Les pendaisons ou lynchages dans les westerns
Les pendaisons ou lynchages dans les westerns
Il est d'une composante omnipresente dans le western, que le lynchage dont et souvent l'objet un individu malhonnete,brigand ou autre.Le lynchage intervient la ou logiquement la loi na pas effectuez son travail et la population prend le relais antidemocratique de punir un individu sous sa seule responsabiliteé.Dans le cinéma western,beaucoup d'exemple sont present et les films ne manque pas d'attirez notre attention sur cette forme de justice parallèle,ainsi dans 4 etranges cavalier ou bien dans jack slade ou encore dans la femme qui faillit etre lyncheé l'accent est porté sur le comportement d'hommes pour la plupart voulant une justice rapide sans se posé de question.
En ce qui me concerne, 2 western sont magnifiquement significatif du lynchage;la colline des potences et johnny guitare,dans le premier cité karl malden alias frenchie veut pour des raison de jalousie et de perversion faire pendre avec le concours d'un prédicateur gary cooper,dans le second c'est ward bond menant tambours battant une bande de type en noir,accompagné d'une femme voulant faire pendre sterling hayden....Il ne faudrais pas n'ont plus oublié que boetticher s'inscrit lui aussi dans la ligneé de l'evocation arbitraire du lynchage dans un western,ainsi dans l'aventurier du texas,randy scott et son accolyte doivent leurs salut a un juge qui en fait et le despote de la contreé ou il se trouve.Mais beaucoup de western evoquent avec de la conviction le mepris d'une justice toute faite ainsi encore beaucoup de western(films) sont l'objet d'une auto-critique et de prise de conscience dans un univers ou il ne fallait pas etre soit;brigand,voleur de chevaux ou autres car la corde etait noué bien avant l'heure pour l'intérréssé.
Dans le western movie quelques titres sont très evocateur de cette barbarie negative,ainsi dans;
une corde pour te pendre
la fleche briseé
les deux cavaliers
l'etrange incident
jack slade
sergent noir
et tant d'autres,nous font revivre ce que fut le lynchage.
james,
En ce qui me concerne, 2 western sont magnifiquement significatif du lynchage;la colline des potences et johnny guitare,dans le premier cité karl malden alias frenchie veut pour des raison de jalousie et de perversion faire pendre avec le concours d'un prédicateur gary cooper,dans le second c'est ward bond menant tambours battant une bande de type en noir,accompagné d'une femme voulant faire pendre sterling hayden....Il ne faudrais pas n'ont plus oublié que boetticher s'inscrit lui aussi dans la ligneé de l'evocation arbitraire du lynchage dans un western,ainsi dans l'aventurier du texas,randy scott et son accolyte doivent leurs salut a un juge qui en fait et le despote de la contreé ou il se trouve.Mais beaucoup de western evoquent avec de la conviction le mepris d'une justice toute faite ainsi encore beaucoup de western(films) sont l'objet d'une auto-critique et de prise de conscience dans un univers ou il ne fallait pas etre soit;brigand,voleur de chevaux ou autres car la corde etait noué bien avant l'heure pour l'intérréssé.
Dans le western movie quelques titres sont très evocateur de cette barbarie negative,ainsi dans;
une corde pour te pendre
la fleche briseé
les deux cavaliers
l'etrange incident
jack slade
sergent noir
et tant d'autres,nous font revivre ce que fut le lynchage.
james,
je propose et recherche tous westerns américains.
ymdb.com/user_top20_view.asp?usersid=20346
(copyrigth by james)
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Je pense que la scène de lynchage la plus étonnante que j'ai vue est dans "le Traître du Far-West" (The Virginian) qui est, par ailleurs et à mon avis, un tout petit film.
Il s'agit d'une pendaison dans le calme, sans haine, sans cris ni lamentations.
Le futur pendu lègue ses objets personnels à tous ses bourreaux et néanmoins amis dont on croirait qu'ils vont pleurer !
On sent qu'ils n'en ont pas vraiment envie et pourtant ils le pendent quand même pour un vol de bétail.
C'est le côté inéluctable de cette demi-justice sans procès, ce cadre faussement légal, mais vécu comme passage obligé que des hommes sans ressentiments particuliers vont exécuter sur place, à l'arbre le plus proche et dans le quasi-immédiat (pas le soir-même de leur capture, sur un coup de sang, ni après un retour à la ville, mais dès le lendemain matin), c'est tout cela qui laisse quelque peu perplexe et fait froid dans le dos.
Il s'agit d'une pendaison dans le calme, sans haine, sans cris ni lamentations.
Le futur pendu lègue ses objets personnels à tous ses bourreaux et néanmoins amis dont on croirait qu'ils vont pleurer !
On sent qu'ils n'en ont pas vraiment envie et pourtant ils le pendent quand même pour un vol de bétail.
C'est le côté inéluctable de cette demi-justice sans procès, ce cadre faussement légal, mais vécu comme passage obligé que des hommes sans ressentiments particuliers vont exécuter sur place, à l'arbre le plus proche et dans le quasi-immédiat (pas le soir-même de leur capture, sur un coup de sang, ni après un retour à la ville, mais dès le lendemain matin), c'est tout cela qui laisse quelque peu perplexe et fait froid dans le dos.
- Capitaine Quincy Wyatt
- Squaw
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- Enregistré le : 18 oct. 2005 18:13
- Localisation : dans les marais poursuivis par les indiens...
Et l'arbre au générique de "LA COLLINE DE LA POTENCE"
PARTI VERS D'AUTRES ESPACES
http://western-mood.blogspot.fr/
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- musselshell
- Castor éclopé
- Messages : 3211
- Enregistré le : 08 janv. 2006 16:08
- musselshell
- Castor éclopé
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Sur ce sujet difficile , je ne retiendrais que 2 films , deux chef d'oeuvres absolus : le premier n'est pas un western. Il s'agit de Fury de Fritz Lang.
Le deuxième (un western) est d'une noirceur hallucinante : l'étrange incident de William A.Wellman, western très personnel et d'une puissance inquiétante.
Le deuxième (un western) est d'une noirceur hallucinante : l'étrange incident de William A.Wellman, western très personnel et d'une puissance inquiétante.
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- Marshall
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- Enregistré le : 11 oct. 2005 10:51
Le lynchage dans le western.
:lol:J'étais en ville, je rentre et je jette un oeil sur le forum voir si tout ce passe bien.
Ce n'était pas un lunch mais un apéro, sympa! Houps, pardon.
Tu as raison Musselshell, je suis contre le lunch ça fait désordre. re Houps.
Bon je vais aller me coucher, je n'ai même plus faim, c'est con des fois l'apéro ça te coupe appétit, mais pourquoi vous parliez de lunch... c'est pas western comme sujet... re re Houps, pardon
Ce n'était pas un lunch mais un apéro, sympa! Houps, pardon.
Tu as raison Musselshell, je suis contre le lunch ça fait désordre. re Houps.
Bon je vais aller me coucher, je n'ai même plus faim, c'est con des fois l'apéro ça te coupe appétit, mais pourquoi vous parliez de lunch... c'est pas western comme sujet... re re Houps, pardon
c' est vrais que j' ai en mémoire 2 Westerns sur la pendaison,
qui m' ont vraiment laissés un souvenir assez cru sur le sujet !
l' Etrange Incident et l' insolite Missouri Breaks...
Corona,
L'étrange incident
The Ox-Bow Incident
Réalisation : William Wellman
1943. Etats Unis. 75 minutes. Noir et blanc.
Henry Fonda (Gil Carter), Dana Andrews (Donald Martin), Anthony Quinn (Juan Martinez), Henry Morgan (Art Croft), Jane Darwell (Ma Grier).
Un arbre imposant, une grosse branche décharnée et en dessous, des miliciens, ivres de vengeance et de haine, aveuglés par leurs certitudes, y pendent trois hommes soupçonnés de meurtre, après un simulacre de justice. Seuls Gil Carter et Art Croft, deux étrangers à la ville, embarqués par hasard dans cette chasse à l'homme tentent sans succès de s'y opposer . Alors que les corps se balancent au bout d'une corde, le shérif survient et annonce à la petite troupe qu'elle vient de tuer trois innocents. Erreur judiciaire, lynchage populaire, engrenage de la peur et du racisme. Wellman, grâce en particulier au jeu tout en nuances d'Henry Fonda, humaniste rongé par la culpabilité, et de Dana Andrews, victime expiatoire, traite avec une belle efficacité un thème récurrent du cinéma américain. Dommage qu'il appuie parfois un peu trop sur la corde sensible.