3000 $ mort ou vif / Le Destin du fugitif - Four faces West - 1948 - Alfred E. Green
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- Yosemite
- Texas ranger
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Re: Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
Entre le train de la photo de Lasbugas un peu plus haut sur le fil... Celui-ci, capture prise à quelques minutes si ce n'est à quelques secondes d'intervalle :
Et enfin cet autre :
L'effet de noir et blanc est tout à fait remarquable certes, mais nous en sommes déjà à trois trains différents. Vus de l'extérieur je précise, si on comptabilise les prises de vues à l'intérieur, on risque d'en trouver encore un ou deux de plus.... cependant l'exercice est plus difficile.
En voici un personnage troublant, ici, il regarde notre fugitif d'un "air de deux airs" comme on dit parfois...
Vêtu de noir, non pas comme Monsieur le curé disait Brel, mais comme un personnage plus inquiétant, le voila qui écoute ce qui se raconte sur la mise à prix de Ross McEwen (Joel McCrea).
3000$ quand même !
Le voila même qui se prendrait à faire des traits d'humour qu'on pourrait juger comme... sardonique !
Pour autant, lorsqu'il s'agit de prendre un peu de hauteur et de juger de l'actualité avec sérénité, il deviendrait presque rassurant... avec madame Fay Hollister (Frances Dee) tout du moins.
Ah, enfin, il vient d'intervenir en faveur de ce satané fugitif qui vaut (plus qu'il ne coûte notez-bien) 3000$ !
Non, il ne s'agit donc pas d'un possible tueur à gages, mais... d'un ami figurez-vous !
Mais comme tout a une fin, il faut bien se dire au-revoir n'est-ce pas ?... C'est ce qu'ils font à cet instant les deux "amis"...
"Oups !" semble dire Ross en voyant ce revolver pointé sur lui... Y aurait-il donc erreur sur la personne ? Ce Monte nous aurait-il donc tous baladés pour faire basculer la fin du film en sa faveur ?
Ah ! Je respire. Il s'agissait juste d'une erreur de manipulation. Le revolver a fait volte-face et il devient donc... un cadeau.
Monte est donc bien, finalement, un ami.
Très beau personnage que ce Monte Marquez, brillamment interprété par Joseph Calleia.
Yo.
Et enfin cet autre :
L'effet de noir et blanc est tout à fait remarquable certes, mais nous en sommes déjà à trois trains différents. Vus de l'extérieur je précise, si on comptabilise les prises de vues à l'intérieur, on risque d'en trouver encore un ou deux de plus.... cependant l'exercice est plus difficile.
En voici un personnage troublant, ici, il regarde notre fugitif d'un "air de deux airs" comme on dit parfois...
Vêtu de noir, non pas comme Monsieur le curé disait Brel, mais comme un personnage plus inquiétant, le voila qui écoute ce qui se raconte sur la mise à prix de Ross McEwen (Joel McCrea).
3000$ quand même !
Le voila même qui se prendrait à faire des traits d'humour qu'on pourrait juger comme... sardonique !
Pour autant, lorsqu'il s'agit de prendre un peu de hauteur et de juger de l'actualité avec sérénité, il deviendrait presque rassurant... avec madame Fay Hollister (Frances Dee) tout du moins.
Ah, enfin, il vient d'intervenir en faveur de ce satané fugitif qui vaut (plus qu'il ne coûte notez-bien) 3000$ !
Non, il ne s'agit donc pas d'un possible tueur à gages, mais... d'un ami figurez-vous !
Mais comme tout a une fin, il faut bien se dire au-revoir n'est-ce pas ?... C'est ce qu'ils font à cet instant les deux "amis"...
"Oups !" semble dire Ross en voyant ce revolver pointé sur lui... Y aurait-il donc erreur sur la personne ? Ce Monte nous aurait-il donc tous baladés pour faire basculer la fin du film en sa faveur ?
Ah ! Je respire. Il s'agissait juste d'une erreur de manipulation. Le revolver a fait volte-face et il devient donc... un cadeau.
Monte est donc bien, finalement, un ami.
Très beau personnage que ce Monte Marquez, brillamment interprété par Joseph Calleia.
Yo.
Modifié en dernier par Yosemite le 07 oct. 2014 23:36, modifié 1 fois.
- Yosemite
- Texas ranger
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Re: Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
Excellente sélection de Sidonis que ce western très fin, soigné en termes de scénario, aux jeux d'acteurs remarquables, mêlant joliment humanisme amour mystère et humour. Une réussite !
Le western dans lequel Joel McCrea est en tout point remarquable comme cela a déjà été relevé.
Un superbe moment.
Yo.
Le western dans lequel Joel McCrea est en tout point remarquable comme cela a déjà été relevé.
Un superbe moment.
Yo.
Re: Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
je vais devoir rechercher mon exemplaire du film pour pouvoir le programmer pour ce soir
ici l'affiche allemande du Western
..Traduction : Evasion vers le Nevada
même titre que la nouvelle de E.M. Rodes en allemand
drôle de titre, peut être ont ils confondus les "white sands" au Nouveau Mexique avec le"salt desert" du Nevada.
voici le titre original de la nouvelle de E.M. Rodes - Paso pro Aqui = Passed by Here
Paso do aqui fait partie du National Monument El Morro, il est situé entre Gallup et Grants, à l'intérieur des terres, à l'intérieur d'une Réserve
Navajos.
L'histoire de ce Western est connue, elle a été écrite par Eugene Manlove Rhodes (1869-1934). Il était lui-même cowboy et délinquant avant
qu'il a commencé à écrire des Westerns. Il a connu Pat Garrett et était déçu, comme les autres auteurs le traitaient. Il le connaissait comme
un homme intègre, juste et généreux. Charles Bickford, donne ici la meilleure performance de Pat Garrett de tous les films.
Le film se passe entièrement au Nouveau Mexique, La ville de Garrett, où le braquage de banque a eu lieu s'appelle dans le film Santa Maria.
Ross McEwen prend la fuite vers le sud, en empreintant le chemin de fer. Le trajet doit être interrompu à cause des innondations autour de
Albuquerque et continuera par charrette (plus beaucoup de diligences à cause du Chemin de fer), puis le voyage continue par le train et
arrive à Alamogordo. Ici McEwen trouve refuge comme cowboy dans un Ranch.
Mais Garrett à ses traces, il continue sa fuite à travers les White Sands (National Monument - désert). Il peut se procurer un nouveau cheval
dans une ferme isolée, mais est retenu ne pouvant abandonner les habitants malades atteints de diphtérie.
Un Western non violent, filmé dans les beaux paysages du N.M. C'est aussi un Western d'investigation réfléchie policière.
Alors que le titre allemand parle de "Fuite vers le Nevada", je vais savoir éventuellement pourquoi.... commandé le livre.
ici l'affiche allemande du Western
..Traduction : Evasion vers le Nevada
même titre que la nouvelle de E.M. Rodes en allemand
drôle de titre, peut être ont ils confondus les "white sands" au Nouveau Mexique avec le"salt desert" du Nevada.
voici le titre original de la nouvelle de E.M. Rodes - Paso pro Aqui = Passed by Here
Paso do aqui fait partie du National Monument El Morro, il est situé entre Gallup et Grants, à l'intérieur des terres, à l'intérieur d'une Réserve
Navajos.
L'histoire de ce Western est connue, elle a été écrite par Eugene Manlove Rhodes (1869-1934). Il était lui-même cowboy et délinquant avant
qu'il a commencé à écrire des Westerns. Il a connu Pat Garrett et était déçu, comme les autres auteurs le traitaient. Il le connaissait comme
un homme intègre, juste et généreux. Charles Bickford, donne ici la meilleure performance de Pat Garrett de tous les films.
Le film se passe entièrement au Nouveau Mexique, La ville de Garrett, où le braquage de banque a eu lieu s'appelle dans le film Santa Maria.
Ross McEwen prend la fuite vers le sud, en empreintant le chemin de fer. Le trajet doit être interrompu à cause des innondations autour de
Albuquerque et continuera par charrette (plus beaucoup de diligences à cause du Chemin de fer), puis le voyage continue par le train et
arrive à Alamogordo. Ici McEwen trouve refuge comme cowboy dans un Ranch.
Mais Garrett à ses traces, il continue sa fuite à travers les White Sands (National Monument - désert). Il peut se procurer un nouveau cheval
dans une ferme isolée, mais est retenu ne pouvant abandonner les habitants malades atteints de diphtérie.
Un Western non violent, filmé dans les beaux paysages du N.M. C'est aussi un Western d'investigation réfléchie policière.
Alors que le titre allemand parle de "Fuite vers le Nevada", je vais savoir éventuellement pourquoi.... commandé le livre.
Re: Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
Reçu et lulasso a écrit : Alors que le titre allemand parle de "Fuite vers le Nevada", je vais savoir éventuellement pourquoi.... commandé le livre.
Ross McEwen a commis le vol à BELEN, ville situé à 25 miles d'Albuquerque (moi je suis passé par là ). Son chemin de fuite était
programmé vers le Texas, Guadalupe, qui est à la frontière du NM et Texas. La ferme avec les malades (diphtérie) se trouvait au bord
du désert de White Sands, à une trentaine de miles d'Alamogordo. Pat Garrett arrivé sur les lieux, a changé son nom viv-à-vis de McEwen,
pourqu'il ne soit effrayé, que la loi l'aurait rattrappé, il l'accompagne jusquà Tularosa, pourqu'il puisse prendre le train vers la liberté,
sans l'inquiéter. McEwen s'étant repenti de sa vie comme hors-la-loi.
Donc le titre allemand du livre et du film est de pure invention.
Re: Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
Joel McCrea, Frances Dee, Charles Bickford, Joe Calleia - Four Faces West (1948)
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Re: Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
western sensible de plein air très plaisant à voir, les personnages sont tous attachants, des scènes très inhabituelles (
- Montrer les spoilers
Re: Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
Four Faces West (1948) de Alfred E. Green
UNITED ARTISTS
Sortie USA : 03 Août 1948
Vous est-il arrivé d’avoir envisagé l’éventualité de tomber un jour sur un western sans aucun morts, privé de personnages fourbes ou malsains, sans batailles ni bagarres et, plus étonnant encore, sans coups de feu pas même un seul tiré en l’air ? L’auriez vous cru seulement possible ? Et pourtant, si vous en aviez rêvé, sachez qu’il existe et qu’il s’agit de ce Four Faces West, malheureusement jamais sorti en France suite à son bide monumental aux USA probablement dûe à son absence totale de violence. Dans la lignée de L’Ange et le Mauvais Garçon (The Angel and the Badman) avec John Wayne, mais au ton encore plus doux, le film d’Alfred E. Green, même si pas nécessairement meilleur, se révèle un western encore plus atypique et en tout cas tout aussi attachant, l’histoire qu’il nous conte semblant être de prime abord banale mais bifurquant à chaque tournant vers des directions totalement inédites.
Ross McEwen (Joel McCrea) arrive à Santa Maria dans le Sud du Nouveau Mexique au moment où l’on fête l’installation dans cette petite ville du nouveau quartier général du célèbre Marshall Pat Garrett (Charles Bickford). Alors que tout le monde est réuni autour de lui durant son discours d’intronisation, Ross se rend à la banque où il demande à se faire prêter la coquette somme de 2 000 dollars. Le banquier refusant, Ross sort son arme et l’oblige à lui donner les billets en lui promettant de les lui rembourser petit à petit. Il s’enfuit, poursuivi par Pat Garrett et la milice qu’il vient de lever. Alors que le banquier offre une récompense de 3000 dollars pour la capture mort ou vif du cambrioleur, l’honnête Marshall conseille instamment à ses hommes de le prendre vivant. Ross, après avoir abandonné son cheval et s’être fait mordre par un serpent arrive à se cacher en attrapant un train. A bord, il fait la connaissance de Fay Hollister (Frances Dee), une jolie infirmière qui le soigne et dont il tombe amoureux ainsi que du mexicain Monte Marquez (Joseph Calleia), le tenancier d’un saloon dans la même ville où se rend Fay pour y exercer sa profession. Tous deux vont vite réaliser que leur nouveau compagnon de voyage est le voleur de banque recherché mais, charmé par sa gentillesse et ses bonnes manières, n’en diront rien et feront tout au contraire pour le soustraire aux mains de la justice. Pat Garrett ayant appris que Ross avait déjà rendu une partie de la somme dérobée commence lui aussi, sans pourtant le connaître, à le prendre en haute estime ; il n’en continue pas moins sa traque au milieu du désert du Nouveau Mexique où Ross a été obligé de prendre la fuite sur le dos d’une vache. L’outlaw arrive dans une ferme isolée où il découvre tous les membres d’une famille gravement atteints de la diphtérie. Plutôt que de passer la frontière qui est proche, il décide de leur venir en aide malgré qu’il sache ses poursuivants sur le pojnt de le rejoindre…
Ce que je ne vous ai pas encore dévoilé est la raison de ce ‘hold-up à crédit’ (et il n’y a pas vraiment de spoiler puisque nous l’apprenons assez tôt dans le courant de l’histoire qui n’est d’ailleurs pas écrite pour avancer à coups de théâtre) mais, comme vous l’aurez deviné, c’était pour une bonne cause ; Ross McEwen en avait besoin tout simplement pour aider son père à sauver son ranch. Un vrai brave type que ce personnage formidablement interprété par Joel McCrea, un ‘Valiant Gentleman’ comme sa compagne le nommera, qui arrivera même à émouvoir l’homme qui l’a traqué pendant des semaines, ce dernier lui promettant in fine d’intercéder en sa faveur. L’homme qui a mis en scène ce western inhabituel est un cinéaste très prolifique qui a signé d’innombrables films depuis l’époque du muet mais dont le plus grand titre de gloire pourrait être d’avoir réuni Groucho Marx et Carmen Miranda dans Copacabana en 1947. Autant dire que son œuvre n’a pas laissé de souvenirs impérissables. Son western aurait pu marquer quelques esprits s’il n’était pas passé aussi inaperçu malgré une bonne réception par la critique. Il s’agissait du dernier film produit par Harry Sherman, l’homme qui avait fait débouler Hopalong Cassidy sur les écrans et qui, pour ce western, avait déboursé une somme considérable par rapport à ses films de série coutumiers, pas moins d’un million de dollars.
Un western d’une belle sensibilité mais ne tombant jamais dans la mièvrerie. La bonté du héros est celle d’un homme simple, digne et respectueux, jamais ni sentencieux ni moralisateur. Aucun prêchi-prêcha au sein de ce beau scénario signé par les deux hommes (Teddi Sherman et C. Graham Baker) qui écriront plus tard le formidable Le Mariage est pour demain (Tennesse’s Partner) de Allan Dwan mais des idées astucieuses qui en disent plus qu’une parabole ; alors qu’aucune balle n’est utilisée dans le courant de l’intrigue pour tuer ou blesser, elles auront une toute autre utilité, celle de sauver la vie. En effet, Ross s’en sert en enlevant la poudre afin de récupérer le souffre et en faire un produit à inhaler pour soigner les enfants atteints de diphtérie. Sinon, rien de spécialement remarquable mais un ton d’une tendresse inaccoutumée et des images inédites comme la fuite dans le désert à dos de vache mais surtout un quatuor de personnages formidablement attachants tous très sobrement interprétés.
Joel McCrea, qui ne m’avait encore pas convaincu dans le western y compris dans ses rôles les plus importants (Buffalo Bill), en trouve ici un qui lui sied à merveille et forme avec Francis Dee un couple très touchant ; il faut dire qu’ils étaient dans le civil mari et femme et que leur véritable amour passe très bien à l’écran. De plus, ils montent tous deux superbement bien à cheval et le réalisateur en profite allègrement n’ayant pas besoin de recourir à de vilaines transparences lors des longues séquences de chevauchées, ce qui est, avouons le, très appréciable. A leurs côtés, deux acteurs qui ne déméritent pas d’autant qu’ils ne sont pas dans leur registre habituel, Joseph Calleia coutumier des rôles antipathiques et surtout Charles Bickford qui compose un des Pat Garrett, voire même l’un des Marshall, les plus attachants que l’on ait pu voir jusqu’à présent. Qu’ils rendent quand même eux aussi grâce aux scénaristes de leur avoir écrit d’aussi beaux rôles, plus riches qu'il n'y parait !
Beaucoup de dignité dans le fond et pas mal de qualité dans la forme. La photographie de Russell Harlan en noir et blanc est superbe et, le film étant tourné les ¾ du temps dans de grandioses décors naturels, le chef-opérateur s’en donne à cœur joie pour rendre toute sa majesté à la région désertique et montagneuse de Gallup au Nouveau Mexique et notamment le El Morro National Monument sur lequel est inscrit "Paso por Aqui", qui est aussi le titre du roman dont est tiré le film. Il s’agit d’un énorme rocher (une montagne même) sur laquelle les noms des hommes qui ont contribué à développer cette région du Sud-ouest des Etats-Unis sont inscrits. Plastiquement, le film est ainsi une belle réussite et le réalisateur n’a plus qu’à se laisser porter par ces magnifiques paysages au milieu desquels évoluent ses protagonistes, sans éclat de génie mais avec un solide professionnalisme. Enfin, Paul Sawtell compose à cette occasion l’une de ses partitions les plus belles. Quasiment pas d’action mais beaucoup de sentiments dans ce western dans lequel l’ironie est totalement absente ; une bonne bouffée d’air frais que nous apporte ce film au charme certain et durable, le western idéal à regarder en famille si vos rejetons sont encore en bas âge. Dommage que le seul DVD qui existe (d’excellente qualité par ailleurs) ne nous propose pas même les sous titres anglais ! J’ai quand même réussi à bien le suivre d’autant qu’il est assez avare en dialogues.
- U.S. Marshal Cahill
- Lawman
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Re: 3000 $ mort ou vif - Four Faces west - 1948 - Alfred E.Green
Joseph Calleia - Four Faces West (1948)
Re: 3000 $ mort ou vif / Le Destin du fugitif - Four faces West - 1948 - Alfred E. Green
Deux pages seulement pour ce magnifique western que j'avais enregistré sur Ciné Classic en 2012 et revu ce soir en version Sidonis/Calista , histoire policière , d'amour , amitié , et un peu mystique , Joël MC Crea est formidable et son histoire d'amour avec la sublime France Dee est émouvante et pleine de lyrisme et délicatesse , amitié également avec cette sorte d'ange gardien nommé Monte qui au départ est plutôt inquiétant , Charles Bickford très bon en shérif " psychologue " , Joël Mc Crea montre toute l'étendue de son talent en acteur complet et charmant , acteur qui selon Yves Boisset aurait eut une autre carrière sans son penchant pour certaines boissons , ça c'est à voir !
Dans le bonus Bertrand Tavernier nous explique que lors du braquage, Ross Mc Ewen griffonne le reçu de la reconnaissance de dette car il est illettré ,
ce qui est étrange car dans son courrier adressé à son père dans le train , il écrit très bien !
En tout je n'ai pas aimé le bonus d'Yves Boisset , celui de Patrick Brion intéressant pour l'histoire de Alfred E .Green , j'ai vraiment redécouvert cette petite perle que tout amateur de western devrait avoir dans sa collection , car ce " four faces west" ça c'est du western
Dans le bonus Bertrand Tavernier nous explique que lors du braquage, Ross Mc Ewen griffonne le reçu de la reconnaissance de dette car il est illettré ,
ce qui est étrange car dans son courrier adressé à son père dans le train , il écrit très bien !
En tout je n'ai pas aimé le bonus d'Yves Boisset , celui de Patrick Brion intéressant pour l'histoire de Alfred E .Green , j'ai vraiment redécouvert cette petite perle que tout amateur de western devrait avoir dans sa collection , car ce " four faces west" ça c'est du western
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- Chercheur d'or
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- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: 3000 $ mort ou vif / Le Destin du fugitif - Four faces West - 1948 - Alfred E. Green
Et je dirais même qu'en cette période de Noël, tout comme "It's a Wonderful Life / La vie est belle" (46, de Capra) en Allemagne, qui est diffusée chaque année à cette période, il devrait être O-BLI-GA-TOIRE ! Ça vous requinque l'âme.
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
Re: 3000 $ mort ou vif / Le Destin du fugitif - Four faces West - 1948 - Alfred E. Green
l'affiche Belge
le titre français est le même !!!
Je ne sais pas où SIDONIS va chercher ses propres titres français et pourquoi ???
le titre français est le même !!!
Je ne sais pas où SIDONIS va chercher ses propres titres français et pourquoi ???