Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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metek
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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lasso
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

Message par lasso »

J'ai ce film en deux exemplaires

les Rôdeurs de l'Aube le Bach DVD

et un DVD allemand (sans sous-titres) de bonne qualité d'images et de couleurs Die Stadt der toten Seelen = La ville des âmes mortes

On est dans l'année 1866 en Indiana. Les sinistres frères Reno font regner la terreur. Comme les élus de la ville font leur jeu, (sheriff
juge, procureur) les citadins sont sans défense. La spécialité des Reno, c'est la braquage de banques et de trains. Entre les Reno, il
n'y a pas un qui est sympatique. Une agence de détectives est chargé à arrêter ces bandits. On envoie deux agents, dont un (Barlow/Scott)
est paticulièrement brillant et sympathique, tout lui réussit en un tour de main.

La soeur des Reno (Laura/Mala Powers) est une jolie et honnête jeune fille, qui fait de l'effet sur notre héros, ce qui épargnera les Reno
d'être abattu, mais il arrivera trop tard pour les sauver du lynchage.
Un bon Western "historique" doté d'une excellente musique de Paul Sawtell.



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Trane
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Message par Trane »

Longway a écrit :22 Avr 2006
--
Ce western -- se laisse voir sans ennui malgré la qualité médiocre de la copie " Bach Film ".
--
Ce film est une vraie rareté à découvrir, même s'il n'atteint pas des sommets, loin de là.--
.
Le revoir après 6 ans (voir ci dessus) confirme la très mauvaise qualité de la copie, mais il faut le voir et je l'ai bien apprécié ce matin(nouvelle note : 7 !)
Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)
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lasso
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Message par lasso »

Tu avais pensé que la qualité du DVD Bach allait s'améliorer avec l'âge ? comme les bons vins après une certaine attente :lol:
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lasbugas
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

Message par lasbugas »

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lasbugas
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

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Arizona Kid
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

Message par Arizona Kid »

Randolph Scott étant un de mes acteurs de western favoris, avec sa gueule burinée, son jeu rude et économe, je possède évidemment ce film dans l'édition Bach Films tant décriée (la seule actuellement disponible sur le marché français à ma connaissance) et force m'est d'avouer que je rejoins tout ce qui a été dit au sujet de ce DVD calamiteux, indigne des plus mauvais fleurons du début du support il y a vingt ans: image floue aux couleurs (ou ce qu'il en reste...) dégueulasses, probablement tirée d'une antique VHS au vu de sa texture semblable à une archive TV INA des années 70, transfert 4/3 (le 16/9, ils connaissent pas, chez Bach) , détestable effet de saccade durant tout le film, ce qui m'a empêché de goûter pleinement à ce western, dont le scénario ne me semble pas mauvais pour ce que je m'en rappelle, car je n'ai pas revisionné le film à ce jour... :roll:

Le plus frustrant est de savoir que Bach Films a procédé à une réédition corrigeant l'effet de saccade, reconnaissable au macaron jaune imprimé sur la jaquette. Cette édition " corrigée " que j'ai achetée... Et qui contient le DVD de la première édition à l'image parkinsonienne : énervé

C'est la raison pour laquelle je souhaiterais vivement une réédition de ce titre chez Sidonis/Calysta: leurs copies DVD ne sont pas toujours exemptes de défauts, mais je pense qu'il ne leur serait pas difficile de faire mieux que les ruffians de chez Bach Films.
Car je veux bien que Bach Films soit une petite société au budget limité (tout le monde ne peut pas être Warner) , mais quand je vois qu'un autre " petit " éditeur tel que Sidonis parvient, la plupart du temps, à proposer aux amateurs des DVD tout à fait décents, je me dis qu'il y a une certaine mauvaise volonté à l'oeuvre chez ces messieurs...
:hang:

J'en profite pour signaler aux amateurs de Randolph Scott la diffusion de La Bagarre de Santa Fe (1951) d'Irving Pichel, le mardi 28/03/2017 sur Ciné + Classic icongc1
Modifié en dernier par Arizona Kid le 23 mai 2017 23:27, modifié 1 fois.
" Personne ne t'empêchera de partir si c'est ce que tu veux; mais laisse-moi te donner un conseil, fiston: dans ce pays, c'est très mal vu de toucher au cheval d'un autre homme... " (Joël McCrea, Cattle Drive, 1951)
:sm70:
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chip
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

Message par chip »

" La bagarre de Santa fe "( Santa fe )(1951) qui bénéficie de la présence de JANIS CARTER, quoiqu' elle me semblait plus à sa place dans le film noir : " I love trouble", " night editor", " I married a communist " et " Framed " (traquée) (1947) où elle était sensationnelle en femme fatale au cœur de glace, une actrice trop méconnue.
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Arizona Kid
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

Message par Arizona Kid »

Je n'ai encore jamais vu cet opus " randolphien " ; du coup, j'ai hâte de le découvrir mardi prochain :cool:

En outre, il y a quelques semaines, je crois me rappeler que la chaîne Action a diffusé plusieurs westerns du cycle Randolph Scott/Budd Boetticher, que je possède dans ma collection :gun:
" Personne ne t'empêchera de partir si c'est ce que tu veux; mais laisse-moi te donner un conseil, fiston: dans ce pays, c'est très mal vu de toucher au cheval d'un autre homme... " (Joël McCrea, Cattle Drive, 1951)
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Moonfleet
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Re: Les Rôdeurs de l'aube - Rage at dawn - 1954 - Tim Whelan

Message par Moonfleet »

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Les Rôdeurs de l’Aube (Rage at Dawn - 1954) de Tim Whelan
RKO


Avec Randolph Scott, Mala Powers, Denver Pyle, Jeff Corey, Ramon Novarro, Edgar Buchanan, Forrest Tucker, J. Carrol Naish
Scénario : Horace McCoy d’après une histoire de Frank Gruber
Musique : Paul Sawtell
Photographie : Ray Rennahan (Technicolor 1.85)
Un film produit par Nat Holt pour la RKO


Sortie USA : 26 mars 1955


Quelques semaines après Dix hommes à battre (Ten Wanted Men) de Bruce Humberstone, voici que sortait dans les salles américaines le deuxième western de l’année avec Randolph Scott. Au vu de ces deux films, on pouvait à cette date déjà se dire que 1955 ne serait pas la meilleure cuvée westernienne du comédien ! A propos de Badman’s Territory, le précédent western du réalisateur, j’écrivais : "Tim Whelan qui venait de réaliser le premier ‘screwball Musical’ avec le méconnu mais jubilatoire Step Lively (avec Frank Sinatra) devait être encore pris dans le rythme effréné de celui-ci quand il réalisa son premier western ; en effet le quart d’heure initial est tellement rapide et mouvementé qu’on se demande parfois si l’on a bien tout compris et si l’on aurait pas loupé des éléments de l’intrigue au passage ! Ca bouge, ça tire, ça caracole, ça chevauche dans tous les sens…" Depuis cette époque, le coréalisateur aux côtés de Michael Powell et Ludwig Berger du Voleur de Bagdad (probablement son plus grand titre de gloire), semble s’être bien (trop) assagi. En effet, Les Rôdeurs de l’Aube s’avère être un western d’espionnage pas spécialement mauvais mais bavard, statique et peu captivant, manquant singulièrement de tension dramatique. Un western sans beaucoup d’intérêt à part pour les complétistes des films avec Randolph Scott, l’acteur ayant néanmoins tourné auparavant dans de bien moins bons westerns, notamment à la Warner (à l’exception notable de la plupart de ceux signés André De Toth).

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1866 dans une petite ville au Sud de l’Indiana. Le gang des frères Rico commandé par Frank (Forrest Tucker) est sur le point de cambrioler une banque. Ce que ses membres ignorent c’est que la population a appris ce futur méfait et les attend au tournant, leurs ayant tendu une embuscade. Résultat : la mort du plus jeune de la fratrie alors que tous les autres arrivent à se sortir du guêpier et rejoindre leur cachette. Les habitants en ont assez de la mainmise de ces hors-la-loi sur leur petite communauté ; mais ce dont à leur tour ils ne se doutent pas c’est que les trois notables les plus haut placés (le shérif, le juge et le procureur – respectivement Ray Teal, Edgar Buchanan & Howard Petrie) sont de mèche avec les bandits. Ces derniers découvrent rapidement le traitre qui les a dénoncé et le font brûler vif. Il s’agissait du barman, indic de la célèbre agence de détectives ‘Pinkerton’. Le patron de l’agence décide d’envoyer Monk Paxton (Kenneth Tobey), un de ses hommes, pour essayer de faire tomber le gang. Il lui demande de se faire accompagner par un ex-espion sudiste, James Barlow (Randolph Scott), désormais agent fédéral. Le duo planifie une fausse attaque de train dans l’espoir de gagner la confiance de la bande. Ils n’ont plus qu’à attendre d’être contacté et ainsi pouvoir infiltrer le gang. Entre temps, James s’est amouraché de Laura (Mala Powers) qui n’est autre que la sœur des frères Reno. Clint Reno (Denver Pyle), le seul homme de la famille à ne pas faire partie du gang, demande à Barlow d’emmener sa sœur loin d'ici avant que ça ne dégénère…

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"This is the true story of the Reno Brothers... Clint, a respected farmer, and Frank, Simeon, John, and Bill... who were the first train robbers in American history. Looting, burning and killing, this infamous clan rode through the middle border states setting the pattern for the great outlaw bands which were to follow : the James Boys, the Daltons, and the Youngers." Tel est le préambule de ce film mettant donc en scène pour la première fois le gang des frères Reno, ses membres étant réputés pour avoir été les premiers pilleurs de train aux USA. S’ils n’ont pas fait l’objet plus tôt d’un film à leur gloire comme d’autres bandits plus célèbres, c’est probablement par le fait que leur aura fut moins romantique. Ils n’étaient effectivement pas considérés par un grand nombre comme des Robin des Bois du Far-West (comme les frères James par exemple) mais comme de vulgaires meurtriers (qu’ils étaient d’ailleurs), connus pour attaques de train et pillages de banque à mains armées, régnant sans merci sur une petite ville, soudoyant les autorités, terrorisant toute la contrée sans que personne n'ose lever le petit doigt. Les auteurs ne cherchent d’ailleurs pas à enjoliver la réalité concernant le gang (dommage en revanche que l’écriture des personnages soit aussi fade et impersonnelle) mais prennent évidemment quelques distances avec elle concernant par exemple la sœur qu’ils décrivent comme une personne loyale envers ses frères tout en désapprouvant leurs activités meurtrières alors qu’en vérité c’était une enfant indisciplinée qui les a toujours soutenu. Les membres de la bande furent en revanche lynchés comme justement montré dans le film. Dommage d’ailleurs qu’une telle noirceur dans la séquence finale (Randolph Scott se désespérant de ne pas avoir pu empêcher la folie meurtrière et vengeresse des citoyens) n’ait pas fait irruption plus tôt dans le film ; il aurait probablement eu une toute autre portée.

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On trouvait également dans le courant de l’intrigue une description sans scrupules des notables véreux et conscients de l’être ("Our collusion with the Reno Brothers is one of the worst kept secrets in history. Collusion, conspiracy, malfeasance. Ugly words, your honor, but true. We've got to be realistic") mais sans que jamais ça ne porte vraiment à conséquence, trop vite évacuée. Dommage aussi car, comme le dit à un moment donné le personnage joué par Randolph Scott, il aurait mieux valu s’occuper en premier lieu de ces personnalités malhonnêtes, peut-être encore plus dangereuses et malveillantes que les hors-la-loi reconnus comme tels. Tout ceci aurait pu amener sur le tapis une assez intéressante réflexion sur la justice ; mais ça a de toute manière déjà été fait auparavant. Ici, Horace McCoy (auteur de romans noirs, de polars et de On Achève bien les chevaux), après avoir longuement présenté les outlaws, s’occupe surtout de son intrigue d’espionnage, l’apparition de Randolph Scott ne se faisant qu’au bout de 26 minutes de film alors que la célèbre agence de détectives Pinkerton entre en scène, cette dernière ayant effectivement participée à l’arrestation du gang et ayant ‘mis en scène’ la première attaque ferroviaire. Quelques éléments intéressants au sein de cette histoire comme l’espion brûlé vif ou le fait que le film débute là où beaucoup se seraient terminés (les bandits tombant dans le guet-apens mis en place par la population) mais au final rien de bien surprenant ni de bien nouveau ; tout se déroule comme on s’y attendait si l'on excepte le final du lynchage. Le film tire surtout son charme de ses éléments de décors inhabituels au sein d’un western : des paysages verdoyants, des villes arborées, des maisons en pierre ou en briques, des ponts recouverts, des poteaux de télécommunication… Des éléments qui feront au contraire pousser des cris d’orfraies aux tenants de la véracité puisqu’en fait d’Indiana, le film a été tourné en Californie, les paysages étant ici et là totalement différents. Quoiqu’il en soit, cet ‘exotisme’ n’est pas déplaisant, donnant presque envie d’aller visiter ce Columbia State Historic Park !

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Sinon, on ne peut pas dire que Tim Whelan fasse des étincelles, pas plus que son scénariste ni même ses comédiens. Randolph Scott semble même moyennement convaincu par son rôle d’espion se faisant passer pour un peintre qui commet des hold-up ! Dommage également que toute cette tripotée de vétérans du western soient tous aussi sous-employés les uns autant que les autres, que ce soient J.Carrol Naish (qui venait de quitter sa panoplie de Sitting Bull), Edgar Buchanan étonnamment fade, la charmante Mala Powers, Forrest Tucker, Denver Pyle… Cette histoire d’espion infiltrant un gang pour gagner sa confiance avant le démanteler, de notables corrompus et de bandits cruels aurait pu donner naissance à une série B survitaminée : si ça commençait plutôt bien, ça s’essouffle très vite et si ce n’est jamais vraiment désagréable, le monotonie s’installe plus vite qu’on ne l’espérait, la fusillade finale étant bien trop longue et moyennement bien rythmée pour nous réveiller. Un petit western assez fade et qui se traîne un peu trop. Le duo Randolph Scott/Tim Whelan avait fait beaucoup mieux avec Badman’s Territory et si vous souhaitez voir le comédien dans un autre rôle d’agent essayant d’infiltrer une bande, reportez vous plutôt sur The Nevadan de Gordon Douglas d’autant que Forrest Tucker est également de la partie. Enfin, concernant le western d’espionnage, à cette date, c’est toujours le captivant Springfield Rifles (La Mission du Commandant Lex) qui tient la dragée haute à ses concurrents. Concernant les frères Reno, sous les traits d’Elvis Presley, Richard Egan et William Campbell, nous les rencontrerons à nouveau dans Love me Tender. Aussitôt vu, aussitôt oublié. Je me réserve quand même le droit de revenir sur mon avis une fois le film vu dans des conditions décentes.
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