Le Survivant des monts lointains - Night passage - 1957 - James Neilson
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Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
- major dundee
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Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
Ah oui, bien vu pour la mine , j'avais pas fait le rapprochement.
Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
On la voit aussi l'espace d'un raccord au début du film.
https://www.facebook.com/Mogollon.NM/ph ... =3&theater
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- major dundee
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Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
Vu des avis plus hauts, je ne me plaindrai pas de l’accordéon en ayant joué dans mon adolescence. A part que je préfère celles tout en boutons de préférence à celles avec un côté piano comme celle de Stewart.
J’ai regretté en revanche qu’elle ne devienne un prétexte de querelle dans la 1ere scène avec danse.
J’ai apprécié la seconde scène sur le train (moi qui en jouait dans un bus devant les jeunes ami(e)s d’athlétisme)
Voir un acteur avec un instrument de musique n’est ce pas mieux qu’avec les éternels cigares ou verres de whisky?
J’ai regretté en revanche qu’elle ne devienne un prétexte de querelle dans la 1ere scène avec danse.
J’ai apprécié la seconde scène sur le train (moi qui en jouait dans un bus devant les jeunes ami(e)s d’athlétisme)
Voir un acteur avec un instrument de musique n’est ce pas mieux qu’avec les éternels cigares ou verres de whisky?
Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
Le Survivant des monts lointains (Night Passage - 1957) de James Neilson
UNIVERSAL
Avec James Stewart, Audie Murphy, Dan Duryea, Dianne Foster, Elaine Stewart, Brandon de Wilde, Paul Fix, Jack Elam
Scénario : Borden Chase d'après un roman de Norman A. Fox
Musique : Dimitri Tiomkin
Photographie : William H. Daniels (Technicolor 2.35)
Un film produit par Aaron Rosenberg pour la Universal
Sortie USA : 24 juillet 1957
Night Passage est un des rares westerns de série A de la Universal, studio surtout réputé à l’époque pour ses séries B, parmi les meilleures du genre tout du moins durant la première moitié de la décennie ; le film avait très bien marché en salles à l’époque et notamment en France. Aujourd’hui, il est plus ou moins retombé dans l’oubli. S’il ne s’agit certes pas d’un grand film, de là à le trouver mauvais, il y a une sacré marge que je ne franchirais pas. Mais les raisons de cet ostracisme sont finalement assez simples : ce western aurait du être la sixième collaboration westernienne entre Anthony Mann et James Stewart, sauf que le cinéaste a quitté le plateau en début de tournage pour cause de scénario trop incohérent à son goût. Du coup, en total désaccord avec James Stewart, il s’est définitivement brouillé avec son acteur de prédilection et c’est un réalisateur de télévision habitué aux tournages rapides et au respect des budgets alloués qui a pris sa succession, signant ainsi son premier long métrage de cinéma avant de tourner ensuite principalement pour les productions Disney. Ceux qui au vu des noms prestigieux au générique (à savoir Borden Chase au scénario, Aaron Rosenberg à la production, William H. Daniels à la photo et Dimitri Tiomkin à la musique) s’attendaient à voir un film du niveau de ceux de la prestigieuse collaboration Mann/Stewart auront été automatiquement déçus car James Neilson a beau avoir accompli ici un honnête travail, il ne possède évidemment pas le génie de son prédécesseur sur le tournage. Il est donc certain que si on aborde ce western en ayant en tête ceux de Mann, Le Survivant des monts lointains n’a aucune chance de gagner en comparaison à quelque niveau que ce soit. Mais franchement, existe-t-il beaucoup de westerns, aussi prestigieux soient-ils, qui arrivent à rivaliser avec ceux de cette inégalable série ? Ceci étant dit, essayons de juger ce western sans penser aux sublimes Winchester 73, Les Affameurs, L’Appât, Je suis un aventurier ou L’Homme de la plaine. Vous verrez, ça passera probablement beaucoup mieux !
Grant McLaine (James Stewart) travaillait autrefois pour une grande compagnie ferroviaire ; sa mission était en quelque sorte celle d’un protecteur chargé d’empêcher les gêneurs de venir semer le trouble sur le chantier et ainsi ralentir l’avancée de la pose des rails. Il s’était fait licencier voilà cinq ans pour avoir aidé à s’échapper le brigand Utica Kid (Audie Murphy) plutôt que de l’appréhender comme on le lui avait demandé ; du coup il avait été soupçonné de complicité avec les voleurs de train. Depuis, Grant gagne de l’argent en jouant de l’accordéon de place en place. Son passé le rattrape lorsque son ex-patron, Ben Kimball (Jay C. Flippen), le sachant dans la région du Colorado, le fait demander à Junction City d'où il dirige la construction du nouveau tronçon du chemin de fer. En effet, la paie des ouvriers vient de se faire dérober trois fois de suite par les hommes de la bande de Whitey Harbin (Dan Duryea) et les travailleurs, excédés, menacent de quitter leur emploi s’ils ne sont pas rétribués rapidement. Ben décide donc d’accorder de nouveau sa confiance à Grant qu’il estime être le seul à pouvoir mettre fin aux exactions des bandits, et donc de réutiliser ses services. Il lui demande de prendre incognito le train transportant la nouvelle paie ; c’est en fait lui qui aura les 10.000 dollars réservés aux ouvriers du chemin de fer cachés sur sa personne. Le plan est assez astucieux puisque qui pourrait soupçonner qu’un homme autrefois congédié par la compagnie puisse se voir offrir une telle mission de confiance ? Grant refuse tout d’abord avant d’apprendre par la fiancée d’Utica Kid (Dianne Foster) que ce dernier fait désormais partie de la bande de Whitey et qu’il en est la plus fine gâchette. Il part donc à ‘la fin de la ligne’ accompagné de Joey Adams (Brandon De Wilde), un jeune garçon qu’il vient de sauver des griffes de l’impitoyable Concho (Robert J. Wilke), l’un des hommes de Whitey. Ce que Grant n’a dit à personne c’est le secret qui le lie à Utica Kid ; ses motivations à le retrouver ne seront révélées qu'au 2/3 du film…
Un homme au passé trouble à qui on offre néanmoins une mission de confiance ; ses relations mystérieuses avec un bandit et le fait qu’il semble avoir eu autrefois une aventure avec celle qui est devenue entre temps la femme de son patron. On reconnait bien là la patte torturée de Borden Chase et on se dit d'emblée que le personnage de Grant devrait aller comme un gant à James Stewart qui, dans les cinq westerns d’Anthony Mann, se révélait déjà parfait dans la peau de protagonistes jamais tout blancs, psychologiquement fragiles et parfois au bord de l’implosion, capables de brutaux accès de violence. Grant McLaine est bien dans la continuation de cette lignée de personnages ‘manniens’. Mais la raison principale qu’a eu le grand comédien de vouloir l’interpréter est que Grant était un joueur d’accordéon ; lui-même étant accordéoniste à ses heures, c’était une aubaine que de pouvoir ainsi dévoiler aux spectateurs cette corde à son arc inconnue du grand public. Ce sera néanmoins un professionnel de l’instrument qui le doublera lors de la postsynchronisation. En revanche, c’est bien l’acteur que nous entendons chanter les très belles mélodies écrites par Ned Washington et Dimitri Tiomkin, 'Follow the River' et 'You Can't Get Far Without a Railroad', ce dernier compositeur, de plus en plus inspiré au fil des années, nous délivrant à cette occasion une superbe partition peu avare de souffle et de lyrisme. L’histoire est tirée d’un roman de Norman A. Fox, déjà auteur de quelques unes ayant données lieu à de très divertissantes séries B réalisées avec une certaine efficacité par Nathan Juran (Le Tueur du Montana – Gunsmoke), Lesley Selander (La Furieuse chevauchée – Tall Man Riding) ou encore Rudolph Maté (Les Années sauvages – The Rawhide Years). Le film de James Neilson navigue d’ailleurs dans les mêmes eaux qualitatives mais sans l’humour et le pittoresque du film de Maté par exemple. Un western beaucoup plus sérieux à l’image de ses trois protagonistes principaux interprétés par James Stewart, Audie Murphy et Dan Duryea.
Le Grant McLaine de James Stewart est un homme qui, licencié de son travail de ‘protecteur’ des travailleurs du rail pour avoir été soupçonné de complicité avec des voleurs de train, vit désormais de son instrument de musique : il se déplace ainsi de camp en camp pour faire danser au son de son accordéon les ouvriers, afin de leur faire oublier leurs difficiles conditions de travail devenues d’autant plus laborieuses depuis qu’ils ne touchent plus leur salaires, ceux-ci étant systématiquement dévalisés par un gang qui ne cesse de les harceler. S’il semble de prime abord tout à fait charmant et sans histoires, on comprend par la suite que Grant connait très bien le bandit Utica Kid puisqu’il en parle comme d’une connaissance intime avec la fiancée de ce dernier ; mais on ne sait pas encore pourquoi il l’a autrefois aidé à fuir au lieu de l’arrêter et ce n’est pas moi qui vous dévoilerais le fin mot de l’histoire ; on comprend ensuite qu’il a eu des relations avec celle qui est devenue la femme de son patron, et que s’il s’occupe avec autant de sérieux du jeune garçon à qui il vient de sauver la vie, c’est peut-être avant tout pour retrouver Utica Kid puisqu’il a appris que Joey s’était enfui alors qu’il était prisonnier de la bande dont il sait qu’Utica fait partie. Bref, des motivations à ses actes qui tendent toutes vers les retrouvailles avec ce brigand tout de noir vêtu à la réputation de tireur d’élite : la première apparition de ce dernier en contre plongée est d’ailleurs magnifique, pleine de panache et de classe. Utica Kid, c’est Audie Murphy qui l’interprète, excellent dans le rôle du personnage probablement le plus ambigu du film : avec son visage poupin et son sourire enjôleur, il se révèle finalement assez suicidaire, lui qui n’arrête pas de titiller son inquiétant patron sans avoir l’air de le craindre le moins du monde. On sait également qu’il s’est amouraché d’une fille douce et aimante qui en est follement éprise en retour. On ne cesse ainsi de se demander de quel côté de la barrière il se situe, et lorsque nous apprendrons les liens qui l'attachent à Grant, leurs relations deviendront quasiment la thématique principale du film ; les séquences qui réuniront les deux comédiens, tous deux emportant l’adhésion du spectateur, seront toutes bien écrites et plutôt émouvantes même si on aurait souhaité qu’elles le soient bien plus.
Le troisième larron est donc le chef de la bande interprété par un Dan Duryea qui avait déjà croisé James Stewart dans Winchester 73 puis Audie Murphy dans Ride Clear at Diablo (Chevauchée avec le diable) de Jesse Hibbs. S’il fut l’un des comédiens qui nous offrit les bad guys les plus réjouissants car parmi les plus sadiques (il était également inoubliable dans Silver Lode (4 étranges cavaliers) d’Allan Dwan), il cabotine peut-être un peu de trop dans le film de James Neilson, le cinéaste n’ayant peut-être pas eu le caractère suffisamment trempé pour le tempérer dans son jeu quelquefois outré. Quant à tous les seconds rôles, ils s’en sortent plutôt bien même si l’on aurait préféré que celui dévolu à l’excellent Jay C. Flippen soit de plus grande importance. Le Joey de Shane (L'Homme des vallées perdues) a bien grandi, Dianne Foster est charmante et l’on peut croiser Jack Elam et Olive Carey au détour d’une séquence. Seule Elaine Stewart semble un peu perdue au milieu de tous ces comédiens chevronnés, ces vétérans habitués du genre. Malgré un casting intéressant, la psychologie des personnages est malheureusement tracée à gros traits ou mal exploitée, et les zones d’ombre demeurent quand même trop restreintes, ce qui fait aussi que ce film de prestige financièrement parlant, n’est pas entièrement satisfaisant et même assez décevant surtout avec Borden Chase à l’écriture. Quoiqu’il en soit et malgré le fait que le cinéaste n'arrive pas lui non plus à insuffler assez de souffle et d'ampleur à cette histoire, l'intrigue fonctionne plutôt bien même si sans réelles surprises ou alors ces dernières délivrées sans efficacité ni suffisante puissance dramatique.
Reste que l’ensemble se suit avec plaisir grâce au métier et au talent des comédiens, au score enlevé de Dimitri Tiomkin, à la vigueur des séquences d’action (notamment l’attaque du train et surtout les dix dernières minutes de fusillade dans la mine à ciel ouvert avec ces wagonnets sur crémaillère), à quelques autres trouvailles assez originales comme ce tunnel de mine qui traverse la montagne, et à la belle mise en valeur des superbes paysages du Colorado au sein desquels le film se déroule. De plus le cinéaste filme à merveille l’avancée du train sillonnant les canyons ; sur le thème principal de ‘Follow the River’, ces images devraient agréablement et durablement vous marquer l’esprit d’autant que sur un écran de télévision, le Technirama a un rendu assez grandiose. Il s’agissait d’ailleurs du premier film exploité dans ce format créé par Technicolor comme alternative au Cinémascope, mais très rapidement abandonné, moins de 10 ans après son apparition. Bref pour résumer : assez prévisible, manquant de vigueur, d’intensité et d’inventivité, pas assez chargé en émotion et parfois trop bavard, mais au final néanmoins assez attachant car bien joué, superbement photographié et mis en musique, et tout à fait correctement réalisé. Le film sera paradoxalement moins captivant lors des séquences à priori les plus tendues, celles se déroulant de nuit dans le repaire des bandits, mais il repartira de plus belle une fois sorti de ces lieux. Pourra alors fortement divertir l’amateur en manque de grands espaces. Loin d’être génial mais néanmoins fort divertissant !
- pak
- Harmonica
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Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
J'ai dû déjà l'écrire, mais le point faible de ce film, c'est le scénario, pas le fait qu'un quasi inconnu réalise un western à la place du maitre Mann.
On a quand même affaire à une histoire de train attaqué quatre ( ! ) fois par la même bande. Un train qui est peu défendu alors qu'en plus les protagonistes savent que le train sera attaqué.
Et c'est quoi la parade ? On file une enveloppe de dollars à un aventurier dont on se méfie (au mieux) ou dont on croit deviner la complicité avec les voleurs... C'est complètement incohérent. Cette histoire bancale empêche le récit de prendre les hauteurs psychologiques des meilleurs westerns de cette période, et le plus intéressant est finalement visible lorsqu'on est loin de ce train.
Le seul point fort du film, pour moi, c'est la relation entre les personnages de Stewart et Murphy. J'avais trouvé que ce dernier en faisait un peu trop même si c'est ce rôle qui m'a faire le voir autrement pour la première fois, peut-être plus que sa prestation dans Le Vent de la plaine qui serait presque la continuité du personnage. Dans Le Survivant des monts lointains il a effectivement cette ambiguïté inhabituelle dans ses westerns, où il est souvent plus lisse. C'est dans la relation de ces deux hommes que le film avance le mieux et trouve son intérêt.
On a quand même affaire à une histoire de train attaqué quatre ( ! ) fois par la même bande. Un train qui est peu défendu alors qu'en plus les protagonistes savent que le train sera attaqué.
Et c'est quoi la parade ? On file une enveloppe de dollars à un aventurier dont on se méfie (au mieux) ou dont on croit deviner la complicité avec les voleurs... C'est complètement incohérent. Cette histoire bancale empêche le récit de prendre les hauteurs psychologiques des meilleurs westerns de cette période, et le plus intéressant est finalement visible lorsqu'on est loin de ce train.
Le seul point fort du film, pour moi, c'est la relation entre les personnages de Stewart et Murphy. J'avais trouvé que ce dernier en faisait un peu trop même si c'est ce rôle qui m'a faire le voir autrement pour la première fois, peut-être plus que sa prestation dans Le Vent de la plaine qui serait presque la continuité du personnage. Dans Le Survivant des monts lointains il a effectivement cette ambiguïté inhabituelle dans ses westerns, où il est souvent plus lisse. C'est dans la relation de ces deux hommes que le film avance le mieux et trouve son intérêt.
Quand on joue dans un western, on peut embrasser le cheval mais pas l'actrice.
Gary Cooper
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Le quiz western 2014
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- Trappeur
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Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
Musique composée par Dimitri Tiomkin.
"Créer une œuvre, même imparfaite, demandera toujours plus de talent et d'effort que de la critiquer."
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- Chercheur d'or
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- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
Moonfleet et Pak ont raison dans leur appréciation de ce film (enfin, à mon avis ; j' veux dire leurs arguments sont plus que recevables, ils sont pertinents et difficilement réfutables), comme la plupart de ceux qui en parlent ici je crois, mais moi, comme chip pour "The Burning Hills", je persiste à bien l'aimer … pour ce qu'écrit pak sur la relation Stewart-Murphy, pour Brandon De Wilde aussi, que beaucoup trouvent insupportable, ici comme dans "Shane" (mais là, le fait de connaître son destin tragique joue peut-être), pour la musique postée par loco et la chanson interprétée par Stewart, la couleur jaune rutilante des wagons, le jaune des feuilles de bouleaux qui tremblent dans le vent d'Automne, pour le personnage d'Olive Carey, pour quelques détails, pour ...
Je suis un vieux Peau-Rouge solitaire qui ne marchera jamais en file indienne.
- You've seen too many westerns, old man.
- That doesn't exactly work in your favor.
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- That doesn't exactly work in your favor.
Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
Ah mais moi aussi hein ; le genre de western très attachant qui me donne envie d'y revenir malgré ses défautslimpyChris a écrit :Moonfleet et Pak ont raison dans leur appréciation de ce film (enfin, à mon avis ; j' veux dire leurs arguments sont plus que recevables, ils sont pertinents et difficilement réfutables), comme la plupart de ceux qui en parlent ici je crois, mais moi, comme chip pour "The Burning Hills", je persiste à bien l'aimer …
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- Chercheur d'or
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- Enregistré le : 29 nov. 2008 17:43
Re: Le Survivant des monts lointains - Night Passage - 1957 - James Neilson
Ah, ouf, merci. Je vais pouvoir dormir rasséréné. Pakounet, t'aurais pu dire quelque chose aussi pour rasséréner ton vieux limpy … ! Mmmh ?
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