La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Voir tous les films critiqués
Règles du forum
Avant d'ouvrir un nouveau sujet de discussion, pensez à consulter la liste de tous les westerns critiqués sur ce forum

SVP : Pour les images larges et lourdes, utilisez IMG2 et non IMG pour faire une miniature. Pensez aux connexions lentes!
Avatar du membre
metek
Colonel
Messages : 15354
Enregistré le : 17 août 2005 22:50
Localisation : Canada
Contact :

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par metek »

Irving Pichel lui meme - Santa Fe (1951)

Image
Image
Avatar du membre
Moonfleet
Eclaireur 
Eclaireur 
Messages : 1891
Enregistré le : 07 juil. 2004 10:53
Contact :

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par Moonfleet »

Image

La Bagarre de Santa Fe (Santa Fe, 1951) de Irving Pichel
COLUMBIA


Avec Randolph Scott, Janis Carter, Jerome Courtland, Peter M. Thompson, John Archer, Warner Anderson
Scénario : Kenneth Gamet
Musique : Paul Sawtell
Photographie : Charles Lawton Jr
Une production de Harry Joe Brown pour la Columbia


Sortie USA : 01 avril 1951


Depuis la fin des années 40, Randolph Scott fait sans cesse la navette entre la Columbia (au sein de laquelle il produit ses propres films en collaboration avec Harry Joe Brown) et la Warner ; il est intéressant une fois encore de constater qu’à genre, ingrédients et budget équivalents, les premiers se révèlent tous autrement plus réjouissants que les seconds. En gros, ceux qui n’auraient pas envie de se coltiner trois westerns avec Randolph Scott pour en voir un seul de potable doivent aller piocher, plutôt que dans ceux produits par la RKO, la Paramount ou la Warner, dans ceux distribués par la Columbia jusqu’à présents tous éminemment sympathiques à défaut d’être inoubliables, loin s’en faut : The Desperadoes de Charles Vidor, Coroner Creek de Ray Enright, Gunfighters de George Waggner, The Nevadan de Gordon Douglas et maintenant, cependant un peu en dessous des précédents, Santa Fe, western de série tout à fait plaisant même si à ne réserver qu’aux aficionados du genre ou de l’acteur principal. Bref, pour résumer aux "néophytes en Hollywood", c’est assez simple : on trouve le meilleur de Randolph Scott (on peut en tirer la conclusion après une vingtaine de films chroniqué) au sein des westerns précédés du logo représentant une femme brandissant une torche devant un ciel somptueusement nuageux ; reste à savoir si ça va continuer à se confirmer par la suite. Mon petit doigt me dit que oui ! En attendant, revenons à nos moutons, à ce petit western sans prétention adapté de ‘Santa Fe : The Railroad That Built an Empire’ écrit par James Marshall.

Image
La Guerre de Sécession vient de se terminer laissant le pays dans un état lamentable. Les frères Canfield, Britt (Randolph Scott), Clint (John Archer), Tom (Peter Thompson) et Terry (Jerome Courtland), faisant partie des vaincus, ont tout perdu y compris leur plantation en Virginie. Sous l’impulsion de Britt, leur aîné, ils décident néanmoins de refaire leur vie mais se retrouvent être poursuivis après qu'ils aient tué en état de légitime défense un officier de cavalerie nordiste leur ayant cherché des noises en les provoquant. Ils doivent quitter la région au plus vite ; sur le point d’être rattrapés par les hommes de loi, ils s’échappent in extremis en sautant sur un train en marche. Britt, l'ainé, devient le contremaître d’une compagnie de chemin de fer, la Santa Fe Railroad, dirigée par un ex-major de l’armée unioniste, Dave Baxter (Warner Anderson). Judith Chandler (Janis Carter), chargée de gérer la paie des ouvriers, n’est pas insensible au charme de Britt même se elle a compris qu’il y a de fortes chances pour qu’il soit responsable de la mort de son mari lors d’une violente bataille. Alors que Britt travaille honnêtement, ses frères en revanche décident de gagner leur vie sans trop mouiller leurs chemises. Ils se retrouvent embauchés par Cole Sanders (Roy Roberts), le patron d’un ‘saloon roulant’ qui suit la compagnie de chemin de fer lui faisant perdre un temps considérable, les travailleurs dilapidant leur paie à se saouler et à jouer. Britt et ses hommes incendient ce lieu de débauche. Il retrouve ses frères un peu plus tard à Dodge City toujours sous les ordres de Cole Sanders. Les ennuis ne font que commencer le jour où la paie des ouvriers se fait voler et que le célèbre Marshal Bat Masterson (Frank Ferguson) décide de mener l’enquête. Britt se retrouve ainsi tiraillé entre sa conscience professionnelle et son amour fraternel…

Image
Le train est un des éléments essentiels du genre et un des plus cinégéniques. Pourtant, il n’a encore pas vraiment eu de si nombreuses occasions de se retrouver au centre d’intrigues westerniennes ; il y a néanmoins déjà eu les célèbres Le Cheval de Fer (The Iron Horse) de John Ford et Pacific Express (Union Pacific) de Cecil B. DeMille sur la construction des chemins de fer sans oublier le superbe Whispering Smith de Leslie Fenton, à ce jour le western parlant mettant le mieux en valeur ‘le cheval de fer’. Santa Fe vient nous rappeler cette période épique de l’avancée des rails vers l’Ouest avec certes beaucoup moins d’ampleur et de moyens mais avec moult locomotives rutilantes, ce qui fait de cette production, la plus couteuse à l’époque des séries B avec Randolph Scott (plus d’un million de dollars). Le Technicolor aidant, c’est un véritable régal pour les yeux que ces vieux trains ‘vintage’ flambants neuf. Rien que pour ça, le film d’Irving Pichel vaut le coup d’œil et notamment pour le premier plan au cours duquel, du sommet d’une colline, les quatre frères aperçoivent la locomotive s’avancer au sein d’un très beau paysage !

Image
Irving Pichel, ce nom ne vous dit probablement pas grand-chose ; Santa Fe est l’une de ses dernières œuvres. Sa carrière comporte autant de films en tant que comédien qu’en tant que cinéaste, ses seuls titres de ‘gloire’ derrière la caméra ayant été Les Chasses du Comte Zaroff (The Most Dangerous Game) qu’il coréalisa avec Ernst B. Schoedsack) en 1932 et Destination Lune (Destination Moon) en 1950, une production George Pal et son plus gros succès. Il fut aussi la voix du narrateur que l’on entend au début et à la fin de La Charge Héroïque (She Wore a Yellow Ribbon) de John Ford. Selon Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon dans leur '50 ans de cinéma américain', il aurait été ‘l’une des victimes les plus ignorées de la chasse aux sorcières’, sa carrière s’étant considérablement ralentie après qu’il ait été dénoncé comme communiste par le réalisateur Sam Wood.

Image
Ses prises de position politiques un peu progressistes sont peut-être à l’origine des éléments les plus intéressants de Santa Fe, Kenneth Gamet au scénario n’étant pas non plus un mauvais écrivain, nous l’ayant déjà prouvé avec son travail sur Coroner Creek et surtout ayant signé le scénario de cette pépite méconnue du film d’aventure avec John Wayne et Gail Russell qu’est Le Réveil de la Sorcière Rouge (Wake of the Red Witch). Le prologue nous dépeint un tableau assez sombre de l’après guerre civile décrivant celle-ci comme un des plus grands fléaux qu’ait connu l’Amérique. Et ensuite, les deux hommes prennent clairement le parti de la réconciliation au travers du personnage interprété par Randolph Scott, sorte de médiateur avant l’heure prônant l’arrêt des disputes, proposant d’oublier le passé et d’aller en avant plutôt que de ressasser les rancunes et les haines. L’acteur est plutôt convaincant pour faire passer ce message pacifiste et ceux qui n’auront pas été dans son sens se verront mal finir ; sans vous révéler ce remuant final, il se révèle somme toute assez imprévisible au sein d'un western de série par ailleurs sans autre but que de divertir.

Image
Dommage par ailleurs que, hormis Randolph Scott toujours aussi classieux dans sa veste en cuir élimée, le reste du casting soit aussi terne et que le personnage féminin ait été autant sacrifié ; de ce côté, il aurait pu se développer une romance intéressante entre cette femme tombant amoureuse du probable ‘assassin’ de son époux. Mais le mot d’ordre ayant été action, action, action, ça file sur un rythme soutenu sans s’attarder plus avant sur la psychologie des personnages. On aurait aussi très bien pu se passer du duo à la Laurel et Hardy joué par Billy House et Olin Howlin en conducteurs de train ainsi que de la description un tantinet moqueuse de la nation indienne. Un scénario certes peu original mais dans l’ensemble plutôt bien écrit (sauf à mi-parcours où l’enchainement des situations assez flou fait qu’on s’y perd un peu, ne comprenant pas nécessairement tous les tenants et aboutissants de la course à Raton Pass), le 'héros' joué comme il se doit par Randolph Scott ayant du mal à se dépêtrer de la situation où il se trouve, pris en tenaille entre son honnête métier mais ne voulant néanmoins pas que ses hors la loi de frères se fassent prendre. Un homme droit et intègre qui n’en est pas moins très attaché à sa famille et qui va tout faire, au risque de perdre son travail et sans nécessairement y parvenir, pour la faire revenir dans le droit chemin. Avec une telle histoire, des cinéastes majeurs auraient pu accoucher d’un très grand film. En l’état, ça se tient déjà pas mal mais, redisons le à nouveau pour éviter des déceptions, seuls les amoureux de la série B sans prétention pourront y trouver leur compte.

Image
Ce western coloré et mouvementé tourné dans les beaux paysages de Prescott en Arizona bénéficie en outre d'une mise en scène assez solide, de l'action, du mouvement, un beau technicolor et de beaux extérieurs. On y trouve pèle-mêle des poursuites échevelées, des bagarres à poings nus plutôt convenablement exécutées et une scène d’action finale sur un train en marche d’une belle efficacité. Ressemblant par bien des points au premier western de Fritz Lang, Les Pionniers de la Western Union, il n’est pas interdit de le préférer à ce dernier qui n’était pas loin s’en faut une grande réussite. A noter que le titre français pourrait induire en erreur ; en effet on aurait pu s'attendre à un film se déroulant dans la ville de Santa Fe alors qu’il s’agit du nom de la compagnie ferroviaire.
persepolis
Eclaireur 
Eclaireur 
Messages : 1426
Enregistré le : 01 nov. 2008 22:26
Contact :

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par persepolis »

C' est un western moyen, la faute à un scénario qui ne tient pas la route : des intrigues entamées et non résolues, des rebondissements sans raison. Les frères du personnage que joue Scott changent d'opinion tout le temps (pour ou contre le train), ce qui nuit à la crédibilité du scénario. C'est dommage car les personnages secondaires sont sympathiques et il y a des scènes amusantes (la brouette , la partie de poker des mécanos , le chef indien qui conduit la locomotive). Randolph Scott est bon comme d'habitude. Western plaisant par moment mais plombé par un scénario incohérent.
Avatar du membre
lasbugas
Colonel
Messages : 16436
Enregistré le : 19 janv. 2008 21:30
Localisation : La Ville Rose
Contact :

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par lasbugas »

Image
Image
Compte Supprimé 4Q
Trappeur
Trappeur
Messages : 3219
Enregistré le : 26 sept. 2018 7:20

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par Compte Supprimé 4Q »

"Créer une œuvre, même imparfaite, demandera toujours plus de talent et d'effort que de la critiquer."
Avatar du membre
harry
Major
Messages : 14042
Enregistré le : 19 août 2015 22:10
Localisation : San Francisco

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par harry »

Revu ce plaisant western sur mon DVD Columbia de 2005 , un Randolph Scott impeccable et les autres acteurs aussi , et c'est vrai que les problèmes d'entente entre les frères sont changeantes , tantôt les trois frères après la séparation d'avec Randy sont contre lui ,et quand on pense qu'ils se rangent du côté du chemin de fer ,ils replongent , enfin heureusement sinon il n'y aurait pas de drame :oops: , mais le scénario est convenu .
Les actrices féminines sont en retrait dans ce film, reste de l'action et de l'humour avec les deux sympas conducteurs et le chef indien qui conduit le cheval de fer , reste encore les dégâts de la rivalité entres sudistes et nordistes après la guerre qui revient souvent dans les westerns , mais en tous cas ce" Santa Fe " , ça c'est du western :!:
Avatar du membre
lasso
Capitaine
Capitaine
Messages : 9411
Enregistré le : 10 mai 2009 16:32
Localisation : oregon

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par lasso »

dans ce Scott/Brown Western, Randolph Scott est plus bagarreur et plus sportif que dans d'autres de ses Westerns, où serait
il remplacé dans certaines scènes par un Stuntman.? Il est dommage qu'il ne soit secondé par de meilleurs second rôles.
Le thème de chemin de fer n'offre pas les mêmes opportunités au développement de l'histoire.
Avatar du membre
Trane
Caporal
Messages : 873
Enregistré le : 10 mars 2010 13:27
Localisation : Région Parisienne

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par Trane »

Pour moi un des plus mauvais film sur un sujet mieux traité de nombreuses fois (lutte entre deux companies pour la possession de la construction du chemin de fer) malgré Randolph qui est, comme toujours, très bon.
Je l'ai quand même regardé jusqu'au bout, quelques bonnes photos...
Un homme qui a réussi est un homme qui gagne plus d'argent que sa femme n'en dépense. Et une femme qui a réussi est une femme qui a trouvé un tel homme. (Lana Turner)
Avatar du membre
JoDel
Chercheur d'or
Chercheur d'or
Messages : 4817
Enregistré le : 04 sept. 2021 13:33

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par JoDel »

Continuons avec R. Scott pour cette bagarre de Santa Fe qui ne se déroule pas vraiment là-bas… Je suivrais l’avis général pour cette série B que je qualifierais d’inégale. D’un côté un Randy dans un rôle similaire à Western Union, qui porte le film à lui tout seul dans ce rôle brillamment interprété. Tout seul car en face, c’est assez fade. Pourtant on a des comédiens comme J. Courtland ou J. Archer mais dont les personnages sont trop peu mis en avant et non approfondis. Idem pour les interprètes féminines qui ne font que passer dans cette intrigue. On a deux duos : les cheminots qui sont assez bien réussis avec la scène du Poker notamment, et le duo de surveillants a peine effleurés par contre (dommage ils avaient de bonnes bouilles). Côté méchant c’est pareil, Jock Mahoney ne dit pas un mot, et Roy Roberts est davantage crédible en directeur de saloon clandestin qu’en pilleur de coffre fort avec son petit chapeau. Dommage là aussi car on a de belles trouvailles : du « je te vire manu militari à coup de brouette, à la scène finale sur le train. Certains personnages n’ont que peu d’intérêt : le troisième frère (dommage les clochettes c’était sympa) ou le directeur (tout le monde n’est pas Dean Jagger), tant leur personnages sont à peine esquissés. La scène du concours de violon est par contre une belle trouvaille (il joue bien le Père Burns et encore il n’a pas bu!) ou l’interrogatoire qui tourne mal quand Scott décrédibilise le témoin : « Vous voyez qu’il n’est pas fiable, et encore là, il est sobre. J’ai vu une réclame pour des lunettes, je vais t’en commander un paire ». La réalisation ne m’a pas percuté plus que ça, alors qu’à l’inverse la photographie est de qualité.

Bon et il faut l’avouer, je suis frustré. Moi j’intercale ce film en me disant « Faut quand même que je me trouve un de mes barbus pour la semaine ». Je choisis donc R. Milasch pour ici son dernier rôle et me rend compte avec joie que J. Kenny et R. Bowman sont annoncés… Et là patatras c’est la douche froide, je ne trouve aucun des deux, j’ai eu beau capturer tous les travailleurs, me repasser certaines scènes, rien n’y a fait. J’ai trouvé B. Whiteford dans deux rôles différents mais aucune trace de mon bon vieux Jack… Et moi qui espérait secrètement trouver mon barbu méconnu dans l’affaire… Autant vous dire que pour ce coup là, c’est foutu de chez foutu !

M’en retourne à mon cycle baignade puisque c’est comme ça !
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté

S. McQueen, Les Sept Mercenaires
Avatar du membre
JoDel
Chercheur d'or
Chercheur d'or
Messages : 4817
Enregistré le : 04 sept. 2021 13:33

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par JoDel »

Image
Randolph Scott.............. Britt Canfield
Image
Janis Carter.................. Judith Chandler
Image
John Archer................... Clint Canfield
Image
Jerome Courtland......... Terry Canfield
Image
Peter M. Thompson...... Tom Canfield
Image
Warner Anderson............ Dave Baxter
Image
Roy Roberts.................... Cole Sanders
Image
Billy House....................... Luke Plummer
Image
Olin Howland................... Dan Dugan
Image
Jock Mahoney................ Crake
C est comme ce gars que j ai connu à El Paso, un jour il s'est jeté dans les cactus après s'être mis tout nu, je lui ai demandé moi aussi pourquoi... Il m'a dit qu'à ce moment là, l'idée l avait tenté

S. McQueen, Les Sept Mercenaires
Avatar du membre
Abilène
Sorcier
Sorcier
Messages : 6013
Enregistré le : 17 sept. 2006 22:52
Localisation : Moulins (Allier)

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par Abilène »

Publicité presse anglaise :

Image
Avatar du membre
Abilène
Sorcier
Sorcier
Messages : 6013
Enregistré le : 17 sept. 2006 22:52
Localisation : Moulins (Allier)

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par Abilène »

Publicité presse anglaise :

Image
Avatar du membre
lasbugas
Colonel
Messages : 16436
Enregistré le : 19 janv. 2008 21:30
Localisation : La Ville Rose
Contact :

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par lasbugas »

Image
Image
Avatar du membre
Abilène
Sorcier
Sorcier
Messages : 6013
Enregistré le : 17 sept. 2006 22:52
Localisation : Moulins (Allier)

Re: La Bagarre de Santa Fe - Santa Fe - 1951 - Irving Pichel

Message par Abilène »

Affiche américaine one sheet :


Image
Répondre

Retourner vers « Les Westerns : critiques et illustrations de films et documentaires »