeanne Moody, une ex miss Alabama, alors actrice.
“C’est Ruth Burch, le directeur de casting, qui m’octroya le rôle de Bowie”, dit Forbes au magazine TV Guide en 1957. “Ce fut elle qui pensa que je pouvais incarner un westerner au contraire des rôles sophistiqués que j’avais joués auparavant. Elle me casta dans le rôle du tireur Clay Allison dans ‘Frontier’—et c’est ce rôle qui convainquit le producteur (Louis F. Edelman) de ‘Bowie’ de me donner le boulot. Bowie est un personnage fascinant. Il est très différent des héros habituels du western—un individu bien mis, collet monté qui ne fait jamais rien de travers et défait toujours les méchants. Bowie fit lui-même quelques vilaines choses et il fut fréquemment déjoué. J’ai trouvé une merveilleuse variéte de situations —aussi bien dans le personnage de Bowie ou les événements qui lui arrivent.”
Forbes continua à jouer durant les années 1960 et investit dans une boîte de nuit new-yorkaise à la mode. De retour en Angleterre, il apparut dans de nombreuses productions de la BBC et fit des tournées avec la National Theatre Company. De plus en plus reclus durant ses dernières années, il commeça à écrire et décéda le 25 février 1997 à Swindon, Wiltshire, Angleterre.
“Jim Bowie, Jim Bowie
He was a bold adventurin’ man.
Jim Bowie, Jim Bowie
Battled for right with a powerful hand.
His blade was tempered and so was he
Indestructible steel was he.
Jim Bowie, Jim Bowie
He was a fighter, a fearless and mighty adventurin’ man.”
Replaçant son six-coups aux côtés de son Bowie knife, Scott Forbes dans la peau du natif de Louisiane, Jim Bowie, se tailla une belle place à la télévision pendant 76 épisodes (deux saisons) diffusés du 7 septembre 1956 au 28 mai 1958. Les épisodes de 30 minutes en noir et blanc de la série “Adventures of Jim Bowie”, basés vaguement sur les vrais exploits du frontalier James Bowie qui ont eu lieu dans les années 1830, furent diffusés les vendredis soirs sur ABC juste après “Rin Tin Tin”.
Le premier épisode, “Birth of the Blade”, relate les circonstances qui amenèrent Bowie à inventer son fameux coutelas (bien qu’il existe de nombreuses théories sur le pourquoi de la création dudit couteau et son concepteur).
La série, adapté du livre Tempered Blade de Monte Barrett, a pour toile de fond, la Nouvelle-Orléans franco-américaine ainsi que les régions inexplorées qui furent suivies par Bowie, un riche jeune planteur et aventurier, le long d’une piste qui fut réellement traversée par nombre de vraies personnalités comme son bon ami et naturaliste John James Audubon (Robert Cornthwaite), le célèbre pirate Jean Lafitte, le président Andrew Jackson, Deaf Smith, Johnny Appleseed, Jefferson Davis, Sam Houston et l’homme avec qui Bowie devait partager son destin à Alamo, Davy Crockett. Le frère de Jim, Rezin Bowie (Peter Hansen, 1921– ), sa mère (Minerva Urecal, 1894-1966) et le journaliste Justinian (Justy) Tebbs (William Schallert, 1922– ) furent des personnages récurrents de la série.
Dans le rôle d’Audubon dans trois épisodes, Robert Cornthwaite se rappelle, “J’ai été casté dans la série avant de connaître quoi que ce soit au sujet d’Audubon. J’ai cherché précipitamment à faire des recherches sur lui. Le réalisateur (Lewis Foster) était un brave gars, je me suis bien entendu avec lui, mais il y eut comme un problème dont je ne me rappelle pas et il fut remplacé et je pense que la série en pâtit. Pour moi, ce fut une belle expérience et j’ai été désolé de son remplacement. C’était facile de travailler avec Scott Forbes, un bon acteur. Il était sud-africain si je me rappelle. Vraiment génial. Bonnes manières. C’était un être rare; il était, j’ai senti, un homme cultivé. Il avait été éduqué comme acteur classique. Un homme vraiment élégant. Ils ne surent pas quoi faire avec lui (après cette série), il ne correspondait pas à la catégorie de personnages qu’ils désiraient employer. Audubon était un homme intéressant. J’ai lu quelques mots sur sa vie depuis lors. Il y a beaucoup de controverses au sujet de sa conversion à l’ornithologie. Il était certainement un personnage haut en couleurs. Foster fut le responsable de l’apport dans une série western de certains aspects unusuels. ”
Scott Forbes, 1m88 sous la toise, dont l’expression favorite dans la série était “Dog my cats!” (intraductible en français), naquit à Le Cap, République Sud Africaine, où il passa ses premières années avant de déménager avec sa mère et son docteur de père (qui était aussi un portraitiste reconnu) tout d’abord à Easton, Pennsylvanie, puis à New York et finalement à Londres. Quand la seconde guerre mondiale éclata, Scott s’engagea dans la RAF où il décida de devenir acteur après s’être produit dans les camps militaires. Après la guerre et quelques pièces en Angleterre, il se rendit aux Etats-Unis où, en 1954, il rencontra et épousa Jeanne Moody, une ex miss Alabama, alors actrice.
“C’est Ruth Burch, le directeur de casting, qui m’octroya le rôle de Bowie”, dit Forbes au magazine TV Guide en 1957. “Ce fut elle qui pensa que je pouvais incarner un westerner au contraire des rôles sophistiqués que j’avais joués auparavant. Elle me casta dans le rôle du tireur Clay Allison dans ‘Frontier’—et c’est ce rôle qui convainquit le producteur (Louis F. Edelman) de ‘Bowie’ de me donner le boulot. Bowie est un personnage fascinant. Il est très différent des héros habituels du western—un individu bien mis, collet monté qui ne fait jamais rien de travers et défait toujours les méchants. Bowie fit lui-même quelques vilaines choses et il fut fréquemment déjoué. J’ai trouvé une merveilleuse variéte de situations —aussi bien dans le personnage de Bowie ou les événements qui lui arrivent.”
Forbes continua à jouer durant les années 1960 et investit dans une boîte de nuit new-yorkaise à la mode. De retour en Angleterre, il apparut dans de nombreuses productions de la BBC et fit des tournées avec la National Theatre Company. De plus en plus reclus durant ses dernières années, il commeça à écrire et décéda le 25 février 1997 à Swindon, Wiltshire, Angleterre.
The Birth of the Blade - 1956 - Lewis R. Foster
De retour dans sa plantation d'Opelousa en Louisiane, après avoir vendu des terres à Memphis, Jim Bowie est attaqué en route par un grizzli et échappe de peu à la mort à cause de son fusil défaillant. Blessé, il s'arrête à la boutique d'un forgeron, ami de ses parents, et spécialiste en acier. Il trouve l'atelier fermé et, renseigné par un docteur itinérant qui le soigne, il finit par trouver l'ancien forgeron retiré des affaires, en raison de sa vue devenue incertaine avec l'âge...
Un bon générique chanté au début de ce premier épisode, qui délivre une théorie qui se défend sur le fameux coutelas, apparemment inspiré d'un couteau de boucherie et d'armes utilisées par les Conquistadors espagnols, puis les mexicains.
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Re: The Birth of the Blade - 1956 - Lewis R. Foster
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Re: THE ADVENTURES OF JIM BOWIE Une série
Bonjour @lafayette
Merci d’avoir partagé ces magnifiques photos, et en particulier celle du couteau de Bowie. Selon moi, ce dernier a grandement contribué à améliorer l'image du personnage dont sa présence apporte une touche d’authenticité et de caractère qui distingue vraiment cette série des autres. C’est toujours un plaisir de voir des objets emblématiques comme celui-ci mis en avant.
Merci d’avoir partagé ces magnifiques photos, et en particulier celle du couteau de Bowie. Selon moi, ce dernier a grandement contribué à améliorer l'image du personnage dont sa présence apporte une touche d’authenticité et de caractère qui distingue vraiment cette série des autres. C’est toujours un plaisir de voir des objets emblématiques comme celui-ci mis en avant.